Christian Hofer : on n'échappera pas aux sophismes journalistiques prétendant que "de nombreux musulmans sont inquiets" car si cette immense majorité existait réellement, les fameux salafistes n'auraient aucune chance de s'imposer.
Les musulmans savent pertinemment qu'ils ne possèdent aucun argument face aux salafistes qui pratiquent un islam bien plus proche des sources, qui ne peut être réfuté.
Les premières victimes sont les non musulmans et non pas ces musulmans qui nous ont menti durant des décennies pour mieux imposer leur dogme chez nous en prétendant que leur religion était tolérante alors qu'ils connaissent la vérité.
Un simple exemple : un non musulman ne pourra jamais aller au paradis selon l'islam.
Pour un musulman pratiquant, nous ne possédons aucune valeur, quel que soit le nombre d'actions charitables que nous pourrions produire.
Il n'y a pas d'islamisme ni d'islam en Europe sans immigration musulmane.
Ceux qui sont dépossédés de leurs pays sont les non musulmans, au nom du vivre ensemble.
Dans de multiples cités, les salafistes prennent peu à peu possession des rues, des commerces, des écoles... Sous l’Œil inquiet de nombreux musulmans.
Le groupe scolaire s’appelle Al-Andalus, du nom donné à la péninsule ibérique sous domination musulmane.
C’est aussi le nom qu’Aqmi (Al-Qaïda au Maghreb islamique) a choisi pour sa filiale de communication sur Internet.
Cette école privée à Saint-Denis, sous la direction de l’association du Centre d’enseignement génération avenir (Cega), est gérée par Mustapha Halloumi.
L’imam salafiste, « défavorablement connu » des services de renseignement, a été écarté de sa mosquée, en 2012, par la mairie d’Epinay.
Quatre ans plus tard, l’Education nationale lui a délivré un agrément…
Il est 16 h 30, les élèves commencent à sortir.
Des fillettes voilées courent vers des pères barbus.
Ce n’est pas leur barbe – épaisse, longue, parfois teinte au henné – ni leur qamis, longue tunique traditionnelle affectionnée par les salafistes, qui inquiètent le plus, mais leur nombre : « Quand on ne voit plus les mères, c’est qu’il y a un problème d’intégrisme radical », nous explique-t-on.
C’est cette islamisation des ghettos urbains, cette « conquête » de l’islam par l’islamisme que dénonce Bernard Rougier, professeur à la Sorbonne-Nouvelle et directeur du Centre des études arabes et orientales (CEAO), dans « Les territoires conquis de l’islamisme » (éd. Puf).
« Dans certaines cités, on ne fume plus dans les rues, dénonce une habitante de Saint-Denis. Plus jamais les femmes ne discutent entre elles en bas des immeubles. Les couples ne se tiennent plus la main. On n’entend plus de musique… »
Les habitants se retrouvent quasi prisonniers de la « umma », la communauté musulmane.
A Trappes, toutes les boucheries sont halal.
Même constat dans le quartier de la cité de la Rose-des-Vents, à Aulnay-sous-Bois.
Ce mardi 31 décembre, jour de marché, les températures sont glaciales, le ciel bleu vif et les femmes voilées.
Quelques-unes disparaissent sous le djilbab, qui montre juste leur visage.
Dans des effluves de menthe et d’agrumes, les allées sont bordées de stands de vêtements amples, de voiles islamiques et de livres religieux.
Des hommes fument devant des bars bondés.
A l’intérieur, pas de femme.
« L’accès ne leur est pas interdit, dira une Aulnaysienne, mais ici on pense que les femmes n’ont rien à faire dans un café ! »
[...]
Parismatch.com
Nos remerciements à Démonha Eitrigg
C’est aussi le nom qu’Aqmi (Al-Qaïda au Maghreb islamique) a choisi pour sa filiale de communication sur Internet.
Cette école privée à Saint-Denis, sous la direction de l’association du Centre d’enseignement génération avenir (Cega), est gérée par Mustapha Halloumi.
L’imam salafiste, « défavorablement connu » des services de renseignement, a été écarté de sa mosquée, en 2012, par la mairie d’Epinay.
Quatre ans plus tard, l’Education nationale lui a délivré un agrément…
Il est 16 h 30, les élèves commencent à sortir.
Des fillettes voilées courent vers des pères barbus.
Ce n’est pas leur barbe – épaisse, longue, parfois teinte au henné – ni leur qamis, longue tunique traditionnelle affectionnée par les salafistes, qui inquiètent le plus, mais leur nombre : « Quand on ne voit plus les mères, c’est qu’il y a un problème d’intégrisme radical », nous explique-t-on.
C’est cette islamisation des ghettos urbains, cette « conquête » de l’islam par l’islamisme que dénonce Bernard Rougier, professeur à la Sorbonne-Nouvelle et directeur du Centre des études arabes et orientales (CEAO), dans « Les territoires conquis de l’islamisme » (éd. Puf).
« Dans certaines cités, on ne fume plus dans les rues, dénonce une habitante de Saint-Denis. Plus jamais les femmes ne discutent entre elles en bas des immeubles. Les couples ne se tiennent plus la main. On n’entend plus de musique… »
Les habitants se retrouvent quasi prisonniers de la « umma », la communauté musulmane.
A Trappes, toutes les boucheries sont halal.
Même constat dans le quartier de la cité de la Rose-des-Vents, à Aulnay-sous-Bois.
Ce mardi 31 décembre, jour de marché, les températures sont glaciales, le ciel bleu vif et les femmes voilées.
Quelques-unes disparaissent sous le djilbab, qui montre juste leur visage.
Dans des effluves de menthe et d’agrumes, les allées sont bordées de stands de vêtements amples, de voiles islamiques et de livres religieux.
Des hommes fument devant des bars bondés.
A l’intérieur, pas de femme.
« L’accès ne leur est pas interdit, dira une Aulnaysienne, mais ici on pense que les femmes n’ont rien à faire dans un café ! »
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