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samedi 23 mai 2020

Covid-19 : comment ils ont gonflé les chiffres pour mieux terroriser les peuples




Publié le 23 mai 2020 - par Nicole Delépine
 
Tous les journaux français subventionnés par l’État tentent maladroitement de disqualifier la chloroquine via une étude « méta analyse » rétrospective mélangeant poires, pommes et kiwis non triés, ne pouvant strictement conclure à rien scientifiquement, mais reprise en chœur par les soumis du pouvoir et de Gilead, dont tristement les pseudo-opposants qui se démasquent un peu plus chaque jour, comme Marianne ou Mediapart. 

Leurs sources : une dépêche de l’AFP et c’est parti !

Le même jour, nouvelles fake news à propos de remdesivir de Gilead, inefficace et toxique, mais qui a l’énorme mérite de coûter autour de 4 500 €, tandis que la chloroquine coûte 12 € avec l’azithromycine.
Deux mondes différents qui ne se rencontrent même pas.
Comme nous le disons depuis longtemps concernant les nouvelles drogues anticancéreuses, ne soyez pas malades, achetez des actions, mais pas leurs drogues.
Ce scandale méconnu des Français depuis 20 ans, car il ne touchait qu’une partie d’entre eux, éclate au grand jour avec la Covid-19 et la rivalité soins-chloroquine-patient versus recherche-cobaye-remdesivir Gilead.
Espérons que ce monstrueux détournement de la médecine depuis que les laboratoires et de nombreux établissements privés sont en Bourse, une vingtaine d’années, ne sera pas oublié, dès que les citoyens du monde retrouveront une vie normale…

Mystification mondiale. Tout décès est Covid-19

Pendant ce temps d’esbroufe médiatique dépassant toute imagination, certains journaux étrangers commencent à démasquer l’imposture Covid-19 et en particulier la tromperie, la mystification sur le nombre réel de morts liées à cette épidémie vendue comme équivalente de la grippe espagnole, du temps où les antibiotiques n’existaient pas et où la deuxième vague fut bactérienne chez une population complètement épuisée et dénutrie.

Citons et commentons l’article de F. William Engdahl sur réseau international du 13 mai abordant le problème des décès douteux attribués au Coronavirus, tant pour augmenter la peur, puis la panique et ainsi ôter tout jugement aux peuples du monde entier, et en même temps augmenter les ressources hospitalières des différentes structures, car les sommes attribuées par les diverses assurances sont boostées par le diagnostic Covid.

https://reseauinternational.net/coronavirus-et-nombres-de-deces-douteux/#

Le goulag quasi mondial n’était pas justifié par le nombre de morts falsifié

Nous avons déjà évoqué le caractère très imparfait des tests sérologiques qui donnent de faux négatifs mais aussi de faux positifs révélant des stigmates de la grippe comme d’autres coronavirus antérieurs. Des médecins allemands ont détaillé ces trucages.
Mais ces incertitudes étaient encore insuffisantes !
Nous n’avions pas assez peur ! Nous risquions encore de réfléchir !

TRUCAGE AUX USA PARTICULIÈREMENT À NEW YORK

Ainsi le « le 14 avril, le nombre de décès dus au Coronavirus dans la ville de New York a été révisé et un nombre important de 3 700 décès a été ajouté, le décompte comprenant désormais « les personnes qui n’ont jamais été testées positives pour le virus, mais qui sont présumées l’avoir ».
C’est tellement mieux pour paniquer la population et raviver la sidération.
Ils définissent « probable, sans test de laboratoire de confirmation effectué pour Covid-19 ».
Juste une supposition du médecin responsable ».
Exemple : « on demande aux médecins de mentionner Covid-19 comme cause de décès même si, par exemple, un patient de 83 ans souffrant de diabète ou de problèmes cardiaques préexistants ou de pneumonie meurt avec ou sans tests Covid-19 ».

Déclarer Covid-19 sur un certificat de décès comme « probable » ou « présumé » 

