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lundi 15 janvier 2018

Le Paris d’Hidalgo livré aux bandes africaines, par Caroline Parmentier


 
« En quelques minutes, ils ont descendu la rue en courant, des grands, casqués et armés. Les gamins et les gamines devant eux s’enfuyaient en hurlant de peur, l’un d’eux a été poignardé dans le dos. On se serait cru dans une scène de guerre d’un autre pays » (témoignage d’un habitant de la rue de la Roquette, Paris XIe).
 
Samedi soir, lors d’une rixe entre deux bandes africaines, Ismaël D, un adolescent de 15 ans d’origine africaine, a été tué en pleine rue d’un coup de couteau.
Un de ses cousins a été blessé à la tête d’un coup de bouteille.
Une vingtaine de Blacks de la bande de Riquet (du XIXe arrondissement) armés de battes de base-ball et de couteaux, sont venus narguer une dizaine de Blacks du XIe, en train de tourner un clip de rap.
Au cours d’un bref affrontement extrêmement violent, l’adolescent a été poignardé à mort avec une lame de 30 cm.
Hospitalisé en urgence à la Salpêtrière, il est mort à son arrivée.
Les témoignages recueillis sur place ont rapidement permis d’interpeller deux mineurs d’origine africaine, âgés de 14 et 15 ans.
 
Des bandes racistes au point de s’entretuer
 
« Il y a un rajeunissement important des protagonistes » explique le commissaire du XXe, Jacques Rigon.
« Sur les XVIIIe et XIXe arrondissement il y a des “fights” [combats, NDLR] avec des 12-13 ans, avant c’était 16-17 ans ».
On ne cesse de nous criminaliser, Anne Hidalgo en tête, avec le racisme, la discrimination, de nous seriner avec l’accueil des migrants, toujours plus, avec les joies de l’immigration et du multiculturalisme, sans rappeler que Paris intra-muros compte une quarantaine de bandes africaines actives et dangereuses.
 
Racistes au point de s’entretuer.
Impliquées également dans des agressions, des vols, du racket, des trafics etc.
Selon la police, les arrondissements parisiens les plus concernés sont le XVIIIe, le XIXe, le XXe, le XIIe mais aussi le XIIIe, le XIVe et le XVIIe …
 
En 2016, dans la France Orange mécanique, en région parisienne, les bandes se sont illustrées chaque mois dans une trentaine d’affaires – une par jour en moyenne – les affrontements entre bandes représentant environ un tiers des faits. Bande de la Grange-aux-Belles (Xe) contre groupe de Chauffourniers-Cité Rouge (XXe), Max-Dormoy-la-Chapelle (XVIIIe) contre Stalingrad-Orgues-de-Flandre (XIXe), bande de la Porte d’Asnières (XVIIe) contre groupe du quartier des 1 300 de Levallois-Perret, Montholon (IXe) contre leurs rivaux de Rozanof (XIIe)…
 
Même le distingué XVIe arrondissement de Paris est écumé par sa bande, installée Porte de Saint-Cloud.
 
La veille de la rixe de la rue de la Roquette, un autre Black a été assassiné dans un couloir de la station RER de Châtelet-Les Halles.
 
C’est aussi en intervenant dans une soirée « Face black » à Champigny-sur-Marne le soir du réveillon, que la jeune policière a été lynchée au sol à coups de pied.
 
Caroline Parmentier
 
Article paru dans Présent daté du 16 janvier 2018
 
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