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dimanche 23 juin 2024

samedi 22 juin 2024

AFFAIRE : Brigitte Macron alias Jean Trogneux contre Natacha REY

 

Surréaliste Attal…


 

Voilà Attal en campagne et son bilan, qui n’a pas l’air d’être de lui, ce doit être celui du Rassemblement National, pardon, ce qu’aurait fait le Rassemblement National s’il avait été au pouvoir.

 « On a mené pendant sept ans le pays à la ruine, pour bien vous montrer ce qui se passerait si le RN était élu. Vous avez bien vu, les 1000 milliards de dettes, les ruines industrielles, la délinquance galopante et l’antisémitisme rampant, c’est ce qu’ils feront s’ils sont élus… votez pour nous, nous allons redresser tout cela, nous sommes les seuls à ne pas être des extrémistes ».

 Ce n’est pas vraiment ce qu’il raconte, mais ça y ressemble. L’homme du passif, flanqué de Philippe, son prédécesseur qui a ruiné et menti pendant la crise Covid, expliquent qu’ils vont remettre la France sur des rails. Il ne manque plus que Borne, expliquant que sa réforme des retraites, c’est la faute du RN. Et le même Attal de prendre ses distances d’avec Macron le honni pour demander qu’on le nomme, lui et personne d’autre, premier ministre… on croit rêver.

Il faut dire que l’inscription de l’IVG dans la Constitution, les vestiaires pour transgenres, l’éducation sexuelle à l’école et le problème palestinien, n’intéressent plus personne. Même la planète n’intéresse plus. Les électeurs ont l’air d’avoir enfin compris que 0,04 % de carbone dans l’atmosphère terrestre et 4 % de ces 0,04 %, d’origine humaine, ça sert de fable pour grands enfants naïfs. 

Que le fiasco de la voiture électrique est le révélateur de cette incurie. Que 400 millions d’Européens brimés ne changeront rien au climat de la planète, face aux plus de six milliards d’humains qui n’ont strictement rien à faire de notre narratif carbone imbécile. Il y a bien un combat écologique à mener, mais il n’est pas dans le carbone. Et comme le disait le patron des petits patrons, en matière d’économie, on ne peut pas éviter le principe de réalité. C’est pourtant ce qu’ils ont tous fait, en gobant la nécessité du confinement assorti des PGE et des compensations financières, distillées au nom du quoi qu’il en coûte.

Moi stagiaire kiné, j'ai du passer des jours à dilater un trans

 

Qui a volé le soleil et surtout pourquoi?

 

« Nous les avons libérés du nazisme, ils ne nous le pardonneront jamais »


 

 

 

22 juin 1944, il y a trois ans jour pour jour qu’Hitler et l’Allemagne nazie ont lancé leur guerre d’extermination contre l’Union soviétique.

 Les forces alliées qui avaient débarqué le 6 juin piétinent en Normandie, les Allemands maîtrisent encore l’essentiel des territoires conquis dans les trois premières années du conflit mondial.

Aux premières heures de ce jour, les positions de l’armée allemande Biélorussie subissent la première préparation d’artillerie de l’opération Bagration, la plus grande opération militaire combinée de l’Histoire

Pour la première fois, Joukov et les Soviétiques vont pouvoir mettre en œuvre le fameux « art opératif » qu’ils ont été les premiers à théoriser au début des années 30.

Stalingrad fut une bataille d’anéantissement classique, Koursk une bataille défensive, Bagration qui va comporter 10 offensives coordonnées (« Joukov joue du piano » écrira Lidell Hart) va concerner un front de 1000 km et permettre, à la stupéfaction du monde entier, une avancée de 600 km. Elle sera précédée d’une préparation logistique assez incroyable pour un pays martyrisé et pour ses parties récemment libérées, détruit de fond en comble par les envahisseurs nazis avant leur fuite. L’Armée rouge déploie à cette occasion une puissance qui stupéfie les autres belligérants des deux camps. À l’issue de ce mouvement, la défaite du groupe d’armées Centre est consommée. Techniquement, les trois armées qui le composent (4e, 3e panzer et 9e armée) sont détruites, et seuls des éléments épars refluent en Prusse-Orientale et dans les Pays baltes. L’Union soviétique détruit près de 30 des divisions du groupe et brise complètement la ligne de front allemande.

Autre point commun avec le débarquement en Normandie, l’usage forcené de la ruse : Bagration fut précédé de la plus inimaginable « déception » de l’histoire militaire depuis le Cheval de Troie. Cette gigantesque opération d’intoxication, «la maskirovka » fût en vérité d’une autre ampleur que Fortitude. Comme la contribution de la Résistance. Le matin du 20 juin, 15 000 explosions paralysèrent toutes les communications ferroviaires et détruisirent tous les ponts importants sur les arrières allemands en Biélorussie. Les soviétiques ont aussi expérimenté la sauvagerie allemande. Des Oradour-sur-Glane, la Biélorussie en a connu 628.

En heureuse contrepartie, 800 000 Allemands furent mis hors de combat en trois semaines, soit cinq fois plus qu’en Normandie. On met souvent en avant, et à juste titre, le chiffre effarant des morts soviétiques de la deuxième guerre mondiale. Il y a un autre chiffre significatif qui dit bien la conséquence de cette contribution. Les alliés anglo-saxons mettront hors de combat chaque année en moyenne 200 000 Allemands. Les Soviétiques, 1 200 000…

Tout ça par peur de perdre cette manne qu’est le business du Hallal

 


Envoyé spécial : Divine, victime du racisme ou suprémaciste noire ?


