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samedi 23 novembre 2024

Paris célèbre le « Che », un homme sadique dès son plus jeune âge, qui tua de sang-froid, même des enfants



By Jean-Patrick Grumberg22 novembre 2024
Initialement publié le 30 décembre 2017
 

Le Guévarisme est directement responsable de 10 723 morts + 78 000 tués en essayant d’échapper à l’île + 14 000 tués lors d’opérations militaires à l’étranger + 5 300 personnes tuées dans la rébellion d’Escambray, principalement des paysans et des enfants (1).
 
  • Che Guevara a persécuté des intellectuels, les homosexuels et les dissidents.
  • Une grande partie des 11 millions de Cubains sont semi-chômeurs et en mauvaise santé. Ce que le communisme a accompli de mieux à Cuba, c’est que les femmes se prostituent auprès des touristes pour boucler les fins de mois et compléter au marché noir les maigres rations alimentaires officielles.
  • L’héritage du communisme international salué par le «Che» à Paris représente des dizaines de millions de victimes, assassinées, torturées, et emprisonnées dans des camps de travaux forcés.

Che Guevara était un meurtrier de masse, un profiteur, un raciste, un misogyne, un parasite et un hypocrite selon ses propres écrits, ses journaux, ses discours, ses lettres dont vous trouverez ci-dessous quelques extraits que l’exposition « Le Che à Paris » passe totalement sous silence pour entretenir le mensonge du « militant romantique ». Parce qu’il était communiste.



Sadique dès son plus jeune âge

Alberto Benegas Lynch dans son livre «Mon cousin le Che»:

«Une de mes tantes m’a dit une fois que lorsque le Che était très jeune, il s’est réjoui de causer des souffrances aux animaux et, plus important encore, il a insisté que la mort (des autres) n’était pas si grave. Dès son jeune âge, son sadisme devint évident.


Raciste, suprématiste, prédateur sexuel…

Le noir est indolent et rêveur, il dépense son argent pour des frivolités ou en s’enivrant. Il a maintenu sa pureté raciale grâce au faible attachement pour les salles de bain

Carlos Figueroa, un ami de Guevara dans son jeune temps à Alta Gracia :

«Je lui ai donné le surnom «le coq rapide» parce qu’il mangeait dans la salle à manger ; et subitement, lorsque la femme de ménage entrait, il l’a forçait à grimper sur la table pour avoir une relation sexuelle. Ensuite, il se débarrassait de la malheureuse et continuait à manger comme si rien ne s’était passé… ». Il profitait du statut social inférieur des femmes pour en faire ses objets sexuels.

En arrivant au Costa Rica :

« Je suis resté dehors avec une fille noire qui j’avais draguée, Socorro. A seulement 16 ans, elle était plus putain que les poulets ».

Extrait de son journal de voyage :

«Les noirs, ces magnifiques spécimens de la race africaine qui ont maintenu leur pureté raciale grâce au faible attachement qu’ils ont pour les salles de bain, ont vu leurs royaumes envahis par un nouveau spécimen d’esclaves : le Portugais. Le mépris et la pauvreté les unissent dans la lutte quotidienne, mais leur manière différente de faire face à la vie les sépare complètement ; le noir est indolent et rêveur, il dépense son argent pour des frivolités ou en s’enivrant [tandis que] l’Européen a une tradition de travail et d’épargne qui l’entraîne jusqu’à ce coin de l’Amérique et l’exhorte à progresser, même indépendamment de ses aspirations individuelles».

En attendant qu’un navire les emmène à l’île de Pâques, Che écrit :

«L’île de Pâques… avoir un petit ami blanc est un honneur pour elles. Là, pour quoi travailler, les femmes font tout. On mange, on dort et on leur fait l’amour… Quelle est l’importance de rester un an là-bas, quelle est l’importance de faire des études, de gagner un salaire, d’avoir une famille, etc.»

Miguel Sanchez, dans le documentaire « Anatomie d’un mythe » :

« Che avait toujours des problèmes avec les noirs et il avait du dégoût pour eux, ainsi que pour les Indiens du Mexique [qu’il appelait] ‘les Indiens analphabètes du Mexique' ».


