Régis de Castelnau
Extraordinaire petite séquence qui dit tout de ce qu’est l’opération Macron.
On sait que celui-ci a été choisi par la haute fonction publique d’État et proposé à l’oligarchie.
Ce parfait inconnu au cursus honorum absent, et au CV parfaitement vide, nous a été imposé dans une opération de grand style.
Déferlement d’argent, propagande insensée, élection truquée nous avons vu s’installer à l’Élysée quelqu’un dont on ne savait rien.
On a pu croire dans un premier temps que la fusion des deux parties du « bloc élitaire » était destinée à imposer à un pays rétif la mise en œuvre d’une stratégie de soumission totale à la mondialisation néolibérale.
Nous avions négligé un autre facteur.
Pour être choisi et financé, Macron a dû promettre à l’oligarchie que lui au pouvoir, CE SERAIT OPEN BAR.
Que ces gens-là pourraient se gaver et se servir dans le démantèlement de l’État-providence français. On avait eu un avant-goût avec l’affaire Alstom (à propos Monsieur le procureur de Paris, il en est où le signalement pour corruption du député Marleix ?), l’aéroport de Toulouse, et les passe-droits et autres services rendus à Drahi en échange de la mise à la disposition de Macron de son groupe de presse.
D’autres fleurons économiques et industriels français vont être bientôt démantelés, et ce ne sera pas perdu pour tout le monde.
Il y a aussi les ahurissantes et inutiles privatisations des bijoux de famille propriété de l’État que l’on nous annonce (ADP, Française des jeux, Engie).
Ces gens sont no-limits, puisque l’on voit désormais plus clairement l’aspect important de l’affaire Benalla.
Qui protégé par le président de la république a trouvé le moyen de passer des contrats exorbitants avec oligarques russes et chinois.
Pas pour vendre de la sécurité à des gens qui n’en ont aucun besoin.
Les services prévus étaient bien évidemment d’une autre nature et auraient justifié des rémunérations très élevés.
Mais la première mission confiée à Emmanuel Macron par ses commanditaires était bien sûr la suppression de l’ISF.
Et comme, Édouard Philippe qui a quand même un peu d’expérience souhaitait la rendre politiquement acceptable, il avait besoin de temps.
« Non mais comment ! Notre majordome n’exécute pas les ordres ! Pour qui se prend-t-il ? On va lui rappeler qui c’est qui commande ! »
Alors, au lieu de passer les consignes comme ils le font habituellement par téléphone et par SMS, les oligarques accompagnés de quelques économistes chiens de garde sont allés rappeler au freluquet les convenances. Et qui décide dans ce pays.
Macron s'est immédiatement exécuté.
• Mais c’est ce que l’on appelle une ploutocratie !
• Tout de suite les grands mots.
francetvinfo ISF : comment une réunion secrète a précipité la réforme sous la pression d’économistes et de grands patrons
Pour être choisi et financé, Macron a dû promettre à l’oligarchie que lui au pouvoir, CE SERAIT OPEN BAR.
Que ces gens-là pourraient se gaver et se servir dans le démantèlement de l’État-providence français. On avait eu un avant-goût avec l’affaire Alstom (à propos Monsieur le procureur de Paris, il en est où le signalement pour corruption du député Marleix ?), l’aéroport de Toulouse, et les passe-droits et autres services rendus à Drahi en échange de la mise à la disposition de Macron de son groupe de presse.
D’autres fleurons économiques et industriels français vont être bientôt démantelés, et ce ne sera pas perdu pour tout le monde.
Il y a aussi les ahurissantes et inutiles privatisations des bijoux de famille propriété de l’État que l’on nous annonce (ADP, Française des jeux, Engie).
Ces gens sont no-limits, puisque l’on voit désormais plus clairement l’aspect important de l’affaire Benalla.
Qui protégé par le président de la république a trouvé le moyen de passer des contrats exorbitants avec oligarques russes et chinois.
Pas pour vendre de la sécurité à des gens qui n’en ont aucun besoin.
Les services prévus étaient bien évidemment d’une autre nature et auraient justifié des rémunérations très élevés.
Mais la première mission confiée à Emmanuel Macron par ses commanditaires était bien sûr la suppression de l’ISF.
Et comme, Édouard Philippe qui a quand même un peu d’expérience souhaitait la rendre politiquement acceptable, il avait besoin de temps.
« Non mais comment ! Notre majordome n’exécute pas les ordres ! Pour qui se prend-t-il ? On va lui rappeler qui c’est qui commande ! »
Alors, au lieu de passer les consignes comme ils le font habituellement par téléphone et par SMS, les oligarques accompagnés de quelques économistes chiens de garde sont allés rappeler au freluquet les convenances. Et qui décide dans ce pays.
Macron s'est immédiatement exécuté.
• Mais c’est ce que l’on appelle une ploutocratie !
• Tout de suite les grands mots.
francetvinfo ISF : comment une réunion secrète a précipité la réforme sous la pression d’économistes et de grands patrons
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