Capture d'écran © Envoyé Spécial Capture d'écran © Envoyé Spécial

 

 

Envoyé spécial entre en campagne. À l’image des autres émissions de l’audiovisuel public, le magazine d’Élise Lucet prend ses responsabilités. 

L’heure est trop grave pour rester neutre. Vous comprenez, le fascisme est aux portes du pouvoir.

Dans sa lutte contre « la haine », Envoyé spécial vient de dégoter le visage parfait. Celui-ci se prénomme Divine (on ne pouvait pas rêver mieux). Son portrait nous a été fait dans le numéro diffusé jeudi 20 juin : Divine est noire, souriante et avenante. Son français n’est pas irréprochable, mais ça ne rend la dame que plus attendrissante. Surtout, on nous précise qu’elle est aide-soignante, et ça, ça clôt tous les débats. On a donc affaire à une personne dévouée, généreuse, humaniste, le cœur sur la main. Rien à voir avec ses salauds de voisins. Eux sont blancs, retraités et, comble de l’horreur, votent pour le Rassemblement national. Évidemment, entre les deux maisonnées, les tensions règnent et les insultes fusent. « Les élections, ça a libéré la parole, affirme la douce Divine. C’est une autorisation, une porte ouverte, à dire aux immigrés que vous n’êtes pas les bienvenus, que vous n’êtes pas chez vous. »


 

Depuis la campagne des européennes, Divine dit vivre un enfer. Elle déplore des affiches pro-RN orientées vers sa terrasse et des « cris de singe ». En face, les voisins accusent Divine de les avoir traités de « cochons ». Qui ment ? Qui dit la vérité ? Nul ne sait, mais Envoyé spécial a décidé de prendre parti pour l’aide-soignante et d’adopter son point de vue pour présenter la situation.

Une aide-soignante au profil étonnant

Sur son site officiel, Envoyé spécial promettait de « donner la parole aux électeurs ». L’émission a juste oublié de préciser que ces « électeurs » sont parfois aussi des militants. C’est le cas de notre chère Divine Kinkela qui, comme le révèle son compte Facebook, relaie abondamment les communiqués du Parti communiste français. Un petit détail qu’il aurait été bon d’indiquer au téléspectateur de France 2 ! D’autres posts encore plus problématiques font l’apologie du « peuple noir africain », appelé à s’unir pour son avenir. Imaginez un seul instant les réactions si les voisins de Divine avaient évoqué le « peuple blanc français »… Les accusations de suprémacisme n’auraient pas tardé.


 

Justice pour Didier

De plus, il apparaît que le journaliste lui-même n'était pas un modèle d'objectivité: militant, lui aussi! On doit au lanceur d'alerte et militant Reconquête Damien Rieu d'avoir retrouvé quelques-uns de ses tweets, pas piqués des hannetons. Et si, dans cette histoire, la victime n’était pas Divine mais son voisin Didier, l’ancien plombier, l’homme au tee-shirt « Je suis fier d’être français » ? Et si, pour une fois, on se mettait à la place de ce retraité ?

Avant Avignon, des artistes en panique à l’idée de l’arrivée du RN


Capture d'écran X Capture d'écran X

 

À quelques jours du Festival d’Avignon et son lot de « créations », dont certaines œuvres subventionnées laissent à désirer, les artistes sont fébriles

 

Voyant le RN aux portes du pouvoir, ils ont peur. Peur pour leur liberté de s’exprimer, mais aussi et surtout peur de se voir couper les vivres.

Certains choisissent de « décrire toute la palette du racisme, ses différents degrés, jusqu’à son inverse, la bienveillance ou la culpabilité », telle Julie Delpy, qui réalise le film Les Barbares (en salles le 18 septembre). Elle nous raconte l’histoire d’un joli village qui accueille de charmants réfugiés syriens. Mais, hélas, lit-on dans le synopsis, « certains, dans ce charmant petit village breton, ne voient pas l’arrivée de leurs nouveaux voisins d’un très bon œil. Alors, au bout du compte, c’est qui, les barbares ? » Vous avez la réponse ?

Une propagande immigrationniste qui devient d’autant plus insupportable que le cinéma français est financé en partie par le contribuable, y compris pour les films qu’il déserte. Ainsi, le sénateur LR Roger Karoutchi pointait, dans un rapport en 2023, dont le titre « Itinéraire d’un art gâté : le financement public du cinéma » laisse aisément présager le contenu, « l'abondance de moyens » dilapidés au service du septième art (financé à hauteur de 31 % par des fonds publics en 2021) et appelait l'État à être plus regardant.


