Sans importance n’est ce pas? pic.twitter.com/RjQ4gYYKuF
— f_luthor2 (@f_luthor2) April 29, 2025
Réflexions sur l'actualité et la politique Française. Avec quelques exceptions sur le reste du monde. Immigration, invasion, colonisation, islamisation, révolution.Covid
Sans importance n’est ce pas? pic.twitter.com/RjQ4gYYKuF
— f_luthor2 (@f_luthor2) April 29, 2025
Publiée le 30/04/2025
A la une de cette édition : les 100 jours de Donald Trump à la Maison Blanche.
Conspué par ses ennemis, soutenus par ses partisans, le président américain n’a pas chômé.
La consommation des ménages en berne : le chômage qui menace le printemps 2025 a tout d’un hiver économique pour la France.
Et enfin, un peu de corruption pour finir ! Celle-ci exploserait en France depuis l’arrivée au manette d’un certain Emmanuel Macron.
Black-out en Espagne : André Merlin (ex-DG de RTE) met en cause le photovoltaïque et les énergies renouvelables. Les journalistes de France Info tentent de nuancer ses propos. pic.twitter.com/q0nbhUQTHf
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) April 30, 2025

par Charles Sannat | 30 Avr 2025 |
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Notre professeur Trouposol, notre grand mamamouchi 1er du palais, notre phare élyséen éteint, est chafouin.
Il est même très en colère contre Cnews qui diffuse des fake news… enfin d’après lui, car dire que ce que dit l’autre est faux n’est pas une preuve que ce ne soit pas vrai !
Alors moi je n’y étais pas, mais le Sun, le journal anglais un peu, quand au Vatican il ne pipe mot… Il paraît même que le représentant du Vatican ne savait pas où se mettre quand Trump s’est fâché, mais je n’y étais pas… Etant très lâche face à notre immense petit père des peuples qui a des moyens bien plus importants que moi vu que l’Etat c’est lui, surtout la police, la gendarmerie et tout le tremblement commençons par citer notre président que nous chérissons tous au plus profond de notre cœur (j’espère que j’ai assez fayoté sa « saigneurie »)
Je précise à la police politique que je cite l’Elysée, hein… c’est pas moi qui cite Cnews, c’est le grand chef à plumes.
« Vous avez entendu ça ? » Non puisque vous n’y étiez pas ! C’est totalement faux.
— Élysée (@Elysee) April 28, 2025
Cette rencontre bilatérale entre les Présidents Trump et Zelensky était annoncée dès la veille et c’est une bonne chose qu’elle se soit tenue dans ce format.… pic.twitter.com/NFB0YKDYPW
Pour ceux qui veulent savoir ce que le Sun le journal anglais pense avoir lu sur les lèvres de Trump c’est ici.
Le chœur des pleureuses est de sortie. Depuis la mort de cet homme vendredi, dans une mosquée du Gard, de nombreuses voix de gauche s’élèvent pour dénoncer le sort qui serait réservé à l’ensemble des musulmans en France. Ces derniers seraient des « citoyens de seconde zone », à en croire le recteur de la grande mosquée de Paris, qui estime aussi que les actes anti-musulmans seraient « cachés » depuis « toujours ». « Oui, l’islamophobie d’État tue », a assené, sur X, le patron de presse Matthieu Pigasse, à deux doigts d’accuser Bruno Retailleau de meurtre. L’antienne d’un racisme anti-musulman virulent a également retenti pendant tout le week-end sur les antennes du service public. « On invisibilise les actes commis contre les musulmans », a-t-on pu entendre, par exemple, sur France Info.
"On invisibilise les actes commis contre les musulmans" : plusieurs centaines de personnes rassemblées contre l'islamophobie à Parishttps://t.co/3iYcvW4cEf
— franceinfo (@franceinfo) April 27, 2025
Justement, parlons-en, de ces actes. Sont-ils en explosion, comme on pourrait le croire en regardant les plateaux de France Télévisions ? Non. Le ministère de l’Intérieur indique, au contraire, qu’ils sont en nette diminution. Une baisse impressionnante de près de 30 %, entre 2023 et 2024. L’an dernier, un total de 173 « faits racistes envers les musulmans » a été enregistré. À titre de comparaison, 770 faits antichrétiens ont été recensés sur la même période.

le 26/04/25
La pédocriminalité en France n’est pas l’affaire de quelques individus isolés, mais d’un système verrouillé par des intouchables.
Dans son livre "La Pédocratie à la française", le journaliste Jacques Thomet, ancien rédacteur en chef à l'AFP, révèle dix ans d’enquête sur des scandales étouffés, des complicités judiciaires et une omerta médiatique persistante.
Entre circulaires ordonnant la destruction de plaintes et expertises biaisées, Jacques Thomet expose une justice qui sacrifie les victimes. Les chiffres sont accablants : seulement 3 % des viols sur mineurs aboutissent à une condamnation. Pire, des enfants sont parfois placés chez leur agresseur, sous couvert de « syndrome d’aliénation parentale », une théorie inventée par un criminel américain.
