Pour l'instant, rien n'est officiel, mais les prémices de cette décision viennent d'être posées par un discret document, aux apparences anodines, de la Haute Autorité de Santé, la HAS, qui en dit long sur les intentions qui peuvent occuper nos dirigeants pour faire passer une mesure médicalement dangereuse et contestable, mais conforme aux intérêts de Big Pharma.
Décider la vaccination obligatoire des enfants et des adolescents de moins de 16 ans contre le COVID, l’intégrer dans les campagnes ordinaires de vaccination, et les confier aux pharmaciens, aux sages-femmes, aux infirmiers, pour en finir plus vite… quelle bonne idée !
Bien évidemment, l’idée n’est pas présentée comme telle par le document de la Haute Autorité de Santé que nous présentons aujourd’hui. Mais, si le lecteur a en tête cette clé de lecture, tout s’éclaire.
En l’état actuel, le seul vaccin que ces catégories de professionnels peuvent prescrire et administrer, c’est le vaccin contre le COVID. L’idée d’élargir les compétences vaccinales des pharmaciens, des sage-femmes et des infirmiers pour les autoriser à prodiguer tous les vaccins, dont le vaccin contre le COVID, est assez lumineuse : elle permettrait de banaliser le vaccin contre le COVID en l’injectant en même que tous les vaccins obligatoires.
On retiendra, dans le document ci-dessus, ce calendrier tout à fait éclairant :
Autrement dit, un rapport sur l’extension des compétences vaccinales doit être rendu le 24 mai, et la Haute Autorité doit le valider d’ici au 30 juin…
Voilà qui sent la loi estivale sur la vaccination à compter du 1er septembre…
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