Le 01/05/2015
Depuis cinquante ans, dénoncer la surpopulation de la planète est un tabou absolu.
Depuis cinquante ans, dénoncer la surpopulation de la planète est un tabou absolu.
À chaque nouveau milliard d’humains sur notre pauvre planète, Le Monde célèbre l’heureux événement.
Pour les 9 milliards, la dernière page présentait un montage de deux ou trois cents photos célébrant la diversité de cette effarante multitude.
Une voix courageuse s’est-elle élevée pour crier : « Est-ce bien raisonnable ? »
Aucune.
Aucune en tout cas qui ait pu franchir la barrière construite par le silence des médias.
Dans les années 70, tout le monde craignait la surpopulation de la planète et recommandait le contrôle des naissances.
Dans les années 70, tout le monde craignait la surpopulation de la planète et recommandait le contrôle des naissances.
Même Cavanna disait dans son style fleuri : « Je n’accepte pas que des irresponsables nous inondent avec le jus de leurs couilles. »
Depuis, le bâillon s’est resserré, Cavanna n’aurait plus droit à la parole.
Parce que la première cause de surpopulation est aujourd’hui africaine.
Or, la délirante surnatalité de ce continent (7,6 enfants par femme au Niger en 2012, PopulationData.net) relève du tabou antiraciste.
L’antiracisme fonctionne comme un antibiotique de la pensée : il tue de proche en proche toutes les idées ayant un rapport avec la théorie nauséabonde dont il est criminel de parler.
Du coup, il finit par interdire des idées et des faits très lointainement associés.
La drépanocytose étant une maladie raciste qui n’affecte que les populations noires, je propose qu’on l’expurge des manuels de médecine et qu’on ne la soigne plus.
L’hiver arabe s’est abattu sur le Moyen-Orient.
Il neige au Caire, on fait du ski au Yémen.
Le bilan des « printemps arabes » est consternant, à la seule exception de la Tunisie.
L’Égypte a retrouvé son Maréchal habituel, dans la Syrie en ruines, Bachar el-Assad se défend comme un beau diable, plusieurs pays sombrent dans le chaos de guerres interethniques, interreligieuses, intertribales.
Je souhaite que notre gouvernement n’accueille pas de réfugiés chiites en France.
Sinon, à brève échéance, nous aurions une guerre sunnito-chiite de l’autre côté du périph’.
Tous ceux qui nous disaient que le monde arabo-musulman pouvait faire le choix de la démocratie en écartant à la fois ses tyrans et ses fanatiques ont eu tort.
À la rencontre de ces deux échecs majeurs – folie nataliste africaine et folie religieuse musulmane -, le Camp des saints qui s’installe en Sicile et menace toute l’Europe.
Au lieu de repousser l’invasion, les gouvernements dénoncent les passeurs.
Ils accusent le thermomètre de la fièvre : sans demande des migrants, pas d’offre des passeurs.
On peut compter sur Hollande pour ne rien faire d’efficace.
Dans deux ans, Paris pourra s’appeler Migrantopolis, et par protestation, nous élirons à la présidence celui ou plutôt celle qui nous proposera des moyens de lutte efficace contre cette invasion.
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