 

D'autres vont se plaindre sur les plateaux télé. À l’instar d’Ariane Ascaride, comédienne engagée contre le réchauffement climatique, pour la diversité et l’égalité hommes-femmes dans le cinéma et l’audiovisuel, artiste militante donc, qui s’exprimait chez BFM TV, le 19 juin. Pour cette dernière, en cas de victoire du RN aux législatives, « c’est sûr, tout ce qui est (sic) les théâtres subventionnés, qu’est-ce qui va rester comme subventions ? […] Je suis sûre qu’ils vont faire disparaître les intermittents. […] Ils s’en prendront pas à la culture, ils s’en foutront, ils enlèveront l’argent, c’est tout, puis de toute façon, ça a toujours été comme ça. »

vendredi 21 juin 2024

Les multiples manigances des USA pour renforcer leur hégémonisme planétaire! Lumineuse analyse de Jeffrey Sachs.

 



Candace Owen en remet une couche !

 



Bulletin STRATPOL N°191. Pas d’Hitler sans Front populaire, la paix selon V. Poutine. 21.06.2024.

 


Le rêve américain est devenu un cauchemar pour les plus défavorisés




La plupart des américains qui vivent dans des camping-cars n’en sont même plus propriétaires aujourd’hui ! La plupart d’entre eux appartiennent aux « vanlords » !!

Si vous habitez dans une grande ville américaine, vous pouvez en voir tout autour de vous. 

Je parle de fourgonnettes, de véhicules aménagés et de caravanes vieillissantes qui restent garés sur le bord de la route pendant des mois et qui sont évidemment occupés par des personnes. Il existe une classe entière d’américains qui vivent dans de telles conditions, et il existe une classe entière d’« hommes d’affaires » qui s’en prennent à ces personnes. Quand j’étais jeune, les gros titres faisaient la une des journaux sur les « seigneurs des taudis » qui profitaient des pauvres. Selon le dictionnaire Merriam-Webster , un « propriétaire de taudis » est « un propriétaire qui tire des bénéfices inhabituellement importants de propriétés de qualité inférieure et mal entretenues ». Aujourd’hui, nous sommes confrontés à un problème d’un type différent.

 Les « Vanlords » garent des fourgonnettes, des camping-cars et des caravanes dans les rues des pires quartiers de nos grandes villes, et ils les louent à des personnes qui n’ont pas les moyens de se payer un logement ordinaire. Malheureusement, nous vivons à une époque où de très nombreuses personnes ne peuvent pas se permettre un logement ordinaire parce que le nombre de sans-abri explose partout dans le pays . Dans certaines régions, des efforts ont été déployés pour sévir contre les « vanlords », mais lorsque la situation devient trop chaude dans une région, ils se déplacent simplement ailleurs. Tant qu’il y aura de vastes hordes d’Américains sans abri qui souffriront profondément, il y aura des « vanlords » désireux d’en profiter.

Matt Feely vient d’écrire un article très intéressant sur ce phénomène. Il dit que les choses vont particulièrement mal dans les quartiers les plus pauvres d’Oakland …

Cependant, la forme la plus familière et la plus inquiétante de sans-abri à Oakland est devenue le campement de véhicules. Quelques petits groupes de véhicules se sont rassemblés dans mon quartier de North Oakland, des files de camping-cars sales et de voitures cabossées cherchant de l’ombre sous une autoroute surélevée, mais c’est le pauvre East Oakland qui connaît le pire. Là-bas, de tels campements ont envahi de longues étendues de rues animées, visitant des quartiers déjà en difficulté avec d’immenses sculptures vivantes de laideur et de désordre – des voitures remplies de vêtements et de déchets ; des camping-cars imposants garés pendant des mois, des trafics de drogue et de sexe en pleine rue; des déchets s’accumulent autour et entre les véhicules, et de nombreux nouveaux délits. Récemment, la ville a dû remplacer les feux de circulation à une intersection d’East Oakland par des panneaux d’arrêt, car des gens, probablement du campement de véhicules voisin, volaient constamment les câbles pour vendre le fil de cuivre à l’intérieur.

C’est ainsi que vivent aujourd’hui un grand nombre de personnes dans tout le pays.

Macron : un suicide centriste - JT du vendredi 21 juin 2024


 

Publiée le 21/06/2024

Pour ouvrir ce journal, la majorité macroniste tente de convaincre dans une campagne éclaire mais montre des signes de division.

Nous reviendrons ensuite sur le coût de l’électricité qui s’invite dans la campagne des législatives.

Et enfin, une page religieuse avec Rome qui pourrait tenter d’interdire la messe à certains catholiques. 

Charles Prats: "J'envisage effectivement que Macron soit contraint à la démission !"

 

FRANCE. Les prix de marché de l’électricité sont négatifs, mais pour vous c’est positif, toujours plus cher et toujours en hausse !

 

 

par | 21 Juin 2024 |

 

Cet article de Bloomberg (source ici) vaut son pesant de cacahuètes… alors que nous payons tous de plus en plus cher nos factures d’énergie qui sont devenues de véritables douloureuses, le prix de l’électricité devient négatif en France sur les marchés de gros !

Si en tant que fournisseur d’énergie j’achète à prix négatif pour vous vendre à prix très positif je vous laisse imaginer la rente monstrueuse que l’Union Européenne a volontairement créée.

Pourquoi les prix peuvent-ils être négatifs ?

« La France produit trop d’électricité certains jours aux heures de faible demande. Conséquence, le prix de l’électricité peut parfois devenir négatif. La semaine dernière, le tarif du mégawattheure tombait à – 5,76 euros, le plus bas atteint depuis quatre ans, rapporte Bloomberg. Dans le même temps et pour un contrat équivalent, le mégawattheure était facturé 7,64 euros en Allemagne.

