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mercredi 15 février 2023

Des provocateurs de la CIA veulent-ils déclencher une révolution de couleur en Hongrie pour renverser le gouvernement ?


Albert Coroz: Plusieurs éléments laissent penser que la CIA travaille en Hongrie à déclencher une révolution de couleur.

 
Samedi passé à Budapest, lors d'une commémoration, des escadrons d'Antifa venus de l'étranger s'en sont pris gratuitement à la population, en attaquant des Hongrois dans six endroits différents, les tabassant brutalement dans l'espace public, en plein jour (l'article suivra).

Rappelons-nous comment les Antifa ont mis à genoux des villes américaines après la mort de George Floyd, se comportant comme le bras armé de la Gauche, pour que la population comprenne que le seul choix pour la paix était de voter Biden.

Et après la réélection d'Orbán en avril 2022, le "réseau Soros" a commencé la guerre totale contre la Hongrie: 

– Procès à charge, condamnations de la Hongrie, via des tribunaux tenus par des juges idéologiques de la Cour Européenne.

– Confiscation des fonds européens contractuellement dus à la Hongrie, alors que les milliards pleuvent sur l’Ukraine, qui n'est pas membre de l'UE.

– Simultanément, dans les médias occidentaux, toutes les institutions de Bruxelles travaillent activement à discréditer le peuple hongrois par des calomnies avec une intensité croissante.

– Une chaîne de financement venant des USA, récemment démantelée, avait soutenu durant la campagne électorale les partis d'opposition et les ennemis intérieurs du gouvernement en place.

– Financement de l'étranger, y compris par l'Union Européenne, des parasites de diverses sociétés de conseil, ONG, "syndicats", en tant qu'agents rémunérés.

– Sensibilisation de la population, via les médias, et de la jeunesse via l'école, aux idéologies progressistes et LGBT.

Ce même travail de "sensibilisation" venant de l'étranger auprès des médecins, des juges, des enseignants, etc.

– Mise en place d'enseignements universitaires qui ne produisent que des diplômés improductifs et coûteux, et hautement nuisibles à la société.

– Pression sur les enfants en les montant contre leurs parents.

– Les USA nomment comme ambassadeur à Budapest un homosexuel militant, avec son "mari" et leurs enfants. L'ambassadeur provocateur ne cesse de chercher des noises au gouvernement, de dénoncer, dans les médias internationaux, le peuple hongrois comme hostile aux minorités, et il reproche à l'État de refuser aux mineurs l’accès à "l'éducation sexuelle" par l'école.

– Les manifestations gigantesques de la grève des enseignants ont balayé le pays durant des semaines, pour réclamer une augmentation de salaire immédiate, un programme scolaire plus progressiste – tout en sachant qu'avec l'inflation et les fonds européens bloqués, le gouvernement ne peut pas se permettre cette augmentation, et que la loi sur la protection des enfants interdit la propagande LGBT dans l'enseignement avant 18 ans.
Des journalistes d'investigation ont prouvé que beaucoup d'enseignants et d'élèves ont été payés pour manifester.

L'une des figures phares de ces manifestations d'enseignants était un homosexuel qui couche avec un élève de 15 ans. Les services secrets américains sont spécialement à la recherche de ce genre de personnes vulnérables au chantage, qui peuvent devenir des éléments clés pour la mise en place des troubles sociaux importants. Les Hongrois connaissent le phénomène.

Dans l'article ci-dessous, nous verrons également le rôle de l'USAID, qui travaille en étroite collaboration avec la Soros Open Society Foundation, ainsi que l'influence du parti politique "Momentum",  qui travaille avec son agent trouble, Katalin Cseh, pour la mise en place d'une révolution de couleur.

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"Attention, il y aura bientôt des émeutes à Budapest !"
Les provocateurs de la CIA veulent-ils déclencher une révolution de couleur ?


Des responsables américains et des organisations civiles agissent en Hongrie sous la direction de l'"USAID". De telles activités sont généralement les précurseurs d'une révolution de couleur: "attention, il y aura bientôt des émeutes à Budapest, ils font toujours la même chose" - lisez plusieurs publications parues à ce sujet sur Internet ces derniers jours.

