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vendredi 17 juin 2022

Vaccins contagieux : un avertissement

 

Vaccins contagieux : un avertissement

 uncut-news.ch
17 juin 2022

Depuis deux décennies, les scientifiques développent discrètement des vaccins infectieux à propagation automatique.

 Le NIH a financé cette recherche, qui consiste soit à emballer l'ADN d'un agent pathogène mortel dans un virus contagieux mais moins nocif, soit à utiliser des techniques de laboratoire pour atténuer la létalité du virus mortel.

Les « vaccins » qui en résultent se propagent d'une personne à l'autre comme un virus respiratoire contagieux. Seulement cinq pour cent de la population régionale auraient besoin d'être vaccinés ; les quatre-vingt-quinze pour cent restants "attraperaient" le vaccin s'il était transmis d'une personne à l'autre dans la communauté.

Cette technologie contourne les désagréments des citoyens récalcitrants qui pourraient refuser de donner leur consentement. Ses partisans soulignent qu'une campagne de vaccination de masse qui prendrait normalement des mois et des efforts coûteux pour immuniser tout le monde pourrait être réduite à quelques semaines.

Les scientifiques ont déjà prouvé le concept dans des populations animales : en 2000, des chercheurs espagnols ont injecté à soixante-dix lapins un vaccin transmissible et les ont relâchés dans la nature, où ils ont rapidement transmis le vaccin à des centaines d'autres animaux, ce qui aurait stoppé une épidémie virale. Les pays européens testent actuellement la technologie sur des porcs.

Dans le sillage de la pandémie de Covid, une douzaine d'instituts de recherche aux États-Unis, en Europe et en Australie étudient les avantages potentiels des vaccins auto-propagés pour l'homme.

La Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), par exemple, étudie cette technologie pour l'armée américaine afin de se protéger contre la fièvre de Lassa ouest-africaine, un virus qui se transmet des rats aux humains. Il est à noter que ce projet ne nécessite pas le consentement de nos soldats.

En 2019, le gouvernement britannique a commencé à rechercher cette technologie pour lutter contre la grippe saisonnière. Un document de recherche du ministère britannique de la Santé et des Affaires sociales indique que les étudiants universitaires pourraient être un groupe cible évident :

Ils ne fonctionnent pas, donc [les vacciner] n'implique pas beaucoup de perturbations économiques, et la plupart ont des résidences secondaires où aller, ce qui permet au vaccin de se propager.

Les chercheurs ont reconnu qu'un vaccin contagieux contre un virus de la grippe affaibli entraînerait des décès, mais ont estimé qu'ils seraient moins nombreux que ceux du virus de la grippe d'origine. Comme le décrit le rapport du gouvernement britannique :

Les vaccins auto-propagés sont moins mortels, mais ils ne le sont pas : ils peuvent quand même tuer. Certaines personnes mourront alors qu'elles seraient autrement en vie, mais dans l'ensemble, moins de personnes mourront.

Comme le dit le proverbe, on ne fait pas d'omelette sans casser quelques œufs. Ou pour reprendre les mots de Lénine : si vous abattez une forêt, les copeaux de bois s'envoleront. Les vaccins infectieux sont notre avenir, affirment leurs défenseurs, et ne sont pas différents de l'ajout de fluorure à l'eau potable. De plus, les aiguilles ne sont pas nécessaires pour ceux qui trouvent la vaccination inconfortable.

Recherche financée par le gouvernement sur des virus fabriqués en laboratoire pour développer des vaccins contagieux et auto-propagatifs qui contournent le consentement des citoyens. Qu'est-ce qui pourrait mal se passer?

 

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