On ne s’étonnera jamais assez du nombre impressionnant d’individus « psychologiquement fragiles » que peut compter la communauté musulmane dans notre pays.
En effet, après nous avoir répété en boucle ces derniers jours que le converti Nathan Chiasson, auteur de la tuerie islamiste de Villejuif du 3 janvier, souffrait d’abord et avant tout de « troubles psychiatriques », les grands médias nous assurent maintenant que sa compagne, placée en garde à vue mardi alors qu’elle préparait un attentat suicide contre la police, est, elle aussi, sujette à des problèmes « psychiques » !
Entendue une première fois par les enquêteurs vendredi soir dernier, alors que son compagnon, armé d’un couteau, avait le jour même massacré au cri d’« Allah Akbar » un homme de 56 ans et blessé grièvement deux innocentes, avant d’être neutralisé par les forces de l’ordre, cette femme de 33 ans, elle aussi convertie et décrite par la police comme « très croyante », avait cependant été relâchée et placée sur écoute téléphonique.
Or, en prenant connaissance de ses conversations au téléphone, les enquêteurs sont tombés sur une discussion au cours de laquelle elle confiait à une amie vouloir commettre un « suicide by cops ». Autrement dit, un attentat suicide visant à tuer un maximum de policiers pour venger la mort de son compagnon.
Interpellée à son domicile de Palaiseau (Essonne) mardi midi par les hommes de la brigade criminelle et de la brigade de recherche et d’intervention de Paris, la jeune femme, qui portait sur elle un couteau, a immédiatement été placée en garde à vue pour « association de malfaiteurs terroriste ». Une garde à vue qui, toutefois, aura à peine duré 24 heures puisque, dès mercredi matin, la suspecte était relâchée pour le motif qu’elle présenterait « une forte tendance suicidaire » nécessitant une hospitalisation.
Or, en prenant connaissance de ses conversations au téléphone, les enquêteurs sont tombés sur une discussion au cours de laquelle elle confiait à une amie vouloir commettre un « suicide by cops ». Autrement dit, un attentat suicide visant à tuer un maximum de policiers pour venger la mort de son compagnon.
Interpellée à son domicile de Palaiseau (Essonne) mardi midi par les hommes de la brigade criminelle et de la brigade de recherche et d’intervention de Paris, la jeune femme, qui portait sur elle un couteau, a immédiatement été placée en garde à vue pour « association de malfaiteurs terroriste ». Une garde à vue qui, toutefois, aura à peine duré 24 heures puisque, dès mercredi matin, la suspecte était relâchée pour le motif qu’elle présenterait « une forte tendance suicidaire » nécessitant une hospitalisation.
L’insupportable complicité des médias
Une explication qui fait d’ailleurs aujourd’hui le bonheur des grands médias qui, tout en nous racontant suivant leur habitude que cette femme est « fragile psychologiquement », insistent à qui mieux mieux sur le « désespoir » de celle qui devait bientôt se marier religieusement et « ne se remet pas du décès de son futur époux ».
Sous leurs plumes, sa volonté de commettre un nouveau carnage islamiste n’est ainsi plus motivée par son fanatisme musulman, mais par cette « tristesse découlant de la mort de son compagnon ». Mieux : dans leur insupportable volonté d’intoxiquer nos compatriotes et de les tromper sur la réalité de la menace islamiste qui pèse sur eux et sur notre pays, certains sont même allés jusqu’à écrire que « l’islam [proscrivant] le suicide, c’est donc en attaquant des forces de l’ordre que la suspecte envisageait de se donner la mort » !
Une véritable honte quand on sait que cette femme ne pouvait ignorer le projet islamo-terroriste de Nathan Chiasson, qu’à aucun moment elle ne l’a dénoncé, et qu’elle l’a même très probablement cautionné.
Sous leurs plumes, sa volonté de commettre un nouveau carnage islamiste n’est ainsi plus motivée par son fanatisme musulman, mais par cette « tristesse découlant de la mort de son compagnon ». Mieux : dans leur insupportable volonté d’intoxiquer nos compatriotes et de les tromper sur la réalité de la menace islamiste qui pèse sur eux et sur notre pays, certains sont même allés jusqu’à écrire que « l’islam [proscrivant] le suicide, c’est donc en attaquant des forces de l’ordre que la suspecte envisageait de se donner la mort » !
Une véritable honte quand on sait que cette femme ne pouvait ignorer le projet islamo-terroriste de Nathan Chiasson, qu’à aucun moment elle ne l’a dénoncé, et qu’elle l’a même très probablement cautionné.
Franck Deletraz
Article paru dans Présent daté du 9 janvier 2020
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