Lambert Christian
Bonjour, Madame, je suis un fonctionnaire municipal de Villeurbanne. Je viens vous informer que votre fils a été égorgé et éventré tout à l’heure à l’arrêt d’autobus, par un Afghan, au nom d’Allah.
Votre fils était au mauvais endroit, au mauvais moment. Voilà, c’est comme ça maintenant. Bonne journée. »
« Bonjour Madame, je suis un fonctionnaire municipal de Marseille. Je viens vous informer que vos deux filles ont été égorgées et éventrées tout à l’heure près de la gare de Saint-Charles, par un Maghrébin, au nom d’Allah. Elles étaient au mauvais endroit, au mauvais moment. Voilà, c’est comme ça maintenant. Bonne journée. »
On est stupéfait que, dans un pays dit civilisé, le plus civilisé du monde disent certains, cette sauvagerie soit devenue banale.
Et pourtant les causes en sont simples et irréfutables.
La responsabilité en incombe à une gouvernance qui, depuis des décennies, démolit la France et procède à son inexorable disparition.
On a laissé les barbares s’installer dans la ville.
L’Afghan qui a assassiné ce jeune Français à Villeurbanne était, assure-t-on, un bénéficiaire du droit d’asile.
Il se promenait dans toute l’Europe de l’ouest en consommant du cannabis et en buvant de l’alcool. Comment ? Avec quel argent ?
Celui des allocations qu’il recevait sans doute de notre administration.
On note également que, dès le crime commis, un assassinat et huit autres personnes blessées dont trois grièvement, les autorités ont proclamé qu’il ne s’agissait que d’un fait divers qui n’avait rien de religieux.
Alors comment expliquer qu’en frappant le jeune Français, l’immigré afghan criait : « C’est Allah qui m’a dit de tuer » ?
Comment expliquer cette sorte d’acharnement des pouvoirs publics à banaliser le crime, à le classer aussitôt en faut divers, à finalement cacher la barbarie islamiste alors qu’elle est évidente ?
Autre série de violence : 101 femmes ont été tuées par leur compagnon depuis le début de l’année, en huit mois.
Est-ce là une preuve de civilisation ?
Les motifs de ces assassinats ne sont certes pas religieux, mais quels sont-ils ?
On aimerait bien connaître le prénom des « compagnons ».
Ce que l’on sait, c’est que le Coran autorise lesdits compagnons à frapper leurs compagnes et, à frapper un peu trop fort, la compagne en meurt.
Nous voilà donc dans un pays où, à tout instant, vous pouvez être égorgé par un immigré qui passe par là.
Ou bien c’est votre voisine qui peut être frappée à mort par son compagnon.
Et puis, il faut se souvenir ; il n’y a pas si longtemps, dans le sud-ouest, des enfants étaient abattus à l’arme à feu, parce qu’ils étaient juifs.
Par des SS ? Non, par des musulmans immigrés que l’on appelle islamistes.
Combien sont-ils en France ?
Des millions …
En réalité, cette situation alarmante révèle de la part du pouvoir une sorte de complicité avec le crime.
De façon générale, l’anarchie s’est aggravée partout en France.
« Le Figaro » du 12 septembre titre : « La France en proie aux pulsions homicides ».
On constate une véritable explosion des homicides et tentatives d’homicide dans l’Hexagone.
De 1 767 victimes en 2009 on est passé à 3 168 en 2018.
Une hausse supérieure à 79 % en 10 ans !
Et de citer le cas d’une certaine Salomé à Cagnes sur Mer (06) devenue, en succombant à la strangulation par son concubin, la centième victime de féminicide depuis le 1er janvier.
Le vice-président du syndicat des gradés et gardiens de la paix déclare : « Les forces de l’ordre ne font plus peur. Aujourd’hui, pour un rien, pour un regard, une queue de poisson, on en vient aux mains. Sortir une arme est devenu banal. »
La France est maintenant un pays où l’on tue, où l’on frappe les élus, les représentants des forces de l’ordre et où les coupables ne font l’objet que d’un rappel à la loi.
Où en est-on ? En France ou au Yémen ?
Tels sont les résultats d’une démocratie dévoyée, de décennies de démagogie.
Chacun fait ce qu’il veut et, s’il est catalogué à gauche ou immigré, il ne risque pas grand-chose.
Voici bientôt un an que, chaque samedi, des émeutiers s’en prennent aux forces de l’ordre, pillant les commerces et incendiant les véhicules en toute impunité.
Est-ce que ces désordres vont durer encore longtemps ?
Pour terminer, je poserai une question : cela vous ferait plaisir que votre petit-fils soit égorgé en bas de chez vous par un migrant bénéficiaire du droit d’asile grâce aux prélèvements obligatoires qui vous sont imposés et qui lui permettent d’acheter de la drogue et de tuer ?
les4verites
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