neil ferguson covid-19

 Jon Rappoport - NoMoreFakeNews
Sott.net
dim., 03 mai 2020

Neil Ferguson joue-t-il le rôle d'intermédiaire dans le canular du corona ?
Je vous présente Neil Ferguson : le fantôme dans la machine, l'intermédiaire entre l'OMS et Bill Gates.

Pourquoi les gouvernements applaudissent-ils lorsqu'il prédit une pandémie et qu'il leur dit de verrouiller leurs pays ?

Y en a-t-il que son passé intéresse ?

Pourquoi jouit-il encore d'un emploi prestigieux ?

De qui est-il proche ?

D'abord, mettons les choses au clair : on voit des articles affirmant que les prédictions informatiques n'ont pas vraiment pour objectif d'être précises, que la modélisation COVID à laquelle ont adhéré les États-Unis, la Grande-Bretagne et d'autres pays a été mise de côté.  
Ces articles racontent en essence des foutaises. 
Pourquoi ?
Parce que les gouvernements obéissent à un modèle. 
Ils obéissent aux projections prédisant le plus grand nombre de morts... voilà un fait accablant.

Neil Ferguson, par l'intermédiaire de son institut à l'Imperial College de Londres, peut décider du sort d'un pourcentage important de la population mondiale (en inventant des morts).
C'est lui qui mène la danse.

C'est le Monsieur Génie de la modélisation informatique des épidémies.

Ses collègues experts gonflent sa réputation.

Selon le Business Insider (25/04)) :
L'équipe de Ferguson a prévenu Boris Johnson que la quête de « l'immunité collective » [laisser les gens vivre leur vie au grand jour au Royaume-Uni] pourrait coûter 510 000 vies, provoquant un brusque retournement de situation [verrouillage national massif au Royaume-Uni]... Ses simulations ont également influencé d'autres pays, et ont été citées par les autorités américaines, allemandes et françaises.
Non seulement ils les ont citées, non seulement elles les ont influencées, mais ils les ont avalées telles des couleuvres.