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dimanche 13 septembre 2020

Ils cachent le nom du juge pour enfants qui a offert sa fille de 12 ans à des échangistes…




Le 12 juin 2020 éclatait très brièvement une affaire judiciaro-judiciaire bien dégueulasse que la presse système et toute l’institution judiciaire se sont immédiatement empressées d’étouffer aux yeux du public. 

Conscient de leur gravité, le site avait immédiatement signalé les faits à la police.

Un policier s’était alors fait passer pour un utilisateur auquel le juge pédophile avait benoîtement communiqué des photos de sa fillette en maillot de bain.
Immédiatement dépaysée, l’affaire avait été transmise au procureur de la République de Besançon qui avait tout fait pour la garder secrète.
 Malheureusement, une fuite dans la presse l’obligea à la rendre publique.
Des perquisitions menées au domicile du magistrat ont permis de confirmer les faits.
L’épouse, elle-même magistrate à Dijon, prétendra tout ignorer des faits ; tandis que le mari soutiendra être l’auteur unique des messages sur le site libertin.
Bienveillance du collègue magistrat instructeur, l’épouse sera immédiatement mise hors de cause, sans autre conséquences pour elle.
Dans ce milieu on se respecte, dans ce milieu on s’épargne.
C’est ainsi que l’épouse du magistrat qui se déclarait publiquement libertin dans les couloirs du palais ne sera pas d’avantage inquiétée et conservera la garde de l’enfant. 
À l’époque Nicole Belloubet, garde des Sceaux, saisira le Conseil supérieur de la magistrature en vue de faire prononcer la suspension provisoire du juge.

 Pas de brutalités entre pairs dans ce milieu, les pédophiles avérés en instance de jugement, on se contente de les suspendre.
Suspendre, cela veut dire avec maintient du traitement.
C’est ainsi que le budget, par ailleurs indigent de la justice, continuera à payer le juge avec notre argent, tandis qu’on libérera les assassins à tour de bras, faute de moyens, faute de place dans les prisons.
Mais ce n’est pas tout, on apprendra  que le juge pédophile se montrait particulièrement sévère et infâme dans l’exercice de ses fonctions aux affaires familiales ; alors qu’il s’affichait  très libéré dans les couloirs du tribunal où, marié à une assez jolie femme, il se déclarait publiquement libertin.
Très dur avec les justiciables, enlevant la garde de leurs enfants aux pères qui comparaissaient devant lui, ses collègues le nommaient  “le juge libertin”.
Par conséquent, sans en mesurer toute la perversité, nul n’ignorait à Dijon les troubles penchants du juge aux enfants.
Pourtant, à Dijon, au Palais, les collègues magistrats, les greffiers, les avocats, tout le monde s’est dit sous le choc.
Comment ? Le juge libertin aux enfants, marié à une magistrate, proposait leur fille de 12 ans sur internet.
Quelle horreur…  Bande de bouffons ! Salopards ! 
Comment l’institution judiciaire a-t-elle pu laisser à un tel poste, face à des familles et surtout face à des enfants en détresse, un pervers notoire pareil ? 
Comment ses pairs n’ont-ils pas tout fait pour l’écarter, compte tenu de ses turpitudes affichées  ? 

https://outline.com/FwmD7F

Nous dénonçons ici la pourriture de cette institution perverse qui, d’affaires en affaires, de dénis de justice en dénis de justices, de scandales en scandales a perdu tout crédit aux yeux de l’opinion publique. 
Nous dénonçons ici les pouvoirs publics et les gardes des Sceaux successifs qui ont laissé sombrer l’institution dans cette fange.
Nous dénonçons le tout judiciaire, la raréfaction de tout à la qualification donnée par la Loi ou par le juge. 
Nous dénonçons ici l’État de Droit qui n’est que le gouvernement des juges. 
Car en effet, aujourd’hui tout est raréfié et conditionné à la décision des juges et au delà, à leur pouvoir de requalification. 
C’est ainsi que selon la nature des faits tout est soit déconstruit, soit reconstruit en fonction de l’idéologie et, bien entendu de l’idéologie d’ultra-gauche de l’institution judiciaire. 
En fonction de ce que vous dites, s’exprimer peut devenir un délit pénal et vous aurez affaire à des juges endoctrinés qui feront tout pour vous interdire de parole ; tandis que proposer sa fillette à l’encan deviendra un simple fantasme comme on va le voir. 
Pourtant, selon la morale traditionnelle, selon le sens commun, selon l’opinion majoritaire, il s’agit bien d’un acte pédophile particulièrement dégueulasse ; quoique puisse en dire tel ou tel juge.


