Notre amie Claire Reliences nous explique nous explique la petite histoire des vaccins et nous parle d’un « Vaccin » qui n’en est pas un…
Un grand merci Claire pour toutes ces explications.
Il y a quelques année, j’ai travaillé dans un laboratoire pharmaceutique… Ce labo, Specia qui était la branche pharmaceutique du producteur de produits chimiques Rhone-Poulenc, n’existe plus aujourd’hui, il a été racheté par un plus gros labo, Sanofi.
Si je vous fais cette introduction c’est que j’ai envie de vous parler de la manière dont un médicament obtient ce que l’on appelle l’AMM, saint Graal pour les labos, d’Autorisation de Mise sur le Marché d’un médicament. Cet AMM s’obtient par la validation de plusieurs étapes, des phases d’études clinique incontournables qui garantissent la sécurité et l’efficacité du médicament et qui doivent être remontées auprès des autorités gouvernementales compétentes afin qu’elles donnent leur accord ou pas pour la mise en commercialisation dudit médicament. Inutile de vous dire que ce processus est long (en moyenne 10 ans) et coûte cher.
Si j’ai envie d’aborder ce sujet c’est qu’il a une importance de taille dans la manière dont nous traversons et dont nous-nous sortirons, ou pas, de la crise Covid19, vous le verrez plus bas.
Pour que vous compreniez bien le propos de cet article, voici les phases pour l’obtention de ce fameux laisser-passer :
1- LA PHASE PRE-CLINIQUE : c’est la phase d’essai du médicament sur des animaux qui viendra prouver que la molécule fonctionne et qu’elle est sans danger sur un être vivant.
2- LA PHASE I – Le médicament est ensuite testé sur des humains volontaires sains excepté pour certaines maladies où le médicament est testé sur des volontaires déjà malades. Les volontaires peuvent être rémunérés pour participer à ce que l’on appelle des essais cliniques. Ils sont informés des risques connus éventuels sur la base des résultats de la phase I (sur les animaux).
3- LA PHASE II – C’est à partir de ces essais sur des humains volontaires, que sont déterminés les posologies (les quantités à administrer), et le mode d’administration (injection, cachet, intraveineuse, sirop…).
4- LA PHASE III – C’est dans cette phase testée sur des milliers de volontaires entrant dans un protocole strictement réglementé, que sont déterminés les effet bénéfices/risques et les bienfaits thérapeutiques et les effets indésirables par comparaison à un effet placebo,.. Les fameuses études en double aveugle.
5- C’est à partir de ces 4 phases que le dossier AMM se construit. Pour la France (mais c’est à peu près partout pareil) L’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé (AFSSAPS) est alors à même de juger la qualité pharmaceutique, l’efficacité et la sécurité du produit par rapport à ses effets secondaires sur base du dossier que le labo leur à fourni. Le verdict est généralement rendu au bout de 120 jours, 210 jours en cas de demande d’informations complémentaires. Précisons qu’à l’échelle européenne – pour qu’un médicament puisse être commercialisé sur un autre territoire – , la durée est deux fois plus longue, donc jusqu’à 420 jours, soit entre 8 et 14 mois.
Donc si l’on résume, les essais cliniques durent environ une dizaine
d’année, et il faut attendre entre 8 et 14 mois supplémentaires pour que
les services compétents examinent le dossier avant de rendre leur avis
et que le médicament puisse être autorisé ou pas à entrer sur le marché.
Vous l’aurez compris, la mise sur le marché d’un médicament prend énormément de temps et est très contraignante pour les labos. Vous l’aurez compris aussi, dans le cas du Covid19, le moins que l’on puisse dire c’est que les règles ont été largement contournées.
L’épidémie à commencé il y a un peu plus d’un an et les vaccins sont
déjà sur le marché depuis plusieurs mois… Précisons ici que ces dits
vaccins, excepté le vaccin chinois, n’en sont pas vraiment puisqu’ils
n’utilisent pas du tout les procédés habituels des vaccins qui
consistent généralement en une injection du virus atténué. Ces produits
mis sur le marché depuis plusieurs mois sont des procédés totalement
novateurs et jamais expérimentés sur l’homme à aussi large échelle et
jamais expérimentés dans le cadre d’une vaccination. Ces produits dit à
ARN, ayant un rayon d’action au niveau de l’ADN de celui qui le reçoit
et donc sur le gène qui programme tout le fonctionnement de
l’intégralité des fonctions du corps humain, produits totalement expérimentaux, ont été mis sur le marché en un an au lieu de dix à onze années habituellement nécessaires…
CAS DE FORCE MAJEURE ?
