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lundi 11 février 2019

Acte XIII : Le périple ultra-violent de Thomas, casseur d’ultra-gauche (màj : il aura été filé toute la journée par des policiers en civil…)

 


10h30
 
 
Soupçonné d’avoir causé des dizaines de milliers d’euros de dégâts (NDR : plus probablement des centaines…), lors de l’acte 13 des Gilets jaunes, Thomas P. a été filmé par les policiers en train de commettre de lourdes dégradations tout au long de la journée.

 
« Notre attention est attirée par le comportement d’un individu au milieu d’une foule. Disons qu’il est particulièrement hostile à la présence de fonctionnaires de police… » Ainsi débute le compte rendu des policiers de la compagnie de sécurisation et d’intervention de Paris, responsables de l’interpellation de Thomas P.
Selon le rapport de police, dont nous avons pris connaissance, Thomas P. s’est livré à d’importants actes de vandalisme toute au long de la journée.
Lorsque les premiers heurts éclatent en marge de l’acte 13 des Gilets jaunes, vers 14 heures, il se trouve au boulevard Saint-Michel (Ve).
Gilet jaune enfilé sur une tenue entièrement noire, le suspect porte un masque et des lunettes de protections à élastiques rouges qui lui cachent le visage.
Il sort un marteau de son sac à dos et s’attaque aux vitres d’une banque Bred. « Disons différer notre interpellation au vu de la présence hostile de très nombreux manifestants »(???), consignent les policiers.
C’est donc une surveillance discrète par des fonctionnaires en civil qui est mise en place. Toujours selon le rapport, Thomas P. est ensuite aperçu en train de casser la devanture en marbre d’une agence d’assurances pour constituer des projectiles qu’il lance ensuite sur les forces de l’ordre.
(…) Préférant ne pas prendre le risque de déclencher une émeute, les policiers renoncent à intervenir à plusieurs reprises et filment ses agissements.
(…) Aux fonctionnaires, il décline une fausse identité : Nicolas Verrier, né à Montauban (Tarn-et-Garonne).
Le jeune homme de 25 ans s’appelle en réalité Thomas P. et il est connu de la Direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP) pour son appartenance à la mouvance anarcho-autonome.
Déjà connu de la justice pour des dégradations, il est placé en garde à vue au commissariat du 13e arrondissement.
 

Placé en garde à vue, le jeune homme de 25 ans a multiplié les actes très violents entre les 6e et 8e arrondissements, lors de l’acte XIII des Gilets jaunes.

Samedi 9 février, pour l’acte XIII des Gilets jaunes, un individu particulièrement virulent est repéré dans la foule massée sur le boulevard Saint-Michel en début d’après-midi. Son périple destructeur commence au 88, boulevard Saint-Michel.
Il s’approche de la banque de la Bred et sort de son sac à dos un marteau et porte de nombreux coups sur les vitres, qui se brisent.
Dès lors, les policiers ne le lâchent plus.
Nicolas V., 25 ans, né à Montauban, a le visage masqué.
Il est entièrement vêtu de noir.
Il porte un Gilet jaune, un sac à dos noir et un masque de protection aux élastiques rouges.
Après avoir saccagé la Bred, aux alentours de 14 h 30, il réintègre le cortège.
Arrivé devant la MatMut, il casse le marbre de l’agence à coups de marteau pour en faire des projectiles.
Il jette ensuite les cailloux sur des policiers dans la rue Edmond-Rostand.
Il emprunte ensuite la rue de Vaugirard, ramasse une chaise en métal et la jette sur les forces de l’ordre.

(…) Le Point

1 commentaire:

  1. P., c'est le nom de famille le plus court que je connaisse. comment ça se prononce d'ailleurs ? quand il se présente le gars il dit "je m'appelle Thomas Pé ? ou Thomas Pé avec un point derrière ? ou juste un bruit avec les lèvres pour faire un "P" sans voyelle derrière ?
    Ou alors, mais je ne peux y croire, toute la presse connaît son nom de famille, mais ne veut pas lui nuire, des fois que les propriétaires des voitures enflammées aient quelques envies de faire une descente à Montauban d'où il est originaire...
    mais non, je ne peux y croire. Si c'était ça ils n'auraient pas non plus donné le nom du boxeur...

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