L’entreprise publique Électricité de France, premier producteur et fournisseur d’électricité national, a même demandé la suspension de la production de plusieurs centrales nucléaires. EDF s’est exécuté et a mis à l’arrêt provisoirement les sites de Golfech 2, Cruas 2 et Tricastin 1. Certains producteurs d’énergie renouvelable sont également contraints, par contrat, d’arrêter leur production lorsqu’un tel cas de figure de produit, sous peine de pénalités. La France n’est pas dotée de suffisamment d’infrastructures de stockage de l’énergie pour se permettre de produire beaucoup plus qu’elle ne consomme. »

Ce qu’il faut savoir c’est que l’on débranche au sens premier du terme les panneaux solaires et autres éoliennes tant la production est importante notamment l’été avec le photovoltaïque. Les énergies intermittentes et non-pilotables sont très compliquées à gérer.

Dans le programme du NFP, une libération massive de prisonniers


Image générée par IA Image générée par IA 
 

Demandez le programme ! À l’approche du premier tour des élections législatives et après une semaine de tractations, d’alliances et de reniements, les programmes des différents partis et des différentes unions tombent. 

Celui du Nouveau Front populaire mérite l'attention, notamment son volet « Sûreté, Sécurité et Justice ».

Il comprend six mesures : le rétablissement de la police de proximité, la révision et l’allongement de la formation des policiers, l’augmentation des moyens de la Justice, la mise en place de récépissés pour les contrôles d’identité, la suppression de l’IGPN et de l’IGGN (la police de la police et la police de la gendarmerie) et la lutte contre la surpopulation carcérale.

Libérations massives

Ce dernier point est particulièrement intéressant, car pour lutter contre la surpopulation carcérale, il n’existe que deux options : libérer des prisonniers ou construire des prisons. Pour Pierre-Marie Sève, directeur de l’Institut pour la justice, interrogé par BV, qui « ne demande qu’à être démenti », le NFP optera pour la libération. L’union des gauches « fera comme Nicole Belloubet du temps du Covid », elle relâchera d'un coup des milliers de délinquants. Selon lui, pour arriver à cet objectif de 0 % de surpopulation, il faudrait ouvrir les portes des prisons à « au moins 16.000 détenus ». Ce n'est pas rien !

Ce n’est pas tout, puisque cette jauge devra être maintenue. Pierre-Marie Sève explique comment : « Je suis persuadé que si le Nouveau Front populaire arrive au pouvoir, il votera pour la régulation carcérale. » Cela consiste à « faire sortir un prisonnier pour en faire entrer un autre ». Un mécanisme cher aux députés LFI ex-NUPES Ugo Bernalicis, Mathilde Panot, Jean‑François Coulomme, Emeline K/Bidi, Andy Kerbrat, Antoine Léaument, Élisa Martin, Danièle Obono, Thomas Portes, Davy Rimane et Andrée Taurinya, tous auteurs d’une proposition de loi en ce sens et tous investis par le NFP.

Incarcérations infimes

Avec une telle mesure, les délinquants sortiraient plus vite de prison ou n’y mettraient même pas les pieds.

jeudi 20 juin 2024

LFI : ils veulent absolument qu’on pense comme eux…


 

Le nouveau Front populaire sera à majorité LFI.

 Mélenchon est arrivé à ses fins, dominer une coalition dans laquelle il partait désavantagé, en regard du score obtenu lors du scrutin du 9 juin. 

Le vieux renard aura eu raison des autres partis pour imposer ses vues et son programme. Il fait de sa formation l’axe central et devient la figure incontournable. C’est bien là peut être que sera le problème, d’autant que l’association avec Poutou n’en finit pas de susciter des interrogations, quand ce ne sont pas des peurs, notamment sur les positions anti FDO qu’il n’hésite pas à revendiquer, jusqu’à se présenter dans la ville où a été assassiné le gendarme Beltrame. La provocation est à la hauteur du mépris et de la haine de cette gauche contre ce qui porte un uniforme. Dans le même temps, l’alliance s’empresse de préparer la contestation sociale. Le détonateur destiné à faire sauter la paix civile est en place, sous le prétexte que les libertés seront menacées, lutte décidée et encadrée par les valeurs que la gauche dispense, comme à son habitude, rendant le RN responsable par avance des maux qui pourrait surgir après sa victoire éventuelle.

Le RN est le diable parfait pour permettre à la gauche d’accéder au pouvoir. Elle ne craint qu’une chose, être prise de vitesse et voir le RN gouverner. Le risque est alors grand, car les mensonges pourraient ne pas résister à l’épreuve de la réalité. Au pire il ne ferait pas mieux, mais sans pour autant que les catastrophes annoncées aient lieu, nous devions voir une cascade de reculades sociales en Italie, on cherche encore, on ne constate rien. C’est donc à dessein que le NFP doit semer le doute, se livrer au procès d’intention, hurler sa haine à l’idée que le scrutin vienne contredire sa sainte parole. Et tous s’y mettent. Des hauts fonctionnaires de l’éducation nationale viennent de se distinguer en affirmant qu’ils n’appliqueraient pas les nouvelles directives. On se souvient qu’ils ont par ailleurs, été prompts à se plier aux injonctions durant le COVID, dont on sait aujourd’hui toute l’absurdité et l’inutilité.