En fait la raison qui peut être invoquée pour mettre un médicament sur le marché sans respecter le protocole officiel est l’urgence, la force majeure… ET qu’il n’y ait pas d’autre médicaments efficaces pour soigner une pathologie… Et dans le cas du Covid19 évidemment il semblerait que ce soit le cas, en tout cas beaucoup d’efforts sont mis en œuvre depuis le début de cette épidémie pour nous faire croire à cette catastrophe, à la non existence de traitements efficaces et à l’urgence de se faire vacciner.
J’attire ici votre attention sur la manière extrêmement pernicieuse voire violente utilisée par les états et les médias qui les servent, à communiquer et à insister sur la dangerosité du virus (le nombre de morts puis de cas égrainés à longueur de journée, le catastrophisme et les incohérences et autres dérives autoritaires et anticonstitutionnelles de nos états dans la gestion de cette crise…), sur l’insistance quasi obsessionnelle et mensongère pour nous faire croire qu’il n’y a aucun traitement efficace contre ce virus alors que des milliers de médecins et scientifiques – très largement censurés partout dans le monde notamment sur les plateformes telles que Facebook, Twitter, Google – on se demande pourquoi ? – prouvent tous les jours, études scientifiques à l’appui, qu’il existe des traitements préventifs et curatifs efficaces et peu chers pour soigner ce virus.
Afin que vous compreniez bien l’importance de l’enjeu et les raisons qui pourraient pousser à cette manipulation informationnelle extrême, je veux revenir ici sur ce qui se passe dans la vie d’un médicament après sa mise sur le marché :
Après sa mise sur le marché, le labo vend donc son médicament et en
récolte tous les bénéfices pendant 20 ans, durée pendant laquelle il est
le propriétaire exclusif du brevet. Ensuite le médicament rentre dans
le domaine public et il peut être fabriqué et vendus sous forme
générique par d’autres labos… Le labo d’origine perd alors beaucoup de
parts de marchés sur son médicament. Vous comprenez bien maintenant
pourquoi les labos ne font pas la promotion de médicaments efficaces
et peu chers… ils ne leurs rapportent plus rien car ils n’en ont plus
l’exclusivité...
Pour en revenir au vaccin, vous aurez bien compris que leur but n’est pas de vendre leurs anciennes molécules… mais de toujours innover et de tout faire pour vendre ces innovations… d’où cette propension qu’ils ont à intervenir partout (ils font beaucoup de lobbying partout – vous savez, les fameux conflits d’intérêt, les pressions lobbyistes auprès des politiques sur le plan national, européen, mondial, les subventions faites aux médias et les financements très importants faites aux organisations mondiales telles l’OMS) et de faire croire (entre autre) qu’il n’y a aucun médicament autre que leur innovation qui soigne le Covid19. Les labos sont même capables de manipuler ou de payer des médecins pour manipuler les études scientifiques, c’est de notoriété publique maintenant (souvenez vous du Lancetgate sur l’hydroxychloroquine récemment).
ETUDES CLINIQUES NON TERMINEES, QUELLES CONSEQUENCES ?
Pour en revenir au protocole de Mise sur le Marché des « vaccins Covid », tous les vaccins à thérapie génique sont en cours de phase III – cette information est officielle – c’est à dire que le protocole normal de mise sur le marché n’est pas terminé (il ne sera pas terminé avant 2022, 2023 voire 2024 pour certains « vaccins ») et que c’est la soit disant urgence de la situation bien montée en épingle par les médias (rappelez vous qu’ils sont pour la plupart subventionnés par les entreprises pharmaceutiques et/ou que leurs propriétaires sont très souvent actionnaires desdits labo) qui prévaut.
LES VACCINES SONT DES COBAYE SANS AUCUN RECOURS EN CAS DE COMPLICATIONS POST-VACCINALES
Tout ceci signifie que si vous-vous faites injecté ce vaccin, vous entrez dans le protocole d’autorisation de mise sur le marché dudit vaccin. Vous êtes un cobaye… Le problème est que vous n’en avez pas été officiellement informé, que vous n’êtes pas rémunéré pour le faire, que vous ne connaissez pas les effets secondaires ou indésirables puisque c’est justement votre expérience qui viendra valider s’il y en a ou pas, que les laboratoires pharmaceutiques créateurs de ces vaccins se sont désengagés officiellement de leurs responsabilités juridiques des effets indésirables à court, moyen et long terme, pouvant allez jusqu’à la mort, que les états ne seront pas non plus tenus pour responsables en cas de problème, que les médecins injecteurs sont eux-même protégés et que de plus en plus d’assurances se désengagent des indemnisations en cas de complications post-vaccinales – allez savoir pourquoi ?