De Matzneff à Epstein, en passant par des figures politiques et intellectuelles, Jacques Thomet dresse un tableau noir des complicités. Malgré les preuves, les grands médias ignorent son travail, préférant l’indifférence au scandale. « C’est une chape de plomb », dénonce-t-il, évoquant des rituels sordides et des réseaux protégés au plus haut niveau.
Si Jacques Thomet se dit « optimiste », il alerte sur l’urgence d’agir : suicides de victimes, mères « désenfantées » et budgets pharaoniques de l’Aide Sociale à l’Enfance (10 milliards d’euros) illustrent un système à bout de souffle. Son prochain livre, « Une Rafle française », promet de nouvelles révélations.

Contrairement à certaines publications qui évoquent « cinq cardinaux français », ils sont bien 5 à pouvoir voter au conclave de 2025 :
Toujours selon le cardinal Erdö, les cardinaux français en question représenteraient une ligne plus progressiste, proche du pontificat du pape François, et seraient opposés à un retour à une gouvernance plus ferme, doctrinale et traditionnelle telle que celle portée par le cardinal Sarah
Le cardinal Burke informe ses pairs « du déjeuner d’Emmanuel Macron avec les cardinaux français et pose des doutes:
-était-ce une éviction du cardinal Sarah?
-était-ce une élection du cardinal Krajewski?
-était-ce une rencontre avec un officiel musulman? »
Après le Cardinal #Erdo, Mgr #Cushley confirme que #Macron incite le Cardinal #Krajewski à bloquer l’élection du Cardinal #Sarah hostile à l’immigration musulmane en Europe. Il souhaite un pape conscient du danger russe donc, il faut éliminer #Sarah.


0 minute de silence pour Lorène assassinée de 57 coups de couteau par un franco-turc dans sa salle de classe..
— Oxi (@Oxitan30) April 29, 2025
Par contre Aboubakar assassiné par un rom bosnien qui parle même pas français..@YaelBRAUNPIVET une explication?! pic.twitter.com/PY4Jj3pVcx
Bardella, c'est le Emmanuel Macron de la droite pseudo nationale. C'est une coquille vide portée à bout de bras par l'Oligarchie et qui coche à toutes les cases : libéral, pro-malthusien, européiste, atlantiste et pro-israélien. Des femmes voteront pour lui parce qu'il est beau.. pic.twitter.com/toh9FiiOFt
— Linformatrice (@Linformatrice1) April 28, 2025
Pourquoi j'ai cette chanson de Brel qui me vient à l'esprit
⚡️🇫🇷FLASH - Jordan #Bardella va publier un nouveau livre en librairie à l’automne. Il s’agira d’une « ode à la France du travail », explique au Parisien, celui qui n’a jamais travaillé de sa vie en dehors de la politique... pic.twitter.com/6iKaoW2AHI
— Brèves de presse (@Brevesdepresse) April 28, 2025
Arf, en plus il saurait écrire, mais pourquoi il n'a jamais bossé alors?

Pendant que la presse, aux ordres de la gauche, s’émoustille pour savoir si des « néo-nazis espagnols » auraient pris la pose en tribune Mordelles au Roazhon Park, à Rennes (en réalité la photo du scandale ne montre que trois jeunes faisant le salut de la victoire en Serbe), il se passe des choses bien plus graves, depuis des années, sans que ces mêmes journalistes ne s’en émeuvent, mais cette fois-ci avec des conséquences bien réelles pour la population.
Autrefois paisible capitale bretonne, Rennes est devenue, en à peine deux ans, l’un des nouveaux épicentres français de la violence liée au narcotrafic. Les tirs résonnent désormais du nord au sud de la ville, les bandes de mineurs sèment la terreur dans les quartiers et la mairie, pétrifiée dans ses dogmes idéologiques, assiste, impuissante, à l’effondrement de l’ordre public.
À la Bellangerais, quartier résidentiel devenu zone grise, les riverains n’en peuvent plus. Chaque matin, devant la maison de quartier, une troupe d’enfants déguisés en voyous prend possession des lieux. À peine 12 ans pour les plus âgés, des regards durs, des insultes crachées à la volée, et parfois des liasses de billets exhibées avec insolence.
Depuis six mois, la bibliothèque du quartier a même dû engager un vigile pour filtrer l’entrée : « Un simple lieu de lecture est devenu une cible pour des gamins élevés à la violence, au rap hardcore, et au porno sur smartphone« , nous glisse une habitante jointe par téléphone, Geneviève, la voix serrée.
Le plus effrayant ? Certains de ces enfants, à peine sortis de l’école primaire, servent déjà de guetteurs pour les trafiquants du coin. Leur récompense ? Des bonbons… ou quelques billets de dix euros, suffisants pour acheter l’illusion d’une toute-puissance.
À Villejean, Maurepas, Le Blosne, les règlements de compte s’enchaînent. Depuis deux ans, 28 fusillades ont éclaté dans Rennes. Trois quartiers concentrent la majorité des tirs, mais désormais, même le centre-ville n’est plus épargné. Le 7 octobre 2024, un enfant de 5 ans a été blessé par balles sur la rocade.