Marseille - Une enfant de 10 ans a été "massacrée"

 

 FLASH - Une enfant de 10 ans a été "massacrée", rouée de coups, de pieds et de poings en pleine cour d’école par 5 élèves qui la harcelaient, à #Marseille
 
Un élève lui a même sauté à pieds joints sur la tête. 
 
La directrice de l’école était au courant que la jeune fille se faisait harceler, avec des insultes comme "grosse", "moche" ou “marron", mais avait répondu que parler d’"harcèlement" était un "grand mot". L’un des élèves avait publiquement annoncé qu’il mettrait l’enfant "en sang". La fillette a passé une semaine à l’hôpital et est depuis "murée dans le silence". Elle devrait mettre "6 mois à 1 an avant de s'en remettre". 
Une carte de soutien qui lui était destinée a été dégradée par certains camarades de classe. Sa mère soupçonne la direction de l’école de vouloir étouffer l’affaire et hésite à déménager. (Le Figaro)

A propos du " Procès Trogneux "

 

 

 

La Russie dépasse les États-Unis comme fournisseur de gaz à l’Europe


 

 
 par · Publié

Par Tyler Durden pour Zero Hedge,


Selon certains des éléments les plus cyniques, toute la guerre en Ukraine, orchestrée par Victoria Nuland et divers éléments de l’État profond liés à l’énergie, n’avait qu’un seul but : remplacer la Russie par les États-Unis en tant que principal fournisseur de gaz européen (et le récent sabotage du gazoduc Nord Stream ne semble que valider cette « théorie du complot » particulière).

Et s’il est vrai que la guerre visait à remplacer un fournisseur d’énergie européen par un autre, alors nous avons une mauvaise nouvelle : la guerre n’a servi à rien. Selon le Financial Times, les importations européennes de gaz en provenance de Russie ont à nouveau dépassé les approvisionnements en provenance des États-Unis pour la première fois en près de deux ans en mai, malgré les efforts de la région pour se sevrer des combustibles fossiles russes depuis l’invasion massive de l’Ukraine.

Si certains facteurs ponctuels ont contribué à ce revirement, il met en évidence la difficulté de réduire davantage la dépendance de l’Europe à l’égard du gaz russe, plusieurs pays d’Europe de l’Est dépendant encore des importations de leur voisin, tandis que d’autres contournent activement leurs propres sanctions dans l’espoir d’obtenir de l’énergie moins chère.

« Il est frappant de voir la part de marché du gaz russe et du [gaz naturel liquéfié] augmenter en Europe après tout ce que nous avons traversé et tous les efforts déployés pour découpler et réduire les risques liés à l’approvisionnement en énergie », a déclaré Tom Marzec-Manser, responsable de l’analyse du gaz au sein de la société de conseil ICIS. En réalité, ce n’est pas le cas, et cela montre que malgré toute la rhétorique et les prises de position, rien n’a changé en Europe et que Moscou continue de s’imposer comme une source d’énergie pour l’Europe.

À la suite de l’invasion totale de l’Ukraine par la Russie en février 2022, Moscou a réduit ses livraisons de gaz par gazoduc à l’Europe et la région a augmenté ses importations de GNL, qui est transporté par des navires spécialisés dont les États-Unis sont le principal fournisseur. Quelques mois plus tard, en septembre 2022, les États-Unis ont dépassé la Russie en tant que fournisseur de gaz à l’Europe et représentent depuis 2023 environ un cinquième de l’approvisionnement de la région.

Mais le mois dernier, le gaz acheminé par la Russie et les expéditions de GNL ont représenté 15 % de l’approvisionnement total de l’UE, du Royaume-Uni, de la Suisse, de la Serbie, de la Bosnie-Herzégovine et de la Macédoine du Nord, selon les données de l’ICIS. Le GNL en provenance des États-Unis a représenté 14 % de l’approvisionnement de la région, son niveau le plus bas depuis août 2022, selon les données de l’ICIS.

Macron : en pleine dérive autoritaire ? - JT du jeudi 20 juin 2024



Publiée le 20/06/2024

A la une de cette édition, l’hypothétique recours aux pleins pouvoirs pour le président de la République. 

Selon des rumeurs, Emmanuel Macron chercherait à se les octroyer après les élections législatives. Éclairage avec un juriste dans cette édition.

Après la Commission européenne, c’est au tour de la BCE d’appeler à la rigueur budgétaire… Nouvel avertissement pour les candidats au poste de premier ministre.

Et enfin, une page immobilière avec la question des DPE, les diagnostics de performance énergétique pour les logements, au cœur de la campagne des législatives…

« la bio de Brigitte Macron a été formaté par Mimi Marchand »

 

 

 

 

Le vrai problème avec Bardella


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 Qui peut croire qu'un jeune homme de 28 ans qui n'a jamais exercé aucun mandat, géré aucune collectivité, dirigé aucune entreprise, qui n'a ni formation ni expérience, peut gouverner la sixième puissance économique mondiale ? 
 
Ceci à une époque où la complexification des enjeux, des réseaux, des paramètres est maximale.
 