Qu'il s'agisse de politique culturelle ou du conflit en Ukraine : la Hongrie rompt avec le bloc transatlantique dirigé par les États-Unis. Surtout du point de vue de la politique étrangère, le gouvernement d'Orbán est récemment devenu de plus en plus sûr de lui et pharisien.
De nombreux observateurs nous avertissent maintenant que les États-Unis tentent de déclencher une "révolution de couleur" en Hongrie, avec l'aide efficace de l'USAID.

Un journal autrichien a écrit à ce sujet en détail:

Samantha Power, la directrice de l'USAID, qui a également été ambassadrice des États-Unis auprès de l'ONU, a annoncé il y a quelques jours sur Twitter:

"Je suis ici en Hongrie. L'un des pays où le programme de l'USAID a redémarré », 

ajoutant de son propre aveu "travailler chaque jour avec des personnes qui renforcent les institutions démocratiques, construisent des médias indépendants, soutiennent et protègent les droits de l'homme.
Tout ce dont la Hongrie d'Orbán a besoin de toute urgence après le bloc transatlantique"

L'USAID est une institution centrale qui s'emploie à exercer une influence politique à l'étranger et à préparer les soi-disant «révolutions de couleur».

La façon dont les États-Unis ont tenté de créer une résistance cubaine au gouvernement Castro avec l'aide de l'USAID est assez bien documentée.

Il a également été prouvé que l'USAID travaille en étroite collaboration avec la Soros Open Society Foundation.

Le journal autrichien traitant de sujets politiques écrit que "la Hongrie devient de plus en plus confiante dans sa politique étrangère. Plus récemment, le ministre des Affaires étrangères d'Orbán a déclaré à l'ambassadeur américain :

« La Hongrie est un pays souverain ».

Les ambassadeurs en poste à Budapest ont été avisés de ne plus s’immiscer dans la politique intérieure, sinon ils ne seront plus les bienvenus. Cette annonce de Péter Szijjártó est intervenue début février.
Environ une semaine plus tard, Samantha Power a publié sa vidéo annonçant qu'elle était actuellement en Hongrie. Mais ce n'est pas seulement symbolique :  Power a clairement affirmé samedi  que des responsables et des organisations civiles américaines sont (de nouveau) actives en Hongrie."
"C'est souvent le précurseur de tentatives de révolutions de couleur",
écrivent les critiques américains.
Nous avons trouvé plusieurs messages sur Twitter pour soutenir cela, par exemple le profil enregistré avec le nom d'utilisateur "Franco" a tweeté ce qui suit :

 

En d'autres termes, ils ne cachent plus le fait qu'ils veulent déclencher une situation de guerre civile à Budapest, similaire à la révolution qui a éclaté sur la place Maïdan, et c'est pour cela que l'homme de l'USAID est venu en Hongrie.

Entre le 22 janvier et fin février 2014, 90 manifestants et 19 policiers ont perdu la vie, la plupart sont morts de blessures par balles, des deux côtés.

Dans un rapport publié sur un site d'observation politique, ils ont écrit sur tout cela : "Ils ne craignent rien. Ils pourraient même faire ce genre de "Maïdan" à Budapest, seul le pouvoir leur importe à tout prix.


S
oros et ses alliés utilisent principalement pour ce projet dans le monde entier des groupes d'extrême gauche Antifa. N'oubliez pas l'avertissement au sujet du projet "Maïdan": ils le feraient à Budapest à tout moment si cela ne tenait qu'à eux.

Ils ont gardé le silence sur le fait que les États-Unis ont soutenu avec 5 milliards de dollars (et qui sait combien "notre" George Soros a également été profondément impliqué avec son argent, via une ONG qu'il contrôlait) le renversement du chef d'État légitime d'Ukraine, comme plus tard en Macédoine.

 Le blog "Geopolitics & Empire" conclut par cette question: De quelle couleur sera la révolution hongroise de couleur ?

Gonzalo Lira est encore plus clair :

"Ils (les autorités) préparent les mécanismes pour le renversement de Viktor Orbán - via des "ONG pro-démocratie", qui recrutent en fait des agents et des provocateurs comme employés de la CIA. Bientôt, il y aura des émeutes à Budapest. Écoute, ils font toujours la même chose."

