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dimanche 11 juin 2023

Qui a saboté le traitement?Une simple supplémentation en vitamine D des résidents âgés (88ans) et malades réduit la mortalité #covid des 2/3 (17% contre 55%)avec 50 000UI


 

A l’automne 2020 le concensus existait sur l’incroyable efficacité de la vitamine D . La mise à l’écart de cette molécule fut un acte CRIMINEL. Reconnaitre son efficacité AURAIT RENDU IMPOSSIBLE LA MISE SUR LE MARCHE DES INJECTIONS ARNm

 73 médecins spécialistes et six associations de médecins appellent, le mardi 19 janvier 2021, « à supplémenter l’ensemble de la population française en vitamine D » de façon préventive, au motif que de nombreuses données scientifiques montrent que cela « pourrait contribuer à réduire l’infection  » par le coronavirus. Les signataires de cette tribune, parmi lesquels se trouvent « des professeurs d’université de différentes spécialités médicales » ainsi que les sociétés françaises d’endocrinologie, de pédiatrie et de gériatrie et gérontologie, affirment qu’« un nombre croissant d’études scientifiques montrent que la supplémentation en vitamine D (sans remplacer la vaccination) pourrait contribuer à réduire l’infection par le Sars-CoV-2 ainsi que le risque de formes graves de Covid-19 , de passages en réanimation et de décès ».

Coordonnée par le Pr Cédric Annweiler, gériatre au CHU d’Angers, et le Pr Jean-Claude Souberbielle, Service d’explorations fonctionnelles – Hôpital Necker Enfants Malades, cette tribune a été signée par l’Association française de lutte antirhumatismale (AFLAR), la Société française d’endocrinologie (SFE), la Société française de gériatrie et gérontologie (SFGG), la Société française de pédiatrie (SFP), la Société française d’endocrinologie et diabétologie pédiatrique (SFEDP) et la Société francophone de néphrologie dialyse et transplantation (SFNDT)

Les médecins généralistes ont l’habitude de la prescrire pour les personnes fragiles; ils furent découragés de le faire!

POURQUOI N A T ON PAS SOIGNE?

Véran tenta même de l’interdire Projet d’arrêté fixant la liste des substances présentant des propriétés de perturbation endocrinienne et inclusion de la principale forme de vitamine D

https://www.senat.fr/questions/base/2022/qSEQ220126178.html



La presse et les télétoubibs se sont déchaînés contre la vitamine D massivement utilisée en Europe du Nord et même au Royaume Uni à partir de pseudo études pipotées et rétractées

https://www.bfmtv.com/replay-emissions/prenez-soin-de-vous/de-la-vitamine-d-pour-contrer-le-covid-03-01_VN-202101030011.html

17.5% de mortalité covid contre 55.6%! Une étude publiée en 2020 rapporte qu’une simple supplémentation en vitamine D des résidents âgés de maison de retraite réduisait la mortalité covid des 2/3 Une autre étude CONFIRME CE TAUX DE 17% à 28 jours


Vitamine D et survie chez les patients COVID-19 : une étude quasi expérimentale.

Annweiler C, Hanotte B, Grandin de l’Eprevier C , Sabatier JM, Lafaie L, Célarier T.J Steroid Biochem Mol Biol. 2020 novembre;204:105771. doi : 10.1016/j.jsbmb.2020.105771. Publication en ligne le 13 octobre 2020

https://t.co/OPGJZlBggI

La vitamine D peut être un déterminant biologique central des résultats de la COVID-19. L’objectif de cette étude quasi-expérimentale était de déterminer si la supplémentation en bolus de vitamine D3 prise pendant ou juste avant le COVID-19 était efficace pour améliorer la survie des résidents âgés fragiles des maisons de retraite atteints du COVID-19