Les séances de media-training intensives ont fabriqué un profil de porte-parole du gouvernement, un secrétaire d'État à la rigueur si l'on veut faire plaisir, mais enfin, pas un chef de gouvernement! 
La question des compétences est d'autant plus cruciale que l'on prétend engager un changement de cap. Vous remarquerez pourtant que ce paramètre n'est quasiment jamais évoqué sérieusement par les médias mainstream. Même sur fond d'effondrement de compétences générales, c'est incompréhensible sans un scénario plutôt inquiétant. 
Si j'étais un peu dur, je dirais que nous voyons bien le robot, mais pas très clairement qui détient la ou les télécommandes. 
La réponse pourrait en rassurer certains ou en alarmer d'autres, mais l'absence de réponse, et bien pire, l'absence de question, devrait allumer les signaux d'alarme de ceux qui cartographient les pouvoirs
 Précision : je ne tire aucun enseignement de ses prises de position qui me semblent obéir à la règle "s'éloigner en toutes choses des bords de la fenêtre d'Overton." C'est sans aucun doute ce qu'il faut faire dans leur situation, même si cela abouti à la généralisation de l'impression de n'avoir plus de réelle opposition au narratif du bloc oligarchique et à la montée du nihilisme politique. Vous connaissez néanmoins mes priorités politiques du moment:
 
1- éviter la guerre contre la Russie et obtenir des initiatives diplomatiques pour le paix 
 
2 - bloquer ou à défaut ralentir le changement de population. 
 
3 - reconquérir progressivement nos libertés et notre souveraineté.
 
Précision (puisque ce tweet fait beaucoup réagir). 
 
 Il n'y a qu'une chose qui puisse expliquer le silence relatif des médias sur le profil Bardella, c'est qu'il soit, après la mise hors course de MLP (par exemple à l'issue d'un procès), préparé pour être imposé comme le candidat de son camp afin de perdre contre le successeur d'Emmanuel Macron.
 
 MLP a par le passé, montré qu'elle pouvait faire sauter un N°2 en deux semaines sans affecter son organisation. Elle a donc certainement une télécommande pour Bardella.
Mais sa mise hors-course révélerait qu'il existe une autre télécommande et que les piles de la sienne sont déchargées. 
 
Dans cette configuration, il faut l'installer et le rendre bon gré mal gré, incontournable au cours d'une succession précipitée. Le profil inexpérimenté (et d'autres casseroles efficaces dans l'opinion) de Bardella sera exploité à fond une fois MLP neutralisée et pèsera lourdement sur l'issue du scrutin. Pure hypothèse bien-sûr.

Au train où vont les choses, Israël aura peut-être disparu dans quelques jours


 Netanyahu a besoin de l’opération à Gaza pour conserver son pouvoir, par Dmitri Bavyrine

 

parÉric Verhaeghe

Dans cette interview quinzomadaire de Thierry Meyssan, nous dressons un point sur l’actualité internationale. 

Thierry Meyssan s’interroge, entre autres, sur la capacité pratique de l’Etat israélien, à contrecarrer une offensive internationale, née du refus israélien de reconnaître les frontières de 1948. Le conflit qui s’annonce verra-t-il la disparition de l’Etat israélien, à l’instar de la disparition de l’Etat chrétien de Jérusalem ?



L’évolution récente en Israël ne manque pas d’inquiéter, notamment avec le départ “pas que” symbolique de Benny Gantz hors du gouvernement Nétanyahu. L’extrémisme du seul Netanyahu a-t-il seul pris le pouvoir, sans aucun “conseil de défense” pour tempérer les prises de positions tonitruantes et extrémistes du Premier Ministre israélien ?

Une interview tonitruante qui passe en revue toute l’actualité internationale, en examinant les risques liés à une possible extension de la guerre au sud Liban annoncée par Nétanyahu, dans une étrange fuite en avant.

Tedros Ghebreyesus: "C'est un assassin. L'OMS pourrit par la tête"

 

« Lorsque l’on a accumulé trop de mauvais choix, il n’y a plus aucune bonne solution et c’est ce que nous vivons ! ». L’édito de Charles SANNAT

 

 

 par | 20 Juin 2024 |

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Les propositions économiques du Front Populaire sont objectivement absurdes parce que l’on ne peut pas raser gratis et inventer de l’argent magique. 

Cela ne marche pas. Jamais. Nulle part. Cela ne veut pas dire qu’il faut voter pour le RN ou pour Macron, ou pas… en réalité peu importe.

Depuis l’annonce de cette folle dissolution par le président, beaucoup éprouve une sensation de peur, de panique parfois, et de malaise le plus souvent. Cette sensation que vous êtes nombreux à ressentir, il est possible d’y mettre des mots pour comprendre l’essentiel et l’essentiel se résume ainsi.



Lorsque l’on a accumulé trop de mauvais choix, il n’y a plus aucune bonne solution et c’est ce que nous vivons

Il n’y a pas de secret dans la vie.

Si l’on est riche quand on est vieux c’est parce que l’on a travaillé et accumulé du capital en économisant toute sa vie.

Si l’on peut passer un bon diplôme à 25 ans, c’est parce que l’on a beaucoup travaillé depuis le CP et que l’on a accumulé des connaissances et des compétences.

Si l’on fait des bons choix, leurs effets cumulés vont dans le temps produire de grands effets positifs.