Dans les quartiers, les habitants vivent dans une insécurité permanente. « On sent l’affrontement arriver », soupire Malika, mère de trois enfants, qui envisage désormais de quitter la ville. « Le trafic explose, les fusillades se multiplient, mais ici, on nous explique qu’il faut rester ouverts, tolérants. À ce rythme-là, ce sera bientôt les corbillards qui feront la tournée des quartiers. »
Publiée le 29/04/2025
Au programme, nous revenons sur l’opération séduction des médias pour rattraper le camouflet diplomatique d’Emmanuel Macron.
Alors que Donald Trump tente toujours de négocier la paix en Ukraine, le président français poursuit ses gesticulations et compte sur ses amis milliardaires pour récupérer des points de crédibilité…
Nous reviendrons sur la panne géante d’électricité qui a affecté le sud de l’Europe. Un événement qui soulève des questions sur les diverses défaillances des réseaux énergétiques.
Et enfin nous reviendrons sur la guerre qui sévit toujours au Moyen-Orient en dépit des cessez-le-feu.

Le mot est de Barjavel. « Contrairement à ce que l’on pense, [notre monde] n’est pas solide du tout, il est extrêmement vulnérable, d’autant plus vulnérable qu’il est plus compliqué, plus parfait, plus technique. »
La grande panne d’électricité qui a touché, ce 28 avril, l'Espagne et le Portugal ainsi que le sud de la France ramène à l’écrivain, auteur de Ravage, paru en 1943. « C’était l’histoire d’une civilisation qui s’écroule parce qu’elle manque d’énergie », expliquait-il à la télévision, vingt ans plus tard.
Ce 28 avril, le réseau électrique portugais REN a confirmé l’ampleur de la secousse : « REN confirme une coupure massive de l’approvisionnement électrique dans toute la péninsule Ibérique, qui affecte aussi une partie du territoire français et dont l’impact a atteint le Portugal à partir de 11h33. » Le gouvernement espagnol a convoqué une réunion de crise, l’EDF local a lancé un plan d’urgence pour rétablir l’alimentation électrique progressivement. Aéroports, métros, chemins de fer sont paralysés, les systèmes de paiement sont en carafe... Si cette panne devait durer, les batteries électriques seraient à plat, les téléphones mobiles des objets inertes, les ordinateurs, les réseaux informatiques et les voitures électriques aussi utiles qu’une machine à vapeur conservée dans le formol. C’est le retour au monde d’avant, où on se déplaçait peu ou pas. Où la fée électricité, comme on l’appela, est partie sans laisser d'adresse.
En fin d’après-midi, le courant est revenu dans le nord, le sud et l’ouest de l’Espagne. Reste la cause, inconnue à l’heure où nous écrivons. Pas rassurant. Et un constat : cette impression de gambader sur un château de cartes, un échafaudage instable. La panne espagnole jette à la figure de nos contemporains la dépendance des sociétés modernes, comparable à celle d’une fin de vie : l’autonomie n’existe plus.

par Charles Sannat | 29 Avr 2025 |
La voiture électrique actuelle est une ânerie sans grand intérêt si ce n’est en zone rurale paradoxalement puisque cela permet de se déplacer sans faire le plein au quotidien et c’est en zone rurale que l’on roule le plus, bien plus qu’en ville en réalité.
Pour le reste partir en voyage avec une voiture électrique c’est l’angoisse. Il faut des « applicachions » partout et scanner des Cul-R-Code en espérant qu’ils ne soient pas faux et ne vous renvoient pas vers des sites pirates qui vous volent vos coordonnées bancaires.
Le prince Andrew, Virginia Roberts – Giuffre et Ghislaine Maxwell
— par Pierre-Alain Depauw — 28 avril 2025
Virginia Roberts – Giuffre était devenue l’accusatrice la plus visible d’Epstein ces dernières années.
Elle se serait suicidée vendredi, selon ce qu’a annoncé sa famille. Elle avait 41 ans. Est-ce vraiment un hasard si ce qui est qualifié de suicide survient seulement un mois après avoir été heurtée par un bus ? Le New York Post avait rapporté que la police avait qualifié l’accident de « collision mineure ». Pourtant, sur son compte Instagram, il était écrit que le personnel médical lui donnait « quatre jours à vivre ». Paradoxalement, elle était sortie de l’hôpital le 7 avril. Elle serait décédée à Neergabby, en Australie, où elle résidait.
En 2019, Virginia Roberts – Giuffre avait publié une déclaration sur X affirmant : « Je ne suis en aucun cas suicidaire… trop de personnes malveillantes souhaitent me voir réduite au silence », ce qui a poussé de nombreux internautes à spéculer sur un acte criminel dans sa mort.