Nous dénonçons Étienne Manteaux, procureur de la République de Besançon, pour avoir requalifié les faits à sa manière et pour avoir tenté de dissimuler au public l’arrestation du juge pour enfants de Dijon qui avait proposé sa fille de 12 ans sur un site échangiste.
Nous le dénonçons pour avoir tenu un discours complaisant à l’égard de l’un de ses pairs accusé dans cette affaire sordide de prostitution de sa propre fille mineure. 
Nous le dénonçons pour s’être montré particulièrement complaisant avec l’épouse magistrate qui n’ignorait rien des travers publiquement affichés de son mari, mais prétendra ne rien savoir de la tentative de prostitution de leur fillette.
Le suspect est « un homme accablé, qui a totalement coopéré et a immédiatement reconnu les faits », a noté Étienne Manteaux.
Il a mis hors de cause son épouse, également magistrate à Dijon, expliquant être « l’auteur unique des messages » proposant la fille du couple.
Son épouse a été remise en liberté.
Nous le dénonçons pour avoir tenté d’étouffer ce véritable scandale qui entache gravement la justice française.
Nous les dénonçons par avance, lui et ses pairs, pour la peine très certainement dérisoire dont bénéficiera l’accusé, protégé par sa corporation.
Nous dénonçons la caste corrompue des journalistes d’avoir tenté d’occulter cette affaire gravissime par la mise en avant exclusive des émeutes de Dijon à la mi-juin.
Nous dénonçons toutes les chaînes de télévision et toute la presse écrite d’avoir organisé la dissimulation de ce scandale. 
Nous dénonçons les services sociaux et la justice, pourtant si souvent prompts à retirer certains enfants à la garde de leurs parents pour des motifs futiles.
Nous les dénonçons pour avoir laissé cette enfant en très grand danger à la garde de sa mère, largement suspecte malgré le blanchiment abusif dont elle a bénéficié ; et maintenant très probablement de son père remis en liberté.
Nous accusons la justice, les politiques, les médias, les associations, les services d’avoir tenté de dissimuler le nom de ce juge aux enfants, prédateur sexuel, pédophile incestueux, trafiquant de sa propre fillette.
Nous accusons la mère de cette enfant elle même juge au tribunal de Dijon d’avoir prétendu ne rien savoir des agissements de son mari.
Par comparaison, s’il s’était agi d’un simple gardien de la paix pour une injure qualifiée de “raciste” ou pour une simple gifle à un clandestin après un outrage, nous aurions immédiatement su son nom. Tous les médias en auraient parlé pendant des jours, il y aurait eu une enquête de l’IGPN, le ministre de l’Intérieur se serait précipité pour promettre des sanctions exemplaires ; celui de la Justice aussi, on aurait vu toutes les associations monter au créneau, il y aurait probablement eu des émeutes, des pillages, des policiers caillassés. 
Et là ? Rien.
Vous avez entendu les ministres, les politiques, la presse, les commentateurs, les psychologues, les sociologues, les associations, les féministes, les défenseurs des droits ?
C’est dérisoire, mais quand même, vous avez entendu Marine Le Pen ?
Quelqu’un au RN ? Rien.
Alors nous dénonçons ici cet homme, pour l’instant considéré comme innocent puisque la justice n’a toujours pas rendu son verdict.
Il s’agit d’Olivier BAILLY, Vice-Président de la Chambre de la famille au tribunal de grande instance de Dijon.
Un gros dégueulasse, intransigeant avec les justiciables qui lui étaient présentés, libertin déclaré connu de tous dans les couloirs du palais de Dijon et à la fin, pédophile avéré ; quoique pour l’instant considéré comme innocent et très certainement assuré de la bienveillance de ses pairs.
Et voici Sophie BAILLY, l’épouse du magistrat ouvertement libertin, proposée par son mari pour des partouzes et mère de l’enfant proposée à l’encan, la femme qui prétendument ne savait rien, toujours
en place parmi ses pairs.

 

Nous dénonçons ici le silence et l’immobilisme du ministre Dupond-Moretti, qui avait brutalisé durant 6 heures à la barre les enfants martyrs d’Outreau. 
Dans son ouvrage ”la Bête Noire.”Dupond-Moretti, écrira que le ”clignement des yeux pour déceler la vérité sans coup férir”,  lui avait permis d’établir le mensonge des enfants d’Outreau. 
Le clignement des yeux des enfants qu’il a terrorisés à la barre pendant des heures.
Dans un prochain article sur cette affaire nous vous dirons comment nous avons pu identifier ce couple de juges et quelles ont été les manipulations de l’institution judiciaire pour cacher leurs identités au public.
Martin Moisan

3 commentaires:

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