Après le temps des interrogations sur le mystère des origines et des amitiés troubles de ce réseau ukrainien frayant avec le pouvoir russe, sur leurs méthodes guerrières, avec leur centre d'entraînement au combat en plein Paris, est venu le temps des soupçons avec l'opacité de leur financement.
Puis c'est l'heure du discrédit et des accusations, au sein même de leurs rangs, qui a sonné: elles n'auraient qu'un vernis d'idéologie, plus attirées par leur nombre d'occurrences sur Google et sur papier glacé que par la rage de leur «laïcité et liberté» à crier au monde, ces féministes articulées depuis l'Ukraine par un homme, un gourou, Viktor Svyatski.
Fondateur du mouvement en 2008, cet Ukrainien quadragénaire tirait les ficelles de l'organisation.
Décrit comme égocentrique et avide de pouvoir, il était craint de «ses filles» pour ses ordres et ses méthodes brutales.
C'est cette dernière révélation qui, dévoilée par l'Ukraine n'est pas un bordel, le film de Kitty Green présenté à la Mostra de Venise la semaine dernière, a porté l'estocade aux nymphes de l'arène.
L'imposture vient de conduire la branche belge des Femen à annoncer sa dissolution. «Suite à des différends sur l'organisation interne du mouvement international Femen», a indiqué un communiqué.
Un tourment n'arrivant jamais seul, la justice française rattrape le mouvement ce vendredi.
Neuf Femen - dont Inna Chevtchenko, leader du groupe - comparaissent devant la 10e chambre du tribunal correctionnel de Paris pour «dégradations dans un lieu de culte en réunion», après leur action dans la cathédrale de Notre-Dame de Paris le 12 février dernier.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/09/12/01016-20130912ARTFIG00634-le-mouvement-des-femen-en-pleine-crise.php
Puis c'est l'heure du discrédit et des accusations, au sein même de leurs rangs, qui a sonné: elles n'auraient qu'un vernis d'idéologie, plus attirées par leur nombre d'occurrences sur Google et sur papier glacé que par la rage de leur «laïcité et liberté» à crier au monde, ces féministes articulées depuis l'Ukraine par un homme, un gourou, Viktor Svyatski.
Fondateur du mouvement en 2008, cet Ukrainien quadragénaire tirait les ficelles de l'organisation.
Décrit comme égocentrique et avide de pouvoir, il était craint de «ses filles» pour ses ordres et ses méthodes brutales.
C'est cette dernière révélation qui, dévoilée par l'Ukraine n'est pas un bordel, le film de Kitty Green présenté à la Mostra de Venise la semaine dernière, a porté l'estocade aux nymphes de l'arène.
L'imposture vient de conduire la branche belge des Femen à annoncer sa dissolution. «Suite à des différends sur l'organisation interne du mouvement international Femen», a indiqué un communiqué.
Un tourment n'arrivant jamais seul, la justice française rattrape le mouvement ce vendredi.
Neuf Femen - dont Inna Chevtchenko, leader du groupe - comparaissent devant la 10e chambre du tribunal correctionnel de Paris pour «dégradations dans un lieu de culte en réunion», après leur action dans la cathédrale de Notre-Dame de Paris le 12 février dernier.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/09/12/01016-20130912ARTFIG00634-le-mouvement-des-femen-en-pleine-crise.php
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