Virginia Roberts – Giuffre affirmait depuis longtemps qu’Epstein et sa compagne de l’époque, Ghislaine Maxwell, actuellement derrière les barreaux, l’ont contrainte, ainsi que d’autres personnes, à commettre des actes illicites avec des personnalités célèbres (politiciens, hommes d’affaires, vedettes du cinéma et de la chanson,…), dont le prince Andrew du Royaume-Uni. Giuffre avait porté plainte contre le prince Andrew, l’accusant d’avoir abusé d’elle alors qu’elle était encore mineure. L’affaire a été réglée à l’amiable pour 12 millions de dollars.
Fait troublant, Lady Victoria Hervey, qui a fréquenté le prince Andrew, avait laissé un commentaire sous une photo de Virginia Roberts – Giuffre à l’hôpital. Le commentaire laissé par Lady Victoria Hervey se limitait à ces mots « karma » et « on récolte ce qu’on sème ».
Publiée le 28/04/2025
Au programme de cette édition, les négociations de Paix en Ukraine rythmées par le nouveau camouflet infligé par Donald Trump à Emmanuel Macron au Vatican.
Nous reviendrons ensuite sur la manifestation pour la Paix organisée samedi par Florian Philippot.
Également dans l’actualité, le feuilleton délirant des élections en Roumanie. Le dernier rebondissement, à une semaine du nouveau scrutin, donne raison à TVL qui suit l’éviction antidémocratique du candidat souverainiste Georgescu depuis le départ.
Et puis de retour en France pour évoquer le meurtre d’un jeune musulman d’origine malienne par un individu d’origine bosniaque dans une mosquée sur le territoire français. Un drame qui a fait l’objet de récupérations tous azimuts.
Hanouna-Jardin ou l'opposition Doliprane.
— Campagnol tvl (@TvlCampagnol) April 28, 2025
(le lien du Ratzinger code : https://t.co/QRMWLsVVBc ) https://t.co/EZGgPqgRBn

par Charles Sannat | 28 Avr 2025 |
Il faut avoir un peu de mémoire et garder la mémoire des évènements.
Récemment à propos de la guerre en Ukraine et de la possibilité d’envoi de soldats français au front, Macron, notre professeur Trouposol Mozart de la stratégie vantait sa stratégie « d’ambiguïté stratégique » sous les vivats et compliments d’une presse béate devant tant d’intelligence.
Souvenez-vous en vidéo par exemple..
🔴⚡️Sur l'Ukraine, Macron assume « l'ambiguïté stratégique » et ajoute: « Avons-nous des limites ? Non. »
— La France Insoumise #NFP à l'Assemblée (@FiAssemblee) April 25, 2024
Allemagne, Suède, Autriche & Pologne se sont déjà désolidarisés de ses annonces.
Ce Président irresponsable risque de nous entraîner dans une guerre généralisée !#Sorbonne pic.twitter.com/kUJVMFUwEt
Cette même presse servile tire à boulets rouges contre Donald Trump et l’incertitude qu’il sembler créer dans sa politique.
J’avais expliqué dans cet article il y a quelques jours pourquoi Trump ne pouvait pas agir très différemment de ce qu’il fait.
« Trump recule et se couche devant les marchés, la Chine et la FED. Vraiment ? ». L’édito de Charles SANNAT
L’incertitude stratégique !
Le ministre américain des Finances, Scott Bessent, a défendu dimanche la politique tarifaire tumultueuse du président Donald Trump. C’est sous ce titre que cet article du Figaro (source ici) revient sur le concept d’incertitude stratégique.
« Dans la théorie des jeux, on parle d’incertitude stratégique, c’est-à-dire que vous n’allez pas dire à la personne de l’autre côté de la négociation où vous allez finir », a déclaré Scott Bessent sur la chaîne ABC. « Personne n’est mieux placé que le président Trump pour créer cet effet de levier », a insisté le secrétaire au Trésor. Des droits de douane bien plus importants pourraient entrer en application contre en juillet, après un report annoncé par Donald Trump.
Interrogé sur l’avancement des négociations commerciales engagées par l’administration Trump avec les pays frappés par les droits de douane, Scott Bessent a esquivé, se contentant de dire que certaines négociations « avançaient très bien, en particulier avec les pays asiatiques ». Pour l’instant, Washington a donné la priorité aux discussions avec des pays alliés comme le Japon, la Corée du Sud et la Suisse.
C’est François Rebsamen, ministre de l’Aménagement du territoire et de la Décentralisation, qui vient de l’évoquer, dans un entretien à Ouest-France, à la veille d’une réunion avec les associations des collectivités. Mais attention, celui qui fut longtemps maire et qui est toujours conseiller municipal de Dijon (on ne sait jamais, un remaniement, une censure, c’est si vite arrivé…) dit bien qu’il ne s’agit pas de recréer la taxe d’habitation mais simplement d’instaurer « une contribution modeste ». Pour quoi faire ? L’idée, de prime abord, est vertueuse : pour le « financement des services publics de la commune » et « renouer le lien » entre les collectivités et les citoyens qui y résident. En 2024, son prédécesseur, Catherine Vautrin, n’avait pas dit autre chose, elle avait proposé une concertation, début 2025, avec les élus locaux au sujet d’une participation « au fait de vivre dans une commune ». Nous y sommes ! Mais, avait-elle ajouté, « il n’y aura pas de retour à la taxe d’habitation ».
