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Stéphane Mottin est présent depuis le début de la mobilisation. Photo Sonia BARCET
Le 17 décembre, il reçoit un courrier du CNRS qui annonce sa mise à pied à titre conservatoire jusqu’au 18 mars.
« Un fonctionnaire doit en toutes circonstances faire preuve de dignité, d’impartialité, d’intégrité et de probité », indique la missive.
Une décision qu’il a du mal à digérer.
Le 17 décembre, il reçoit un courrier du CNRS qui annonce sa mise à pied à titre conservatoire jusqu’au 18 mars.
![Photo fournie par Stéphane Mottin](https://cdn-s-www.leprogres.fr/images/da8eaad4-c01a-40bd-a3d1-6cf80ec3f083/LPR_v1_02/photo-fournie-par-stephane-mottin-1546074990.jpg)
Le parcours de l’universitaire détonne parmi ses camarades de lutte.
Rencontré il y a quelques semaines sur le rond-point, Stéphane Mottin nous avait confié se battre pour les générations à venir.
« J’ai réussi ma vie, je suis là pour mes enfants. Certains sont tombés de la pauvreté à la misère. J’aurais jamais cru. »
Observateur du mouvement dans un premier temps, son engagement a grandi au fil des rassemblements jusqu’à passer de nombreuses nuits dans un abri de fortune.
« On est entre collègues et frères d’armes. On vit des choses fortes, c’est touchant. »
Pas intimidé par cette mise à pied, le chercheur dit vouloir poursuivre ce qui l’anime depuis des semaines.
Et qu’importe que des collègues de travail ne lui disent déjà plus bonjour.
Rencontré il y a quelques semaines sur le rond-point, Stéphane Mottin nous avait confié se battre pour les générations à venir.
« J’ai réussi ma vie, je suis là pour mes enfants. Certains sont tombés de la pauvreté à la misère. J’aurais jamais cru. »
Observateur du mouvement dans un premier temps, son engagement a grandi au fil des rassemblements jusqu’à passer de nombreuses nuits dans un abri de fortune.
« On est entre collègues et frères d’armes. On vit des choses fortes, c’est touchant. »
Pas intimidé par cette mise à pied, le chercheur dit vouloir poursuivre ce qui l’anime depuis des semaines.
Et qu’importe que des collègues de travail ne lui disent déjà plus bonjour.
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