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mercredi 25 septembre 2013

La nounou du fils de Yannick Noah pourrait poursuivre le couple au pénal.

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Les propos de Rabra Bendjebbour à l'encontre d'Isabelle Camus, la compagne de Yannick Noah, sont d'une extrême dureté.

Publié le 24/09/2013 à 17:47 Crédits photo : JOEL SAGET/AFP

Propos de Rabra Bendjebbour à l'encontre d'Isabelle Camus, la compagne de Yannick Noah, sont d'une extrême dureté.

L'audience de conciliation entre la mère du dernier fils de Yannick Noah et l'ancienne nounou qui l'accuse de l'avoir sous-payée et licenciée abusivement, n'a rien donné. Les deux parties se retrouveront le 5 juin.
Une première audience de conciliation a eu lieu ce mardi au conseil de Prud'hommes de Bobigny entre l'ex- nounou du dernier fils du tennisman Yannick Noah et le représentant de la mère de l'enfant.


 Les deux parties sont en conflit: Rabra Bendjebbour, qui s'est occupé du petit Joalukas pendant l'été 2004, accuse la mère de l'enfant de l'avoir sous-payée et licenciée abusivement. «Je les ai suivis en tournée puis en vacances, et je m'occupais du petit nuit et jour, toute la semaine, pour 950 euros par mois», se révolte-t-elle.

Isabelle Camus, absente à l'audience

Il règne autour de cette affaire une grande confusion.

 D'un côté une ex-nounou révoltée, volubile, qui affirme avoir été traitée par le couple Yannick Noah et Isabelle Camus «comme une moins que rien», mais qui se réveille près de dix ans après les faits.
 
De l'autre, une prévenue, Isabelle Camus, absente à l'audience, dont les avocats refusent tantôt de parler, tantôt minimisent l'affaire.
«Il s'agit simplement d'une femme qui a travaillé quelques mois pour elle, il y a 9 ans! Pourquoi venir réclamer des heures supplémentaires après toutes ces années?» s'interroge Maître Jean Ennochi.
L'atmosphère était grave, ce mardi après-midi dans le hall du conseil de Prud'hommes de Bobigny. Les avocats des deux parties, plus fuyants que des ombres, disparaissaient, silencieux comme des chats dans leur longue robe noire, sans accepter de lâcher un mot, ni même un regard.
 
«Dès que les magistrats ont entendu le nom de Yannick Noah, ils se sont mis à rire»



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