L’exercice est compliqué, pour ne pas dire casse-gueule : comment s’extirper du piège diabolique et démagogique dans lequel Emmanuel Macron a précipité les communes, en 2017, sans jeter au bûcher ce qu’il reste du macronisme des premiers temps ? Le candidat du nouveau monde avait décrété que cet impôt était injuste et qu’il fallait le supprimer tout de suite, un peu comme si on avait aboli la gabelle, la taille et le droit de mainmorte. Le supprimer tout de suite ? Pas tout à fait, car le principe de réalité financière avait conduit à supprimer progressivement cet impôt, créant ainsi une sorte d’inégalité des citoyens devant l’impôt. Pas tout à fait, non plus, puisqu’on a maintenu cette taxe pour les résidences secondaires selon un principe échappé d’une maison de fous : moins tu habites la commune, plus tu contribues au fonctionnement des services dont tu ne bénéficies qu'occasionnellement ! Avec, même, pour les conseils municipaux, le pouvoir d’alourdir jusqu’à 60 % cette taxe. Tant qu’à faire, et selon un autre principe qu’il vaut mieux toujours taper sur les mêmes, car cela fait moins de mécontents…
À ce sujet — [EDITO] Taxe d’habitation : coucou, la revoilou ?
Selon Le Figaro, le haut fonctionnaire Céline Cléber publie sous pseudonyme Douce France (Toucan), un roman de politique-fiction où la France bascule « progressivement, sous les coups de boutoir d’une petite minorité d’extrémistes violents », tandis que « les autorités, paralysées par la peur, ne parviennent pas à endiguer le conflit ».
L’autrice explique vouloir « faire pénétrer le lecteur dans les arcanes de la vie politique et administrative » et alerte sur la fragilité institutionnelle face au « danger islamiste ».
Le récit débute avec l’assassinat d’un prêtre par un islamiste, précipitant des émeutes qui virent à la guerre civile ; seuls un conseiller de l’Élysée, un sénateur et un préfet tentent d’enrayer la chute. Cléber présente son livre comme « le roman vrai de la guerre civile à venir », fustige la culture du « pas de vagues » dans une haute fonction publique peuplée de « bêtes à concours », et rappelle, citant Léonard de Vinci, que « ne pas prévoir, c’est déjà gémir ». Selon elle, la violence est déjà « larvée » dans certains territoires, et l’avenir dépendra « du courage, de la vertu de ceux qui dirigeront le pays ».
L'Algérie a refoulé près de 5.000 migrants vers le Niger, depuis le début du mois d'avril.
On entend beaucoup parler des relations entre la France et l’Algérie, au risque d’en oublier celles entre l’Algérie et ses voisins. « Relations » est d’ailleurs un vocable plutôt mal à propos, pour ce qui concerne Paris et Alger : dans les magazines féminins, les fameuses « relations toxiques » elles-mêmes contiennent, à ce qu’on dit, des phases de prétendue réconciliation, voulues par des « pervers narcissiques » - ces gens qu’il y a trente ans, on appelait tout simplement des salauds ou des connasses. Il n’y a donc pas de relations franco-algériennes : il n’y a qu’un pays qui s’essuie méticuleusement les pieds sur la figure de l’autre. Mais y a-t-il des relations diplomatiques entre l’Algérie et ses voisins, singulièrement sur l’épineuse question migratoire, qui empoisonne tant la vie politique française ?
À ce sujet — Migrants : l’Algérie refoule et expulse sans complexe
À en croire l'article du Figaro, que l’on aurait presque pu louper, non. L’Algérie n’est pas plus correcte avec la France qu’elle ne l’est avec ses proches voisins…sauf que cette fois, c’est elle qui expulse les migrants, et elle se fiche pas mal de savoir si les pays d’origine accepteront le refoulement de leurs ressortissants. On apprend ainsi que, rien que pour le mois d’avril, plus de cinq mille migrants ont été refoulés par Alger vers le Niger.

ETS2. Retenez bien ce nom, car on risque d’en parler dans les prochains jours.
Et ce ne sera pas en bien. Cette taxe carbone pourrait faire flamber les prix des carburants de 23 centimes par litre.
On a eu les Gilets Jaunes pour moins que cela. Entre les ZFE, les malus divers, les limitations de circulation et maintenant ces taxes carburants ETS2, tous les ingrédients d’une nouvelle crise sociale sont réunis.
L’Ufip Énergies et Mobilité (Union française des industries pétrolières) tire la sonnette d’alarme. L’Emissions Trading System 2 est un énième dispositif européen visant à imposer un coût aux émissions de CO2. Pour les carburants, ce sont les pétroliers et les distributeurs qui en seront redevables. Mais, sans surprise, ils répercuteront immédiatement cette taxe sur les prix à la pompe.
