Le 02/05/2015
Tous les conflits africains des trente dernières années ont eu leur lot de viols et de massacres.
Sordide affaire que cette histoire d’abus sexuels sur mineurs en Centrafrique.
Hélas, ce n’est pas la première fois que, dans une zone de conflit, les pires instincts s’exprimeraient en marge des combats.
Tous les conflits africains des trente dernières années ont eu leur lot de viols et de massacres.
En revanche, il est inédit que l’armée française soit accusée de telles pratiques.
L’armée française est visée.
Quelle distinction un enfant réfugié peut-il faire entre les différentes forces internationales opérant en RCA et perçues comme étant sous commandement français ?
François Hollande promet d’être implacable.
D’accoutumée, quand de telles affaires « sortent », les bonnes consciences et les belles âmes multiplient les appels au calme, à la justice qui suit son cours, à la présomption d’innocence, etc.
Tout comme le droit de vote et les squares de la IIIe République, il semble que tout cela soit « interdit aux chiens et aux militaires » : pour eux, nombre de procureurs, et trop peu d’avocats.
Étrange « lanceur d’alerte » que ce fonctionnaire de l’ONU, Anders Kompass, qui balance partout son rapport une semaine après l’avoir terminé, car il trouve la réaction trop lente.
Drôle de témoin qui refuse les auditions et ne répond que par écrit, protégé par son immunité onusienne, d’accusations envers 14 militaires français « non identifies ».
Et sacré personnage que WikiLeaks accuse d’avoir étouffé au Sahara occidental les mêmes crimes qu’il dénonce en RCA.
Depuis Outreau, le Français moyen sait combien les affaires criminelles sur les enfants peuvent être complexes et aussi, parfois, se révéler de sombres manipulations pour détourner l’attention.
Quelles que soient les culpabilités, l’armée française est salie.
Et s’il n’y avait rien dans le dossier, François Hollande serait-il implacable avec ceux qui ont insulté l’honneur des milliers de soldats qui ont servi en RCA dans des conditions que pas un fonctionnaire ne supporterait plus de trois jours ?
Hélas, ce n’est pas la première fois que, dans une zone de conflit, les pires instincts s’exprimeraient en marge des combats.
Tous les conflits africains des trente dernières années ont eu leur lot de viols et de massacres.
En revanche, il est inédit que l’armée française soit accusée de telles pratiques.
L’armée française est visée.
Quelle distinction un enfant réfugié peut-il faire entre les différentes forces internationales opérant en RCA et perçues comme étant sous commandement français ?
François Hollande promet d’être implacable.
D’accoutumée, quand de telles affaires « sortent », les bonnes consciences et les belles âmes multiplient les appels au calme, à la justice qui suit son cours, à la présomption d’innocence, etc.
Tout comme le droit de vote et les squares de la IIIe République, il semble que tout cela soit « interdit aux chiens et aux militaires » : pour eux, nombre de procureurs, et trop peu d’avocats.
Étrange « lanceur d’alerte » que ce fonctionnaire de l’ONU, Anders Kompass, qui balance partout son rapport une semaine après l’avoir terminé, car il trouve la réaction trop lente.
Drôle de témoin qui refuse les auditions et ne répond que par écrit, protégé par son immunité onusienne, d’accusations envers 14 militaires français « non identifies ».
Et sacré personnage que WikiLeaks accuse d’avoir étouffé au Sahara occidental les mêmes crimes qu’il dénonce en RCA.
Depuis Outreau, le Français moyen sait combien les affaires criminelles sur les enfants peuvent être complexes et aussi, parfois, se révéler de sombres manipulations pour détourner l’attention.
Quelles que soient les culpabilités, l’armée française est salie.
Et s’il n’y avait rien dans le dossier, François Hollande serait-il implacable avec ceux qui ont insulté l’honneur des milliers de soldats qui ont servi en RCA dans des conditions que pas un fonctionnaire ne supporterait plus de trois jours ?
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