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10 juin 2022
"Maintenant, les médecins disent que les vaccins COVID-19 provoquent le cancer, pas seulement au site d'injection mais dans tout le corps en raison de la migration de protéines de pointe toxiques vers les organes de nettoyage."
Selon des pédiatres, des responsables militaires et des vétérinaires, il n'est pas rare que des sarcomes se développent au site d'une injection de vaccin, tant chez les humains que chez les animaux de compagnie, que l'injection se fasse dans l'épaule, la cuisse ou ailleurs.
Comme le rapporte Natural News, la croissance cellulaire normale est perturbée par des toxines mortelles utilisées dans la fabrication de vaccins, notamment des virus génétiquement modifiés, des bactéries modifiées et divers additifs et émulsifiants toxiques utilisés pour stimuler les réponses immunitaires. Ces lésions cancéreuses auraient des racines qui se développeraient en profondeur avec le temps, ce qui rendrait plus difficile pour les chirurgiens de les retirer en toute sécurité. –
Ces tumeurs sarcomes-cancéreuses se produisent dans le tissu conjonctif (généralement musculaire) et peuvent métastaser avec le temps (appelées fibrosarcomes). Ils se forment au site où le vaccin est injecté lorsque le corps tente d'encapsuler les ingrédients toxiques du vaccin en les entourant de calcium pour éviter d'autres dommages causés par les toxines et la propagation du cancer.
Les nombreux ingrédients de vaccins cancérigènes répertoriés dans le tableau des additifs de vaccins des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) comprennent l'aluminium, le mercure, l'albumine humaine recombinante, le formaldéhyde, les colorants industriels, l'urée (urine animale), le polysorbate, entre autres 80 , albumine bovine, cellules rénales de singe vert d'Afrique infectées, latex, etc. Cependant, la liste des effets secondaires sur l'emballage ne prévient pas d'un éventuel sarcome au site d'injection, même par les médecins et les infirmières.
Il est inacceptable que les médecins et les immunologistes affirment que les niveaux de toxines dans les vaccins ne sont pas suffisamment élevés pour causer de graves problèmes lorsque des tumeurs cancéreuses malignes, de type sarcome, sont découvertes aux sites d'injection, rapporte Natural News.
Selon Natural News, cela affecte jusqu'à 1 patient sur 1000. La plupart des sarcomes se développeraient après trois mois, mais certains avaient été observés, testés, diagnostiqués (par biopsie) et enregistrés quelques semaines seulement après l'injection. Ce n'est pas un "tissu anormal" ou une inflammation, c'est un cancer.
Selon la profondeur et l'emplacement de la tumeur, l'amputation d'un tissu ou même d'un membre entier peut être nécessaire. Les médecins ont déclaré que les sarcomes "ont tendance à revenir à leur site d'origine", une intervention chirurgicale agressive est donc nécessaire après la vaccination pour sauver des vies. Ci-dessous, deux images d'un cancer se développant au site d'injection.
Le cancer se propage dans tout le corps
"Maintenant, les médecins disent que les vaccins COVID-19 provoquent le cancer, non seulement au site d'injection mais dans tout le corps en raison de la migration de protéines de pointe toxiques vers les organes de nettoyage", prévient Natural News.
Comme l'a rapporté la RAIR Foundation USA, le Dr. Ryan Cole a averti que les vaccins corona sont inefficaces et responsables de l'augmentation du nombre de cas de cancer.
après docteur Cole s'était exprimé sur les risques du vaccin Covid, "de nombreux" oncologues l'ont contacté. Les médecins ont rapporté avoir vu "les cancers les plus étranges, et les cancers que nous pouvions contrôler et traiter, se répandant comme une traînée de poudre - stade 2, stade 3, stade 4, juste comme ça".
"Cela est dû au dérèglement du système immunitaire que ces injections provoquent", souligne le Dr. COL. Un système immunitaire affaibli ne peut plus contrôler la croissance du cancer.
docteur Roger Hodkinson a mis en garde contre la résurgence de cancers auparavant maîtrisés et l'émergence de nouveaux cancers agressifs suite aux vaccinations Covid. De plus, une étude de recherche (réalisée par l'ancienne personne interrogée par la RAIR Foundation USA, Stephanie Seneff, scientifique au Massachusetts Institute of Technology [MIT] et co-auteur de l'interniste et cardiologue du Texas Peter McCullough, MD et autres) a identifié un risque potentiel de cancer associé à l'ARNm -" Vaccin" détecté.
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