La grande mobilisation « pour la liberté d’expression » était une mascarade sans précédent, pendant laquelle les responsables de la situation dans laquelle nous sommes se sont autoproclamés héros.
Une manipulation exemplaire.
Ces attentats ont été en France médiatisés et dramatisés à outrance, non pour évoquer et traiter les causes que sont l’immigration massive, l’islamisation et le laxisme judiciaire mais pour nous faire accepter plus de surveillance encore.
Les propositions pour un « Patriot act » à la française n’ont d’ailleurs pas tardé.
La liberté d’expression n’existe pas, les militants le savent.
Au lendemain d’un attentat islamiste il est interdit de parler de l’islam, et même pas de l’islamisme.
Nous sommes libres d’exprimer ce que le gouvernement valide.
Une preuve ?
Hier, quelques personnes ont accroché une banderole sur laquelle était écrit : « Terrorisme islamiste, Merah, Nemmouche, les frères Kouachi, basta ».
Résultat ?
La Police a ouvert une enquête pour « incitation à la haine raciale ».
Liberté d’expression ?
Oui, à moins de dire la vérité, de décrire la réalité ou d’énoncer les vrais causes.
Article de Nice Matin :
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