À chaque attentat, à chaque éruption de violences dans les « quartiers », à chaque nouvelle victime, les Français ont droit au « nous ne céderons rien », alors que depuis des années, l’oligarchie qui règne dans notre prétendue démocratie cède tout, laisse entrer en masse des immigrés, les régularise à tour de bras, les naturalise à la chaîne, émascule tout discours de résistance, culpabilise et condamne toute affirmation identitaire des autochtones, des Français qui se sentent de moins en moins chez eux dans leur propre pays, la France, que certains n’appellent plus que « république » comme il y en a tant d’autres !
Il ne semble pas que, cette fois, on puisse se réfugier dans la psychiatrie, au long cours ou en bouffées imprévisibles, pour expliquer et atténuer l’événement.
Celui-ci est d’une clarté fulgurante : il met en cause d’abord l’immigration et, en second lieu, la présence de l’islamisme dans notre pays. L’augmentation du nombre des policiers, si l’on accorde foi à ce bobard de campagne présidentielle déjà lancée, n’y fera rien. On constate qu’il y en a suffisamment pour contrôler l’application des règles sanitaires ou pour sévir contre des manifestations très légitimes en démocratie, mais qu’il en manque aux frontières ou dans ces centaines de quartiers qui s’allument les uns après les autres dans un vaste tour de France des lieux où policiers et pompiers sont désormais malvenus.
On ne peut pas demander à ceux qui détiennent actuellement le pouvoir d’aller à l’encontre de leur propre idéologie. Ils joueront leur rôle en condamnant, côté jardin, les conséquences de la politique qu’ils mettent en œuvre, côté cour, parce qu’elle est selon eux inévitable. Une fois de plus, Philippe de Villiers a sonné le tocsin et expliqué le scénario du drame actuel dans son dernier livre, Le Jour d’après.
Pour les mondialistes, les partisans d’une planète sans frontières, le Covid est une fenêtre d’opportunité, car il contribue à l’individualisation. Faute d’avoir fermé le pays, on a enfermé ses habitants, favorisé le télétravail et tué les activités de proximité et de convivialité, ces foyers au sein desquels la communauté se transmet et se régénère. Ce n’est pas par hasard que, dans le même temps, nous viennent d’Amérique la cancel culture, le « wokisme » et le racialisme. Ce sont des armes destinées à priver les Français de leurs défenses immunitaires culturelles en culpabilisant leur identité, en les forçant à désavouer une Histoire dont, jusqu’à présent, ils étaient fiers.Lorsque celui qui « préside » aux destinées de la France ne parle que de « république » et va dire, sur une télévision américaine, que les Français doivent « déconstruire leur Histoire », il ouvre la voie à cette transformation de notre « patrie » construite en mille ans de travail et de luttes, appelée désormais à n’être plus qu’un terrain vague en forme d’hexagone, un quartier comme un autre du village planétaire, avec une population remplacée, de consommateurs où le Coca-Cola™ accompagnera la viande halal plutôt que le Pommard ou le bœuf bourguignon. Les incidents qui se produisent aux frontières du monde islamique et de ses antennes en terre mécréante ne sont que des résistances éphémères d’une culture plus difficile à digérer que les autres dans le meilleur des mondes selon Davos. Aussi ne faut-il pas trop s’en inquiéter, disent ceux qui vivent très loin de ces menaces. Il faut laisser les frontières ouvertes, les marchandises et les individus voyager, les virus et les vaccins, aussi, les capitaux? enfin. Il suffira que le monde d’après, tout numérique, puisse suffisamment développer le contrôle des individus. C’est ce scénario qu’il faut enrayer ! Chaque drame comme celui de Rambouillet n’est qu’un élément d’une tragédie qu’il faut à tout prix arrêter.
Le problème dure depuis 40ans !!!!!! Et nos énarques ont une vision certes mais a coté de la réalité.
RépondreSupprimerRéveillez-vous !!! Ce n'est pas le tocsin qui a été sonné pour cet état. C'est le glas !
RépondreSupprimerIl eût fallu se déplacer aux urnes et faire le bon choix 50 ans en arrière...
Ce pays, dont je ne peux plus dire le nom tant les souvenirs, rêves et espoirs de jeunesse ont été bafoués, réprimés puis anéantis, est bel et bien mort.
Sur ces ruines, où règne une poignée d'omnipotents se partageant les dernières richesses, une plèbe, mixée de force avec ses ennemis millénaires. Condamnée au silence et à l'acceptation de ses conditions, elle se voit réduire sa liberté, son pouvoir d'achat et son libre arbitre... Le tout, en travaillant plus et plus longtemps pour moins de revenus effectifs. Maintenant, partir... Oui, mais pour aller où ? Avec quel argent ?Se battre... Mon bon Monsieur, les moutons ne se battent pas ! De toute façon, ils n'ont pas d'armes, ni de défenses, et puis ils peuvent perdre le peu qu'il leur reste !
Personnellement, bien que désespéré, je n'ai pas de solution à proposer. Mais le pire dans tout cela, et pour revenir à l'introduction, je crois que c'est la nostalgie, les souvenirs et les rêves détruits par la cupidité galopante d'un groupuscule.