Si l’on fait les mauvais choix, alors leurs effets cumulés vont dans le temps produire de grands effets négatifs.

Oui nous sommes responsables des conséquences cumulées de nos choix ou de nos non-choix sur la durée de nos vies. Je fume, je me drogue, je picole, ma santé se dégrade mon comportement aussi je perds mon travail, ma femme me quitte mes gosses me détestent quand je les cogne bourré au mauvais vin tous les soirs. Ou j’ai une vie saine sans être ascétique, j’aime ma femme et mes enfants, je m’en occupe même imparfaitement, mais avec amour et implication, je travaille sérieusement, mon chef sait pouvoir compter sur moi, j’ai des promotions et des augmentations… effets cumulés des bons ou des mauvais choix.

Ainsi tourne le monde, la vie, depuis la nuit des temps.

La solidarité nationale ne réparera jamais, JAMAIS, l’effet cumulé de nos mauvais choix personnels.



Au niveau national et collectif c’est la même chose !

Cela fait 7 ans que la vedette du Palais et le Mozart de la finance ruine notre pays. En 7 ans, il y a le temps pour commencer à façonner la société en bien comme en mal. C’est en mal.

Nous en sommes arrivés à une situation où il n’y a plus de bons choix.

Nous en sommes arrivés à une situation où il n’y a plus que de mauvais choix.

C’est ainsi.

Vous pouvez aimer LFI, leur programme économique est délirant. 48 heures avant la faillite, la sortie de l’euro, et la ruine du pays.

Vous pouvez aimer Macron, son échec depuis 7 ans est aussi patent qu’effroyable, jusqu’à cette dissolution suicidaire non pas pour le Mozart dont je me fiche de l’avenir comme d’une guigne mais pour le pays et donc sa population dont l’intérêt est ma seule boussole.

Vous pouvez aimer Bardella et le RN, mais que voulez-vous qu’un gamin de 28 ans fasse à Matignon ! Soyons sérieux. Aussi sympathique que vous le trouviez, ce jeune homme n’a jamais travaillé, je ne parle même pas de sa formation académique (je pense que l’on peut largement s’en passer et avoir a minima un bon sens qui vous évite de faire des âneries grosses comme certains énarques pourtant diplômés de tout ce qu’il faut).

Frédéric Rouvillois sur l’article 16 : « le Président peut enrayer toute la machine »


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Agrégé de droit public, Frédéric Rouvillois enseigne le droit constitutionnel et les libertés fondamentales à l'université de Paris. Il a publié une trentaine d'ouvrages, dont le dernier, Politesse et politique, publié en mars dernier aux Éditions du Cerf.

 

Marc Baudriller. Les Français sont appelés aux urnes pour des élections législatives, les 30 juin et 7 juillet. Mais le président de la République n'est pas assuré d'obtenir, à l'issue du scrutin, la majorité des voix des députés. Emmanuel Macron aurait évoqué en privé l'usage de l'article 16 de la Constitution, ce que l'Élysée dément. Que dit l’article 16 ?

Frédéric Rouvillois. L’esprit initial de l’article 16 a été imaginé par de Gaulle en 1958, alors qu’il avait été traumatisé par la débâcle de 1940. Le président de la République de l’époque, Albert Lebrun, n’avait eu aucun moyen juridique et constitutionnel de reprendre les choses en main afin d’éviter la défaite honteuse de la France. S’il avait eu des pouvoirs plus importants, Albert Lebrun aurait pu, notamment, décider que le gouvernement soit envoyé en Afrique du Nord pour continuer le combat.

Donc, en 1958, de Gaulle se dit que ce type de situation pourrait très bien se renouveler. Et, par conséquent, il faudrait que, le cas échéant, le président de la République puisse avoir la liberté, en son âme et conscience, de se saisir du pouvoir presque dictatorial. Le texte dit qu’il peut prendre toutes les mesures nécessaires lorsque cela s’impose : lorsque, d’une part, il y a une grave menace sur les institutions, l’État et la nation, et lorsque, d’autre part, il y a une interruption du fonctionnement régulier des pouvoirs publics. Ce sont des conditions cumulatives.
Dans ce cas, le chef de l’État peut ouvrir l’article 16 et, pendant une période variable, il aura les mains libres. Concrètement, il disposera à la fois des pouvoirs exécutif et législatif.

 

M. B. La durée de cette période de pleins pouvoirs est-elle limitée par la Constitution ?

F. R. La durée n’a pas été envisagée par de Gaulle. En 2008, une grande révision constitutionnelle lancée par Sarkozy a ajouté un double délai : au bout de 30 jours, certains organes de l’État, 60 députés ou 60 sénateurs peuvent saisir le Conseil constitutionnel pour lui demander si les conditions d’ouverture de l’article 16 sont toujours réunies. De plus, au bout de 60 jours, le Conseil constitutionnel, de plein droit, détermine si les conditions sont toujours réunies et donne alors un avis public. Mais, pour autant, cela ne change rien au problème. Si, de son côté, le président de la République considère que les conditions sont toujours réunies, il pourra continuer à appliquer l’article 16 et conserver les pleins pouvoirs.

