Anne-Sophie Chazaud
Depuis hier, les journalistes et experts semblent être en traque puis soulagés à l’idée que l’attaque au couteau par un Afghan demandeur d’asile ne soit pas «terroriste», c’est-à-dire reliée à une organisation.
J’avoue ne pas voir ce que cela a de rassurant, au contraire.
Il s’agit en effet de la barbarie du quotidien, profondément anti-occidentale, nourrie par une culture qui hait tout ce que nous représentons (supposé chrétien) tout en aspirant très curieusement à venir y vivre en masse.
Il s’agit de la folie ordinaire d’un nombre important de personnes qui nous vouent une haine viscérale, qu’on laisse entrer par vagues et par trafics encouragés par les Rackete et autres médaillées de la Mairie de Paris, flattés par le Pacte de Marrakech, tout en punissant au moyen d’une justice politique de PRISON ceux qui, comme au Col de l’Échelle, sans la moindre violence, tentent de dire que cela n’est juste concrètement plus possible.
Ce sont les mêmes qui, amateurs de produits stupéfiants, assassinent Sarah Halimi, laissent le jeune Marin pour mort au sol, agressent des homosexuels ou des transexuels, comme cette semaine à Grenoble «sur le Coran c’est un mec, sale fils de pute».
À part ça, c’est vous les phobiques.
Sur la vidéo d’hier à Villeurbanne, on voit l’assassin taper dans la main d’un «frère» musulman barbu (ce qui n’est d’ailleurs pas sans rappeler la sinistre politique de la Ville des «grands frères» où la gauche puis la droite ont abandonné les quartiers et acheté la paix sociale au profit du communautarisme religieux et du clientélisme), parce que bon, on va pas quand même égorger des «croyants», on va juste viser les autres.
Des témoins rapportent enfin que l’assassin reprochait aux gens agressés de «ne pas lire le Coran».
Alors, oui, il ne s’agit effectivement pas de terrorisme au sens organisationnel et international du terme, mais c’est bien précisément cela le problème : c’est devenu le danger du quotidien, un peu comme d’évoluer dans la nature parmi les Walkers de Walking Dead qui sont toujours prêts à vous étriper.
Ambiance.
Des témoins rapportent enfin que l’assassin reprochait aux gens agressés de «ne pas lire le Coran».
Alors, oui, il ne s’agit effectivement pas de terrorisme au sens organisationnel et international du terme, mais c’est bien précisément cela le problème : c’est devenu le danger du quotidien, un peu comme d’évoluer dans la nature parmi les Walkers de Walking Dead qui sont toujours prêts à vous étriper.
Ambiance.
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