Pascal-Emmanuel Gobry, membre du personnel du Center for Ethics and Public Policy de Washington, a vivement critiqué l'apparition de Powell à Budapest.
Pour eux, il est désormais totalement incontestable que l'USAID est utilisée comme un outil politique pour déstabiliser voire renverser des régimes indésirables.
"Même les énormes investissements de l'USAID en Ukraine sont ouvertement discutés en Amérique".

Tkp.at, qui traite des questions politiques autrichiennes, souligne dans son article : Orbán, qui entretient d'excellentes relations avec Trump, doit être prévenu qu'une autre attaque sera lancée contre lui.

Services secrets et politique : pourquoi un médecin hongrois forme-t-il des militants ukrainiens ?
En 2019, on a déjà levé le voile sur Katalin Cseh

Vous souvenez-vous pour qui et quand Katalin Cseh a organisé des sessions de formation ? (Ndt: Katalin Cseh est une politicienne de l'opposition, présidente du parti Momentum, qui a fait des études de médecine dans une université occidentale coûteuse, et pleurait misère en Hongrie de sa condition, tout en menant une vie de luxe.)
Oui, avant les émeutes en Ukraine, les médecins hongrois organisaient des ateliers pour les militants biélorusses et ukrainiens qui ont ensuite déclenché les émeutes à Kiev.
La bonne question, c'est pourquoi ont-ils fait tout cela?

 

Les manifestations à Kiev qui ont éclaté, qu'on a fait éclater en 2013 étaient principalement dirigées contre l'élite politique et économique pro-russe. En février 2014, le président Viktor Ianoukovitch, qui refusait l'orientation occidentale, et le gouvernement qui le soutenait, ont été expulsés du pays.

Plusieurs membres du gouvernement nouvellement formé se sont parachutés dans le fauteuil de velours de ministre, après avoir reçu la nationalité ukrainienne quelques heures auparavant. Citoyens américains, lituaniens, géorgiens, parlant à peine ou pas du tout la langue du pays.

Tout comme le conflit militaire, le conflit entre services secrets est également devenu permanent.

En Ukraine, à la suite de la "révolution" qui a éclaté sur le Maïdan à Kiev, le pays a sombré dans un chaos complet et absolu, le pouvoir de l'État a pratiquement cessé dans certaines régions du pays. Le niveau de vie est retombé en un temps incroyablement court dans des conditions rappelant les temps soviétiques les plus sombres, le pays était dirigé par des agents et  des agents doubles, il y avait un "gouvernement" de nombreuses nationalités servant et représentant exclusivement des intérêts étrangers (capital américain et mondial).
La "révolution" n'aurait jamais éclaté d'elle-même, c'est pourquoi il fallait prendre soin de la faire éclater - ce travail a été fait par la CIA et les ONG de Soros.
Ensuite, le gouvernement fantoche décrit ci-dessus a été installé à la tête du pays, et pratiquement jusqu'à ce jour, les services secrets américains contrôlent le pays.
Katalin Cseh a participé à sa préparation !

La précédente administration Obama n'a nullement caché ce qu'elle faisait en Ukraine : les enfants des vice-présidents américains siégeaient aux conseils d'administration d'entreprises opérant dans le secteur ukrainien de l'énergie, des responsables étrangers américains parlaient ouvertement et sans aucune honte de l'ampleur de l'argent investi par le gouvernement américain (et les services secrets) dans l'organisation du déclenchement de la révolution et tout ce qui s'est passé par la suite.
Dans un enregistrement, un nommé Bystrytsky, représentant et député de Soros en Ukraine, parle du renversement du président ukrainien par les "organisations civiles" financées par eux.
Yevhen Bystrytsky, qui a été à la tête des Open Society Foundations of Ukraine entre 1999 et 2018, utilise le terme « rôle déterminant » pour parler de leur propre influence.

Bystrytsky - qui pense parler à un de ses partisans potentiels - dit littéralement : ils ont créé les conditions préalables pour que le changement se produise.

