Ipsos a choisi ce vendredi 13 pour publier un sondage fort intéressant et dont les résultats n’étonneront que les aveugles et les drogués à la migrantophilie.
Un sondage qui révèle que, sur la question des migrants, une large majorité de Français n’en peut plus : pour 60 % d’entre nous, les migrants constituent « une menace » ; 65 % pensent que cette immigration « n’améliorera pas la situation du pays » et 45 % jugent même que l’arrivée des migrants « prive les Français de services sociaux ».
Enfin, 54 % des sondés estiment que les Français devraient être prioritaires dans l’attribution d’un emploi.
Cette fameuse « préférence nationale » à l’emploi.
Ainsi, malgré des décennies d’idéologie matraquant le contraire, les Français se montrent, sur cette question aussi, des Gaulois réfractaires.
Pour les étonnés ou les ravis de l’immigration, on peut tenter une explication : le vécu quotidien des Français – le réel – entre délinquance, islamisation, évolution de certaines villes et certains quartiers leur inspire très logiquement de tels sentiments.
Or, ces chiffres ne devraient que grossir car, désormais, ce sentiment qu’ils avaient face à leur réel est confirmé par des faits et des chiffres objectifs, incontestables, qui tombent peu à peu, au compte-gouttes.
Comme, par exemple, cette étude des sociologues Baptiste Coulmont et Patrick Simon sur les prénoms qui se fonde sur les données 2008-2009 de « Trajectoires et origines » (TeO).
Quels sont les prénoms qui montent et ceux qui descendent ?
Quelle somme est dépensée pour les migrants mineurs par les conseils départementaux chargés de la politique sociale ? Etc.
Mais le sondage ne s’arrête pas là, et le raisonnement des Français non plus.
Forts de ce constat bien ancré et de cette exaspération, les Français ont aussi de la suite dans les idées. Et une suite politique.
Et, sur ce plan, la majorité déterminée à changer les choses monte même à plus de 70 % !
Ainsi l’étude révèle-t-elle aussi que 73 % des Français jugent l’économie comme « truquée » en faveur des riches et des élites.
75 % estiment « que les partis traditionnels et les politiciens ne se soucient pas des gens comme eux, ou encore ne les comprennent pas ».
Enfin, pour 77 % des Français (oui, 77 % !), « l’arrivée d’un leader fort, capable de casser les règles », constituerait une « solution pour améliorer la situation du pays ».
Et ce peuple qui se réveille et relève la tête n’est nullement désespéré : 65 % des Français pensent, en effet, que cet homme pourrait « inverser la tendance et reprendre le pays des mains des riches et des puissants ».
Il ne faudra pas nous faire le coup de la fatalité, du « Trop tard, c’est pas possible ».
Boulevard Voltaire a lancé un sondage pour trouver le profil idéal pour battre Emmanuel Macron.
Le sondage Ipsos permet de préciser le profil et la fiche de poste : « Peuple exaspéré cherche désespérément homme fort pour arrêter les délires en tous genres, l’immigration et rendre l’argent aux Français. »
Il ne reste plus qu’à attendre l’homme, et l’heure où ces Français pourront enfin entendre ces paroles qu’ils attendent : « Vous n’en pouvez plus de ce qu’on vous a imposé depuis des années : la délinquance, les trafics, l’islamisation, l’appauvrissement, l’immigration.
Vous m’avez élu pour en sortir.
Je vais le faire avec vous, pour vous.
Ce ne sera pas facile car ça va crier quand il va falloir mettre les coups de pieds décisifs dans ces fourmilières. Soutenez-moi. »
Mais ces Français, à force d’attendre cet homme fort qu’ils ne voient pas venir, pourraient aussi se réinventer en peuple fort, et passer de la patience à l’action.
Dominique Monthus
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