 

M. B. Les conditions sont-elles réunies pour qu’Emmanuel Macron fasse appel à cet article 16 ?

F. R. Le texte de l’article 16 paraît assez précis, mais en réalité, il ne l’est pas du tout. La notion de « grave menace » ou de « fonctionnement régulier » des pouvoirs publics dépend de l’interprétation qu’on en donne. Rien n'interdirait à Macron de considérer que, si la droite obtient une majorité absolue aux élections législatives et que Jordan Bardella ne veut pas pour autant devenir Premier ministre, la situation représente une grave menace pour l’État et la nation. On aurait alors une interruption du fonctionnement régulier des pouvoirs publics car il n’y aurait pas de gouvernement. Les conditions seraient réunies. Macron en est tout à fait capable. Il a poussé Élisabeth Borne à multiplier les 49.3, il est capable d’utiliser tous les outils constitutionnels, et pourquoi pas cet article 16.

 

M. B. En 1961, la France a déjà décidé l’application de l’article 16 : combien de temps ?

mercredi 19 juin 2024

François Asselineau

 

 

Macron, fossoyeur des finances - JT du mercredi 19 juin 2024



Publiée le 19/06/2024

Nous commençons ce soir avec le nouveau revers subi par Emmanuel Macron : à 11 jours des élections législatives anticipées, la Commission européenne désavoue sa gestion des finances publiques !

 

Face au revers cuisant infligé par les Français le 9 juin dernier, la majorité présidentielle tente d’amorcer un virage à droite pour sauver ses législatives. La gauche, elle, commence à reculer sur son programme économique.

 

Et puis nous reviendrons sur la partition difficile que doit jouer le Rassemblement National.

 

Vous, vous payez… mais pas Rodolphe Saadé, le milliardaire chouchou de Macron, échappe à l’impôt

 

 par | 19 Juin 2024 |


« Rodolphe Saadé, le milliardaire chouchou de Macron, échappe à l’impôt » c’est le titre de cet article à charge de Médiapart (source ici) sur le patron de la CMA CGM la grande compagnie maritime française.

« Grâce à une niche fiscale sur le fret maritime et à l’optimisation via sa holding, le patron de CMA CGM, Rodolphe Saadé, ne paie quasiment pas d’impôts, alors que sa fortune a septuplé grâce à la crise du covid. La Macronie et le président en personne applaudissent ».

Je n’ai rien contre Monsieur Saadé et son rachat de BFMTV, un milliardaire remplaçant l’autre à la tête de nos médias, et restant toujours proche du pouvoir car à ces niveaux là les relations sont assez intestines. Ne soyons pas naïfs.

Ce qui me dérange plus, c’est évidemment quand on nous explique le cœur sur la main qu’il faut faire payer les riches.

JAMAIS. Vous m’entendez, JAMAIS dans l’histoire les vrais riches n’ont payé. JAMAIS.

C’est eux qui font les rois et les lois. Ne soyons pas naïfs.

[EDITO] L’effrayant programme du Nouveau Front populaire


mélenchon burkina faso

 

 

Le programme du Nouveau Front populaire (NFP) semble avoir été rédigé non pas sur un coin de table mais à l'ombre d'une barricade entre deux manifs de Black Blocs ou anti-flics. 

Programme qui, rappelons-le, a reçu le contreseing de François Hollande, ancien Président « social-démocrate » de la République française ! Un programme effroyable et effrayant. 

On ne parlera pas, ici, de son coût financier qui, si l’on en croit les « experts », s’évalue en centaines de milliards. Si, tout de même, juste un mot sur la très généreuse proposition concernant la gratuité des cantines scolaires ? Qui paiera ? Pour le primaire, les communes ? Elles n’en peuvent déjà mais et peinent à boucler leurs budgets. Ce programme ne le dit pas, mais on peut l’imaginer. Mais ce programme est surtout effroyable et effrayant, car il vise tout simplement à accélérer, précipiter notre pays dans le chaos.

En perspective : une bombe migratoire

Tout d’abord, précipitation dans le chaos migratoire. Ainsi, sous le très humaniste sous-titre « Garantir un accueil digne », le NFP annonce qu’il abrogera les lois Asile et Immigration de Macron. La dernière, retoquée et dévitalisée par le Conseil constitutionnel, passerait donc à la trappe. Mais ce n’est pas suffisant. Résolument pro-actif, le NFP veut créer une « agence de sauvetage en mer et sur terre », et ce, « dans l’attente de sa création au niveau européen et en appui de l’agence de l’Union européenne pour l’asile ». Mais ce n’est pas tout. Il est, aussi, question de créer un « statut de déplacé climatique », ce qui consisterait, on l’imagine, à ouvrir une nouvelle filière d’immigration en France. Concernant Mayotte, le NFP ouvre à bloc les vannes, d’une part en améliorant « les conditions d’accueil des exilés [on notera l’emploi de ce terme], d’autre part en supprimant « les conditions empêchant le déplacement entre Mayotte et le reste du territoire » [traduire : la métropole]. Cela va sans dire, on garantira l’accès à l’aide médicale d’État ainsi que « le droit du sol intégral pour les enfants nés en France » et, bien évidemment, on facilitera l’obtention de la nationalité française. Ce n’est plus une pompe aspirante mais une bombe migratoire en perspective pour la France, alors même que la plupart des États de l’Union européenne agissent ou, tout de moins, essayent ou font semblant de réduire l’immigration illégale.

Victoire des islamo-gauchistes