Il convient également de rappeler que dans les années qui ont précédé la « révolution de Maïdan » de 2013, les Open Society Foundations of Ukraine ont souvent fourni un généreux soutien financier à diverses ONG locales qui promouvaient le "activisme civil" en Ukraine.

Selon les OSF elles-mêmes, le but de leurs activités n'était rien d'autre que de mener un travail de terrain essentiel et de créer les conditions préalables nécessaires à la résistance et au renversement du gouvernement de Viktor Ianoukovitch, adversaire de Soros.

Le gouvernement de droite de Viktor Ianoukovitch est tombé à la suite de la "révolution", et Soros a pu depuis lors façonner la politique intérieure ukrainienne à sa guise grâce à sa fondation.
En conséquence, la confrontation anti-russe ouverte a plongé depuis le pays dans le chaos et l'anarchie les plus complets.

Le médecin hongrois Katalin Cseh a également joué un rôle à cet égard: Katalin Cseh, la même qui, en tant que membre du Parlement européen, veut présenter au Congrès américain la "situation amère" de l'État de droit hongrois et demande l'intervention de l'OTAN dans la vie de notre pays. Le fait qu'elle puisse le faire si ouvertement n'est peut-être pas nouveau après tout.

Dans la  série d'enquêtes lancée par PestiSrácok.hu, nous avons examiné l'émergence de Momentum, les membres de son conseil d'administration et leurs activités, ainsi que leurs parcours de vie passionnants  (ici,  iciici ).

Sachant cela, nous nous sommes posé plusieurs questions : par exemple,  qu'est-ce qui fait qu'une étudiante en médecine de vingt ans organise des « ateliers » pour des militants ukrainiens et des citoyens biélorusses ?

De telles formations, à l'issue desquelles ces jeunes plongent l'Ukraine dans une situation de guerre civile sur la place Maïdan à Kiev, qui  entraîne le renversement du gouvernement en place.

Comme nous l'avons écrit plus tôt: Entre juin 2013 et septembre 2014, Katalin Cseh, membre du comité directeur de Momentum, a fait exactement cela en tant que formatrice pour le programme de l'organisation biélorusse Fédération internationale de la jeunesse socialiste.

Elle entretenait des liens étroits avec Daniel T. Berg, elle a été une participante active et une oratrice lors des manifestations de l'Université d'Europe centrale, et quelques mois plus tard, elle a également été élue au comité directeur du parti Momentum.

Depuis lors, elle a visité  le département d'État américain, a demandé à l'OTAN d'intervenir dans notre pays,  et tout son désir est de renverser le régime d'Orbán .

Lui comme elle s'inquiètent désormais ensemble de l'État de droit hongrois et font tout pour discréditer le gouvernement sur la scène internationale. Soit dit en passant, ils y réussissent assez bien, tous deux ont bâti des carrières presque fabuleuses en seulement deux ans.
Quelque chose qui serait autrement presque impossible sans une aide appropriée.

Mais quel genre de parcours ces deux personnes ont-elles ?
Pourquoi voyagent-elles à travers l'Europe et pourquoi font-elles constamment campagne contre la Hongrie ?
Qui représentent-elles vraiment ?
Et les services secrets ont-ils déjà remarqué leurs activités ?

Nous avons cherché des réponses à ces questions dans nos articles précédents.

Et les brutales agressions par des Antifa à Budapest samedi, si l'on est conscient de tout cela, montrent clairement que Soros et les provocateurs de la CIA ne chôment pas pour faire exploser une révolution colorée en Hongrie afin de renverser le gouvernement Orbán.

Après la publication de notre article, István Tényi a fait une annonce d'intérêt public au Comité de sécurité nationale du Parlement en raison d'un risque pour la sécurité nationale. Dans sa réponse, l'Office pour la protection de la Constitution a écrit : conformément à la législation en vigueur, toutes les mesures possibles et nécessaires seront prises.

source:https://pestisracok.hu/figyeld-budapesten-hamarosan-zavargasok-lesznek-szines-forradalmat-akarnak-kirobbantani-a-cia-provokatorai/

traduction libre : Albert Coroz

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