ETS2, couplée à un mécanisme de fiscalité environnementale, devrait, selon l’UFIP EM, engranger 23 centimes de taxe. En ajoutant les 20 % de TVA (taxe sur la taxe), on frôle les 30 centimes. De quoi ramener le gazole à 2 € et faire allègrement franchir cette barre aux carburants SP 95 E10 et SP 98.
Même dans le scénario le plus optimiste, une hausse de 10 centimes suffirait à provoquer un mouvement de contestation. La hausse moyenne pourrait être de 15 centimes. Et ce n’est pas tout : ETS2 va également toucher le chauffage, ce qui signifie une double sanction pour les ménages français. Pourtant, la France est déjà l’un des meilleurs élèves en matière d’émissions de CO2 grâce à son électricité nucléaire et un marché automobile historiquement orienté vers les petits moteurs.
Comme pour les industriels contraints d’acheter des crédits carbone ou des droits à polluer, les automobilistes seront les prochaines victimes de cette taxation écologique à marche forcée. Pendant ce temps, l’État finance sur le dos de tous les Français des aides aux véhicules électriques. Or, ces véhicules restent inaccessibles pour une grande partie de la population : peu de ménages peuvent se permettre d’investir plus de 30 000 € dans une voiture neuve.
À cela s’ajoute l’obligation d’incorporer du biocarburant, plus cher que le carburant fossile. Résultat : un cocktail explosif qui pourrait faire grimper le prix du carburant à des niveaux insoutenables. Selon l’UFIP EM, aux 15 centimes d’euros par litre de taxes carburants via l’ETS2 s’ajoutent 8 c€/l pour les CEE (avec un potentiel de 16 c€/l) et environ 6 c€/l pour l’intégration des biocarburants.
Et encore, le baril de pétrole est relativement bas en ce moment. Imaginez ce qui arrivera en cas de remontée des cours… Cette nouvelle réjouira sans doute ceux qui peuvent se payer une Tesla à 46 000 € hors option, tandis que les autres devront se serrer la ceinture. Le mécontentement populaire grandit, et un nouveau mouvement de contestation voit le jour sous l’impulsion d’Alexandre Jardin et d’autres figures engagées.
Les bourgeois regardent les gueux de toute leur morgue.
L’ETS2 ne se contente pas de pénaliser les automobilistes : elle frappe aussi l’industrie automobile européenne. Alors que le secteur subit déjà les effets des normes environnementales toujours plus strictes, cette taxe risque d’accélérer la désindustrialisation et de favoriser l’importation de véhicules chinois, moins chers et produits sans les mêmes contraintes écologiques. Paradoxalement, ces décisions risquent donc de nuire davantage à l’environnement en encourageant la délocalisation de la production.
Les zones rurales et périurbaines seront particulièrement touchées.
"La vaccination reste ouverte pour les personnes âgées de 18 à 64 ans présentant des comorbidités", a précisé le ministère de la Santé dans un communiqué, samedi.
Changement de règles pour la vaccination contre le chikungunya. Les autorités sanitaires françaises ont annoncé, samedi 26 avril, retirer les personnes de 65 ans et plus de la campagne de prévention avec le vaccin Ixchiq à Mayotte et La Réunion.
Cela fait suite à trois "événements indésirables graves", dont un décès. "La vaccination reste ouverte pour les personnes âgées de 18 à 64 ans présentant des comorbidités", a précisé le ministère de la Santé dans un communiqué.
Les trois événements indésirables graves sont survenus à La Réunion chez des personnes de plus de 80 ans présentant des comorbidités, a précisé le ministère de la Santé. "Deux personnes ont présenté des symptômes similaires à ceux d'une forme grave de chikungunya quelques jours après la vaccination, dont l'une est décédée. La troisième est sortie d'hospitalisation", a-t-on poursuivi de même source.
"Compte tenu de la gravité de ces événements, la Direction générale de la santé (DGS) a saisi en urgence le 24 avril la HAS pour réévaluer les indications de vaccination contre le chikungunya par le vaccin Ixchiq" de Valneva, a précisé le ministère de la Santé. La Haute Autorité de santé (HAS) s'étant prononcée vendredi en faveur d'une révision des cibles de la vaccination, les autorités sanitaires ont décidé de retirer de la cible vaccinale, "sans délai, les personnes de 65 ans et plus présentant ou non des comorbidités".

« Il n’a pas besoin de description, car chaque détail dans cette scène est un poignard dans le cœur. » https://t.co/OiVxHVgcqS
— Caisses de grève (@caissesdegreve) April 24, 2025
La vidéo insoutenable ci-dessus, dont vous trouverez la source ici, montre un enfant palestinien projeté de son immeuble sur le toit d’un immeuble voisin après le bombardement d’un immeuble résidentiel par l’armée israélienne. L’explosion a également déchiqueté une petite fille, dont les restes sont visibles sur le toit.
Si vous allez su X, vous trouverez malheureusement des centaines, des milliers même de telles vidéos.
