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vendredi 21 décembre 2018

Georges Pompidou a été le fossoyeur de l’économie française.

 
 
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16 Décembre 2018

Engagé par la banque Rothschild en 1953, il en est devenu le directeur général avant de s’installer à l’Elysée le 15 juin 1969, après la démission surprise de De Gaulle, suite à un référendum où sa politique avait été mise en difficulté, après les évènements de Mai 68.

Le trois janvier 1973, avec l’aide de son ministre des finances, Valéry Giscard-d’Estaing, et la complicité du gouverneur de la Banque de France, Olivier Wormser, il fait passer une réforme concernant les rapports entre la Banque de France et l’Etat français.

Un article très court, mais très inquiétant, passe pratiquement inaperçu.
Il est très certainement celui qui a causé le plus de tort à la stabilité du pays : l’article 25 – « Le Trésor Public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France ».

Peu de parlementaire, l’esprit encore embués par les festivités euphorisantes du Nouvel An, se prononcent sans être interpeller par la gravité d’une telle décision car cet article signifie que désormais il est interdit à la Banque de France de faire crédit à l’Etat français et condamne ainsi la France à se tourner vers les banques privées (en tout premier lieu la banque Rotschild) et payer des intérêts fluctuants, selon les périodes, pour boucler son budget annuel.

Avant cette loi l’Etat empruntait de l’argent, et le faisait uniquement auprès de la Banque de France, qui lui appartenait, et cela à taux zéro, c’est-à-dire sans intérêt.

L’Etat avait le droit de « battre monnaie » et avec cette nouvelle loi il perd ce droit.

Il est dès lors offert en pâture aux banques privées qui peuvent ainsi s’enrichir aux dépens d’un Etat qui lui s’appauvri en payant des intérêts pour l’argent dont il a besoin.


Cette loi projette la France au même rang que n’importe lequel de ses citoyens.

La dette de la France, depuis 1973 et jusqu’à nos jours, trouve son origine à cause de cet article 25.

Dès 1979, la dette de la France s’élevait déjà à 239 milliards d’euros et fin 2008 elle s’établissait autour de 1327 milliards d’euros et l’Etat avait déjà payé 1306 milliards d’intérêts à ses créanciers, soit 21% de son PIB.

Cette loi, et son article 25, ont été confortés par l’article 104 du traité de Maastricht et appuyés par l’article 123 du traité de Lisbonne, verrouillant ainsi l’Etat français en lui confirmant l’interdiction de se financer auprès de la Banque de France et l’obligeant à avoir recours aux marchés financiers extrêmement coûteux, puisque à ce jour, environ 2100 milliards d’intérêts ont été payés, plus que le montant de la dette elle-même.

Si la France avait continué à « battre monnaie », à l’exemple des USA et de bien d’autres pays, sa dette publique serait pratiquement inexistante.

Aujourd’hui cette loi a endetté la France d’une façon structurelle et incommensurable à un point tel que cette dette ne pourra jamais être remboursée.

Les créanciers de la France (difficile de tous les définir, en dehors des banques privées) sont parfaitement conscients qu’il est peu probable que cette dette leur soit remboursée et ils se contentent d’en percevoir les intérêts annuels, plus de 50 milliards, car la dette atteint actuellement 100% du PIB, soit plus de 2000 milliards d’euros.

Je ne suis pas économiste mais je souhaiterais vivement que tous les économistes présents quotidiennement dans nos médias m’expliquent : Est-ce que cette loi ne pourrait pas être abrogée et permettre ainsi à l’Etat français de « rebattre monnaie » de nouveau, de l’emprunter à taux zéro à la Banque de France, de rembourser ainsi les 2000 milliards à tous les créanciers et de pouvoir poursuivre la bonne marche de la nation sans avoir à rembourser aucune dette.

Ne peut-on pas considérer que cette dette est illégitime et ne devrait pas être remboursée ?

Mais j’avais oublié, notre président de la République actuel n’est-il pas passé lui aussi par la Banque Rothschild ?

La France est donc perdue, et je me demande pourquoi j’ai écrit cet article !

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