.. vivant comme un porc
  • Alors jeune homme, Che s’est attiré le quolibet de «el chancho» (le cochon), pour les semaines qu’il passait sans se laver. Une année, il ne s’est pas lavé une seule fois entre Pâques et la Saint Jean.
  • En août 1953, Enrique Ros écrit à sa mère depuis El Cuzco que, pendant les huit jours où il était avec le Che, «le cochon s’est lavé une seule fois, et seulement après l’avoir convaincu que c’était pour des raisons de santé».
  • Dans son journal bolivien du 10 septembre 1967, Guevara écrit :

«J’ai oublié de souligner un fait ; aujourd’hui, après un peu plus de six mois, j’ai pris un bain.»

  • “Ses camarades cubains, en raison de son manque d’hygiène personnelle, lui ont donné le surnom de ‘tas de graisse’. »

Criminel assoiffé de sang

Nous avons exécuté beaucoup de gens par peloton d’exécution sans savoir s’ils étaient pleinement coupables

Dans un courrier à son père :

« Mes narines se dilatent en savourant l’odeur âcre de la poudre à canon et du sang… J’aimerais avouer, papa, qu’ à ce moment-là j’ai découvert que j’aime vraiment tuer. »

Extrait de ‘Notes de voyage’ :

«… je vais assaillir les barricades ou les tranchées, je vais teindre l’arme dans le sang et, fou de fureur, j’égorgerai tous les vaincus qui tombent entre mes mains…

… Je sens déjà mes narines dilatées, savourant l’odeur âcre de la poudre et du sang, de la mort ennemie » 

Aux Nations Unies en décembre 1964, Che Guevara confirme la réputation criminelle de son gouvernement : « Oui, nous avons exécuté, nous exécutons et nous continuerons à exécuter. »

Ce qu’il veut dire par exécution est expliqué en 1962 par le rédacteur en chef de RevolucÍon, Carlos Franqui qui cite Guevara :

« Nous avons exécuté beaucoup de gens par peloton d’exécution sans savoir s’ils étaient pleinement coupables. Parfois, la Révolution ne peut pas s’arrêter pour mener beaucoup d’enquêtes. »

Il a personnellement exécuté plus de 180 individus, bien que certains disent que beaucoup plus sont tombés de ses propres mains.


Menteur, profiteur et hypocrite

Lettre à sa mère du 15 juillet 1956 depuis une prison mexicaine:

« Je ne suis pas un Christ et un philanthrope, maman, je suis l’opposé d’un Christ, et la philanthropie me semble être quelque chose… (mot illisible) pour les choses que je crois. Je me bats avec toutes les armes à ma disposition, j’essaie de vivre en mentant aux autres, au lieu de me laisser clouer sur une croix ou ailleurs.»

Dans ses notes du deuxième voyage intitulé ‘Une autre fois’, en juillet 1953 en Bolivie :

‘Lorsque nous transportions tous nos bagages et allions entrer dans la seconde classe, nous avons été arrêtés par un chercheur qui, après avoir parlé avec des agents, nous a proposé de passer en première et d’arriver au Cuzco ce que, bien sûr, nous acceptons. Ainsi, nous voyageons confortablement en donnant aux gars le montant du passage de deuxième.»


Conclusion

Le 6 décembre dernier, la Fondation des droits de l’homme, après avoir pris connaissance de la vente de marchandises à l’emblème du dirigeant communiste Che Guevara chez Urban Outfitters, parfois accompagnée du mot « revolución », a publié une lettre ouverte dans le HuffPost où elle explique :

« En tant qu’organisation à but non lucratif vouée à la défense des droits de l’homme, nous aimerions attirer votre attention sur l’héritage sanglant et antidémocratique de Guevara… 

Nous vous exhortons à considérer que l’image de Guevara représente la tyrannie et la répression pour les millions de personnes qui ont souffert sous le communisme. »

Cet « héritage sanglant et antidémocratique » ne semble pas beaucoup déranger Paris.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Sources :

  • (1) https://www.economist.com/news/americas/21725350-liberal-think-tank-his-home-town-wants-monuments-revolutionary-icon-taken
  • http://www.therealcuba.com/?page_id=32
  • http://blog.victimsofcommunism.org/5-reasons-why-ches-not-cool/
  • https://www.theepochtimes.com/was-che-guevara-a-hero-or-murderer_2242312.html
  • https://www.huffingtonpost.com/thor-halvorssen/an-open-letter-to-urban-o_b_1895353.html

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