Hier 24 avril, Israël commémorait le « Jour de la Shoah », comme chaque année. Et l’Union Européenne a tenu à s’y associer:
« With profound sorrow and shame, we recall the atrocities committed by Nazi Germany and its collaborators and reaffirm our unwavering commitment to combat the senseless hatred against Jews wherever it arises. »
See our full EU #YomHaShoa statement here: https://t.co/o86R1CxZtu pic.twitter.com/S8XWAztl9w
— EU in Israel (@EUinIsrael) April 23, 2025
Et puis le 24 avril est aussi le jour de deuil pour le génocide des Arméniens. Mais là l’Union Européenne a cédé aux pressions politiques de la Turquie et supprimer le terme « génocide », réécrivant son post d’origine sur X:
The EU mission in Armenia edited its post from earlier today, replacing the word « genocide » with « Armenian victims of [free for interpretation] 1915-1923 ». https://t.co/1TOmG3PIqX pic.twitter.com/bdjSY3qURL
— Ani Avetisyan (@AvetissianAn) April 24, 2025
Alors, vous pensez bien qu’il n’était pas question, en ce jour de commémoration, de parler du génocide des Palestiniens!
Le tableau sur lequel nous soulevons le voile est atroce: la Turquie fronce les sourcils, et l’on ne parle plus de « génocide des Arméniens ». Israël proteste et l’on se tait sur le génocide de Gaza.
A vrai dire, les choses sont beaucoup plus graves. Les Etats-Unis livrent des armes de plus en plus destructrices à Israël pour écraser les Palestiniens de Gaza.
Laisse les grandes personnes parler entre elles et va jouer avec maman
#Macron au #Vatican a voulu s’incruster, il avait même fait mettre 3 chaises…
Et il se fait dégager ! 😂
— Florian Philippot (@f_philippot) April 26, 2025
Voyez ça ⤵️
Cet homme est désespérant ! pic.twitter.com/gsVqLU3LTy
🚨 VIDÉO QUI FAIT MAL À L'ÉGO 🇫🇷
— Planetes360 (@Planetes360) April 26, 2025
À la basilique Saint-Pierre, Donald Trump n’a même pas fait semblant :
👉 Macron dégagé comme un vulgaire figurant, pour pouvoir parler tranquillement avec Zelensky.
La scène est captée par Dan Scavino, proche de Trump. Et franchement ? C'est… pic.twitter.com/vpGRj2zWAh

— par Pierre-Alain Depauw — 25 avril 2025
Le Premier ministre slovaque Robert Fico tire la sonnette d’alarme concernant les vaccins expérimentaux contre la COVID au lendemain de la publication d’un nouveau rapport qui a révélé des niveaux « extrêmement élevés » d’ADN dans les nouvelles injections.
« Ignorer les conclusions des experts sur la qualité des vaccins contre la COVID-19 utilisés en Slovaquie serait extrêmement irresponsable », a déclaré le Premier ministre slovaque Robert Fico.
En mars, la biochimiste tchèque Dr Soňa Peková a publié un rapport spécialisé indiquant que la quantité d’ADN résiduel trouvée dans les flacons de vaccins Pfizer et Moderna contre la COVID provenant de Slovaquie atteignait jusqu’à 100 fois la limite réglementaire.
En réponse à ce rapport inquiétant, le Premier ministre slovaque Robert Fico a prononcé un discours mettant en garde le public contre les « niveaux extrêmement élevés d’ADN » trouvés dans les vaccins à base d’ARNm.
Dans un discours enregistré publié sur Russia Today (RT), le dirigeant slovaque a déclaré que traiter cette « question extrêmement sensible et sérieuse » était une priorité urgente.
« C’est pourquoi j’ai essayé de trouver une réponse à ce problème extrêmement grave dans un délai raisonnable », a expliqué Fico, ajoutant que « le gouvernement devrait, par résolution, informer les citoyens slovaques des graves conclusions du rapport d’expert, qui a trouvé des niveaux exceptionnellement élevés d’ADN et de substances non divulguées dans les échantillons de vaccins testés. »
« Bien que les taux de vaccination contre la COVID-19 soient actuellement extrêmement faibles, les gens méritent un tel avertissement », a ajouté le Premier ministre.
Le dirigeant slovaque a appelé à un arrêt immédiat des achats par le gouvernement de ces vaccins expérimentaux contre la COVID-19 (d’une valeur totale de 5 793 801 €) que l’ancien Premier ministre Ľudovít Ódor s’est engagé à acheter, jusqu’à ce que les enquêtes concernant la contamination de l’ADN soient terminées.
Je vous met le passage en question.
— EXOCET17™ 🇫🇷 (@excocet17) April 26, 2025
Vidéo du 24/04/2025.
Merci mon Général ! 🫡🇫🇷 https://t.co/dMoak4S88l pic.twitter.com/pl8LoEqAeJ
Pour mettre des bâtons dans les roues des voitures, Bruxelles ne manque pas d’idée.
Encore une brillante idée de la Commission européenne. Le jeudi 24 avril, Bruxelles a proposé de rendre obligatoire le contrôle technique annuel des voitures et camionnettes de plus de dix ans ans. L’objectif de la mesure serait de « réduire de 50 % le nombre de tués et de blessés graves sur les routes d’ici à 2030 ».