Une dernière petite chose et j’en termine, cette question qui me
taraude depuis le début de cette propension à vouloir vacciner toute la
planète… Comment se fait il que tous les vaccins, exception faite du
vaccin chinois, soient des vaccins à ARN totalement expérimentaux, sans
aucun recul, possiblement dangereux pour la santé, dont absolument
personne ne connaît les effets sur le moyen et long terme ?
Tous les labos proposent à quelques nuances près, des thérapies géniques totalement nouvelles, toutes préparées dans l’urgence… Pourquoi n’ont ils pas proposé des vaccins traditionnels dont les effets peuvent être mieux connus, mieux contrôlés et réglés en cas de problème ?
Certains scientifiques de haut niveau parlent aujourd’hui de catastrophes sanitaires dûes à ces thérapies géniques appelés vaccins, à moyens et long terme… De modifications du gène humain de manière irréversible, de la transmission de ces gènes aux générations futures, de stérilité massive, de cancers, de maladie auto-immune massives, de mortalité massive à plus ou moins longue échéance…
Quelles raisons peuvent pousser plusieurs labos du monde à prendre le risque de mettre en danger l’intégralité de la population humaine sans aucun recul ? Et rappelons le aussi sans aucune responsabilité juridique…
Je crois qu’il y a dans cette crise trop de zones d’ombre et qu’il serait temps que nous nous posions les bonnes questions et que nous nous renseignions bien avant d’accepter un traitement qui pourrait changer notre vie et celle d’autrui vers le pire… il en va de notre avenir de celui de nos enfants et plus largement de celui de l’humanité.
Petite info de dernière minute, Suite à mes recherches pour la rédaction de cet article, il semblerait que les délais pour effectuer les différentes phases de l’Autorisation de Mise sur le Marché soit en cours de raccourcissement. De 10 ans ils passeraient à 5 ans… Pression lobbyiste des labo ? Nous vivons désormais dans un monde ou le profit semble avoir plus de valeur que la vie humaine… Réveillons-nous, informons nous…
Claire Reliences
Il y a environ 70 ans, l'éminent biologiste Jules Tissot,
RépondreSupprimeraprès Antoine Béchamp et Claude Bernard, annonçait déjà
dans son ouvrage :
"La catastrophe des vaccinations obligatoires"
... les multiples mortifères causes d'un chaos sociétal.
En tout cas merci pour ce texte qui éclaire la réflexion
des chercheurs de vérité.
Le Code de Nuremberg de 1947 identifie le consentement éclairé comme préalable absolu à la conduite de recherche mettant en jeu des sujets humains.
RépondreSupprimer1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir : qu'elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d'autres formes de contraintes ou de coercition. Il faut aussi qu'elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l'expérience pratiquée sur elle, afin d'être capable de mesurer l'effet de sa décision. Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l'expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience. L'obligation et la responsabilité d'apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent à la personne qui prend l'initiative et la direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilité s'attachent à cette personne, quine peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivie.
La suite des articles:
http://www.frqsc.gouv.qc.ca/documents/10191/186011/Code_Nuremberg_1947.pdf/d29861b8-30a7-456e-9a83-508f14f4e6d5
Confirmé par le Code pénal article 223-8 qui devrait être affiché à l'entrée des "vaccinodromes"
"Le fait de pratiquer ou de faire pratiquer sur une personne une recherche biomédicale sans avoir recueilli le consentement libre, éclairé et exprès de l'intéressé, des titulaires de l'autorité parentale ou du tuteur ou d'autres personnes, autorités ou organes désignés pour consentir à la recherche ou pour l'autoriser, dans les cas prévus par les dispositions du code de la santé publique est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende.
Les mêmes peines sont applicables lorsque la recherche biomédicale est pratiquée alors que le consentement a été retiré.
Les dispositions du présent article ne sont pas applicables à l'examen des caractéristiques génétiques d'une personne ou à son identification par ses empreintes génétiques effectuées à des fins de recherche scientifique."
Les "chercheurs" risquent le TPI de La Haye...