 82,5 % des participants du groupe Intervention ont survécu à la COVID-19, contre seulement 44,4 % dans le groupe Comparateur (P = 0,023). Le risque relatif de mortalité entièrement ajusté selon la supplémentation en vitamine D3 était HR = 0,11 [IC à 95 % : 0,03 ; 0,48], P = 0,003. Les distributions de Kaplan-Meier ont montré que le groupe d’intervention avait un temps de survie plus long que le groupe de comparaison (log-rank P = 0. 002). Enfin, la supplémentation en vitamine D3 était inversement associée au score OSCI pour le COVID-19 (β=-3,84 [IC à 95 % : -6,07 ; -1,62], P = 0,001). En conclusion, la supplémentation en bolus de vitamine D3 pendant ou juste avant le COVID-19 était associée chez les personnes âgées fragiles à un COVID-19 moins sévère et à un meilleur taux de survie.

D ‘autres études confirment


Plus intéressant encore, la mortalité chez les patients non carencés était de moins de 5 % tandis qu’elle était de 25,6 % chez les patients carencés. 
Le Dr. Amiel Dror et son équipe se sont intéressés au lien entre niveaux sanguins en 25-hydroxyvitamine D (25(OH)D) avant la contamination par la Covid-19 et sévérité de la maladie. L’étude a inclus des patients d’un hôpital israélien entre le 7 avril 2020 et le 4 février 2021 ayant été testés positifs au SARS-CoV-2 (test PCR) et disposant d’un dosage de la vitamine D sanguine antérieur à l’infection (n=253). Parmi les patients ayant fait une forme sévère de la Covid-19, il y avait plus de patients ayant une carence en vitamine D avant l’infection. Plus précisément, les patients ayant une carence en vitamine D avaient 14 fois plus de risques de faire une forme grave que les patients non carencés.

Les résultats publiés mardi concluent que l’administration d’une forte dose de vitamine D dans les 72 heures suivant le diagnostic Covid-19 permet de baisser significativement le risque de décès.

Dévoilés mardi 31 mai, les résultats de l’étude COVIT-TRIAL publiée dans la revue Plos Medicine viennent acter l’efficacité de la vitamine D pour limiter la mortalité lors d’une infection au Covid-19 chez les personnes âgées.

Pour ce faire, 260 patients ont été suivis entre avril et décembre 2020, dans neuf hôpitaux français. Ceux d’Angers, de Bordeaux, de Limoges, de Nantes, de Nice, de Saint-Étienne, de Tours, du Mans et de Saumur, ainsi que les Ehpad dépendant de ces établissements.

Les patients sélectionnés étaient soit âgés de 65 ans et plus avec des « critères d’évolution défavorables », ou des patients âgés de 75 ans et plus. Tous atteints du Covid-19.

Les patients éligibles et consentants ont été répartis au hasard entre un seul cholécalciférol oral à haute dose (400 000 UI) ou à dose standard (50 000 UI) administré sous surveillance médicale dans les 72 heures suivant le diagnostic de COVID-19.

Ces volontaires ont alors été divisés en deux groupes. Ceux recevant une forte dose de vitamine D dans les 72 heures suivant leur diagnostic, et ceux recevant une dose normale. Dès le 6e jour de traitement, les résultats ont été probants. Les médecins ont observé « une réduction importante et statistiquement significative du risque de décès » dans le groupe ayant reçu une forte dose de vitamine D.

L’effet sur la mortalité perdure dans les 14 jours, et ceci sans effet indésirable lié à la prise massive de vitamine D.

« Ce résultat est important et cohérent avec ce que nous savions des effets anti-inflammatoires de la vitamine D, en réduisant très significativement le risque de décès à 14 jours, et en évitant manifestement l’emballement inflammatoire », écrit dans un communiqué de presse le professeur Cédric Annweiler, chef du service de gériatrie au CHU d’Angers, à l’origine de l’étude.