La nouvelle a beau être présentée comme relevant du bien commun, elle fait grincer des dents, pas seulement chez les responsables politiques. Jordan Bardella est l’un de ceux qui l’ont mal accueillie. Sur son compte X, le président du Rassemblement national a posté le message suivant : « Après les ZFE, ETS2, l'interdiction de la vente des véhicules thermiques en 2035, l'aggravation du malus, la guérilla menée contre les automobilistes continue. »
Après les ZFE, ETS2, l'interdiction de la vente des véhicules thermiques en 2035, l'aggravation du malus, la guérilla menée contre les automobilistes continue.
— Jordan Bardella (@J_Bardella) April 25, 2025
Nous nous opposerons à cette énième mesure punitive et ferons respecter les 40 millions d'automobilistes français. https://t.co/FTH6mQgQBN
les ripoux @EmmanuelMacron , @bayrou veulent des efforts de la part des gueux 😡
— Cléopatre✌ (@Cleopatre21s) April 25, 2025
Bravo à nos grands cerveaux qui ne savent même pas que vendre à perte est théoriquement interdit ?
Sans parler de l augmentation DES TAXES sur nos factures
bande de voleurs tricheurs
c'est une honte pic.twitter.com/ZZN26u4ESN
🇳🇱 Geert Wilders, Vorsitzender der holländischen Partei PVV sagt,
— der_oberlausitzer 🖤 ❤️ 💛 (@oberlausitzer_) April 25, 2025
"Dass Woke vorbei ist und EU-Führer wie Macron, Scholz und Sanchez fertig sind. Die Masseneinwanderung ist gescheitert und alle Illegalen sollten abgeschoben und die Grenzen gesichert werden." pic.twitter.com/Hz5AW0Pklq
Geert Wilders, président du parti néerlandais PVV, déclare : « Ce réveil est terminé, et les dirigeants européens comme Macron, Scholz et Sanchez sont finis. L'immigration de masse a échoué, et tous les immigrants illégaux doivent être expulsés et les frontières sécurisées. »
— Pascal Laurent (@Pascal_Laurent_) April 25, 2025
Un tout nouveau long métrage documentaire d'Oracle Films :
— Benoit Martin ⚜ PPC-Maxime Bernier 💜 (@benoitm_mtl) April 24, 2025
🎥 « L'Agenda : Leur vision. Votre avenir » [2025]
▶️ Ils veulent toutes les ressources du monde dans leur poche 💧🌞🌳⛽️
🎞️ https://t.co/p3iPuBhSM6 pic.twitter.com/b3Xs5h4ul4

Les Généraux André Costou et Paul Pellizzari ont été radiés par Emmanuel Macron, pour manquement au devoir de réserve après avoir signé une tribune, en 2021, qui dénonçait « le délitement de la France ».
Ils alertaient donc sur le «délitement» du pays, une haine entre communautés alimentée par un certain antiracisme, l’islamisme et les hordes de banlieue et pire, ils se disaient également disposés à « soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation et prévenaient que si le laxisme continue à se répandre, cela rendrait nécessaire l’intervention de nos camarades d’active ».
En arrière plan, on a donc le vote Le-Pen éventuel et une allusion à l’opération « Ronces », dont Zemmour avait parlé, qui officiellement n’existe pas, mais qui consisterait pour l’armée, à rétablir l’ordre par la force dans les quartiers sensibles, en cas d’émeutes passant hors de contrôle.
Il se passe un truc avec l’islam et Macron : sa manière de se coucher en permanence devant l’Algérie, son autre manière de faire entrer le plus possible d’hommes majoritairement musulmans en France chaque année, sa façon de ne pas en faire trop pour juguler les crimes et délits commis au couteau, par ce qu’il faut nommer des « jeunes », alors que tout le monde sait de qui on parle. Son inaction, ou son action à minima contre une délinquance émanant toujours de ces mêmes personnes et dernièrement, ces manœuvres qu’on lui prête pour faire écarter un candidat pape par trop anti-islam, à contrario de son prédécesseur dont l’action en faveur des migrants musulmans a semblé un peu trop appuyée aux dires de certains commentateurs… ceci alors que Meloni, l’italienne, vient de redire que l’islam n’avait de compatibilité avec les valeurs occidentales, ce qui apparaît de plus en plus comme une évidence.
Mais au-delà de l’interrogation sur cette religion, il y a la méthode récurrente. De-Villiers, écarté, Costou et Pelizzari, écartés, Jallamion, écarté, Le Général Georgelin, retrouvé mort dans des conditions suspectes, les militants Claire Séverac, Corine Gouget, Bernard Christophe, morts également dans des conditions suspectes, les médecins récalcitrants pendant le Covid, intimidés, les Gilets Jaunes, tabassés et ainsi de suite… on peut toujours qualifier de dictateurs le Russe Poutine et le Chinois Xi JingPing, la vie publique française n’est pas vraiment une arène où la liberté d’expression est autorisée et même où l’on peut se sentir en sécurité physique…