 

 

L’étude constatait que l’avantage des surdosés dispraissait entre le 14eme et le 28éme jour pour arriver un mois après la contamination à 17% de mortalité pour les dosés en vitamine D et 15% pour les surdosés.

Se posait la question d’un dosage supplémentaire à 15 jours


LES FAUTES DE MATHIEU MOLIMARD

Mathieu Molimard , ennemi juré de Didier Raoult ,est employé de l’Université et du CHU de Bordeaux, a participé à des boards ou comme consultant pour les laboratoires ALK, GSK, Novartis pharma, Merck, Pfizer, Stallergenes

Le plus triste c’est la lecture que la presse et le fameux MOLIMARD FIRENT DE CETTE ETUDE

La principale désinformation de Mathieu Molimard et d’avoir fait croire que l’étude comparait des supplémentés en vitamine D à un groupe placébo sans vitamine d. Il faut rappeler que le famais groupe placébo avait une supplémentation en vitamine D de 50000UI, le dosage de toutes les autres études! Une simple supplémentation en vitamine D des résidents âgés et malades des maisons de retraite réduit la mortalité covid des 2/3 (17% contre 55%)avec 50 000UI. Il parle de biais???Lesquels? Les malades de la covid avaient 88ans d’âge médian , le goupe surdosé comptait plus de cardiaques et de diabétiques, l’autre plus de cancéreux.

Enfin, la mortalité devient quasi identique entre les deux groupes, 28 jours après le début du test, ce qui prouverait une baisse d’efficacité de la vitamine D dans le temps. « Non seulement cette étude a des biais (…) mais surtout elle ne démontre rien », affirme Mathieu Malimard, chef du service de pharmacologie du CHU de Bordeaux (Gironde)


LE GAG DE L’ETUDE NORVEGIENNE

La pire action de M Molimard fut de rapporter une étude sur le rôle d’une faible dose de foie de morue. Cette étude norvégienne butait en effet sur un biais fondamental, la trop faible dose de vitamine D pour faire la différence entre les deux groupes

Pour l’huile de foie de morue, 5 mL d’huile contenaient environ 10 µg de vitamine D 3(400 UI), 1,2 g d’acides gras polyinsaturés oméga 3 à longue chaîne, dont 0,4 g d’acide eicosapentaénoïque et 0,5 g d’acide docosahexaénoïque, 250 µg de vitamine A et 3 mg de vitamine E. Pour le placebo, 5 mL d’huile de maïs contenait environ 15,8 µg de vitamine A et 3,8 mg de vitamine E

Dans l’étude norvégienne on donne la supplémentation suivante en vitamine D: 10 µg/jour, soit 400 UI/jour = très peu pour dépasser sensiblement 30 ng/ml chez des carencés! Il restaient carencés

Rappelons que 400UI jour ça donne 12 000 par mois, un médecin qui vous supplémente en vitamine D vous donnera une ampoule de 50 000UI tous les mois ! QUATRE FOIS PLUS! Et Molimard a fait croire que cette couillonade remettait en question les autres études


Donc pas doses significative pour faire la difference

Heureusement pour eux les norvégiens des deux groupes étaient saturés en vitamine D, c ‘est leur culture ! dans le groupe dit placébo sans huile de foie de morue , les 3/4 étaient saturés et beaucoup prenaient … de l’huile de foie de morue jusqu’à 5 jours par semaine ..72%.had concentrations ≥50 nmol/L »

Sans compter que :  » La prise de suppléments de vitamine D (dont huile de foie de morue) ≥ 5 jours/semaine était un critère d’exclusion MAIS LES INDIVIDUS AVEC UNE FRÉQUENCE D’UTILISATION PLUS FAIBLE ONT ÉTÉ INCLUS !!!!

On ne vous a a pas injecté un vaccin. Ca n’a jamais été même une tentative de vaccin. On vous a injecté des maladies inflammatoires pour que vous deveniez des clients réguliers de l’industrie pharmaceutique. DR JF LESGARDS



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