– intérêt statistique pour le pouvoir qui souhaite manipuler la peur populaire et à terme imposer selon le rêve doré de Bill Gates et ses amis de l’OMS un vaccin mondial doublé d’une puce qui vous suivra de près tout au long de votre vie.
– intérêt financier pour l’établissement médical privé ou public.
Pour stimuler la manipulation, une incitation financière importante.
« Une disposition du Coronavirus Aid, Relief, and Economic Security Act de mars 2020, connue sous le nom de CARES Act, incite fortement les hôpitaux américains, pour la plupart privés et à but lucratif, à considérer les patients nouvellement admis comme « présumés Covid-19 ».
Par cette simple méthode, l’hôpital peut alors prétendre à un paiement nettement plus élevé de la part de l’assurance maladie publique, l’assurance nationale pour les personnes de plus de 65 ans.
Selon un médecin du Minnesota, Scott Jensen, sénateur de l’État, ce propos rapporté dans Réseau International : « en ce moment, l’assurance maladie détermine que si vous êtes admis à l’hôpital avec Covid-19, vous recevez 13 000 $. Si ce patient Covid-19 est placé sous respirateur, vous recevez 39 000 $, soit trois fois plus ».
En conséquence, le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a commencé à exiger 30 000 ventilateurs, à peu près au même moment début avril, équipements qui n’étaient pas nécessaires.
De fait on commençait à comprendre dès début avril que la ventilation forcée avait peut-être été utilisée trop largement (pour éviter les aérosols d’oxygène réputés contagieux) et que ces manœuvres avaient probablement coûté beaucoup de vies.
Mais business is business et un don financier important de l’État ne se refuse pas.

Tous les patients devinrent Covid-19 

Comme en France, on ne soigne plus les autres pathologies réputées non urgentes et les hôpitaux vidés en attente du tsunami qui n’arriva pas…
Les administrateurs d’hôpitaux ont reçu l’ordre d’annuler toutes les opérations.
Ceux qui meurent tout de même et arrivent malgré tout à l’hôpital sont classés Covid-19.
Le tour est joué.

TRUCAGE ITALIEN


Un rapport publié dans le Journal of the American Medical Association par un groupe de médecins italiens communique les informations suivantes : « lorsque les autorités médicales de l’État ont procédé à un examen détaillé d’un échantillon de 355 décès « présumés » de Covid-19, elles ont constaté que l’âge moyen était de 79,5 ans. Dans cet échantillon, 117 patients (30 %) avaient une cardiopathie ischémique, 126 (35,5 %) étaient diabétiques, 72 (20,3 %) avaient un cancer actif, 87 (24,5 %) avaient une fibrillation auriculaire, 24 (6,8 %) étaient atteints de démence et 34 (9,6 %) avaient des antécédents d’accident vasculaire cérébral. Le nombre moyen de maladies préexistantes était de 2,7. Dans l’ensemble, seuls 3 patients (0,8 %) n’avaient aucune maladie ».
Ainsi 99,2 % de l’échantillon avaient d’autres maladies graves.  
« En Italie, les personnes dont le test de dépistage pour la Covid-19 s’est révélé positif, quelle que soit la maladie grave préexistante, ont été répertoriées comme des victimes de Covid-19. L’Italie a la population la plus âgée de l’UE en moyenne et la pire pollution atmosphérique de l’UE, en particulier dans la région de Lombardie ».

FACTEURS D’AGGRAVATION SPÉCIFIQUEMENT ITALIENS

En Italie, la menace de fermeture des frontières est signalée dans ce même rapport « Ces dernières semaines, la plupart des infirmières d’Europe de l’Est qui travaillaient 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 pour aider les personnes ayant besoin de soins en Italie ont quitté le pays en toute hâte. C’est notamment à cause de la panique, des couvre-feux et des fermetures de frontières menacés par les « gouvernements d’urgence ».

Dans les autres pays européens, tout pour le Covid, rien que pour le Covid-19

Nous avons eu confirmation qu’en France, en Allemagne, en Espagne, la grande majorité des malades arrivés jusqu’à l’hôpital ont été classés Covid-19.
Ainsi des cardiologues parisiens s’étonnaient de la disparition des embolies pulmonaires ou infarctus dans leurs services.
Morts chez eux, classés Covid au téléphone devant leurs symptômes et sommés de prendre le bien-aimé Doliprane à domicile.
Les patients des Ehpad furent interdits d’hôpital quel que fut leur état par la circulaire du 20 mars et le décret autorisant l’injection de Rivotril aux aînés souffrant d’une détresse respiratoire suspectée, sans preuve et sans traitement autorisé par les autorités sanitaires.

Un des grands scandales de ce siècle dont on entendra parler après le silence de la peur et de la sidération.

On apprend que les autopsies avaient été proscrites par l’OMS et que les malades devaient être rapidement incinérés comme à l’époque de la toute-puissance des dogmes religieux, empêchant toute analyse des causes de la mort.
Un recul scientifique de plus de 150 ans et l’oubli que les progrès de la médecine moderne repose sur la médecine expérimentale promue par Claude Bernard.
Des médecins légistes italiens et allemands ont désobéi, pour le meilleur de la science et de l’épidémiologie et rapportent également des chiffres sidérants sur le nombre de malades classés Covid-19 et la réalité des faits.
Nous y reviendrons.

La saga Covid-19 n’a pas fini de nous révéler ses secrets plus morbides les uns que les autres.

Nicole Delépine pour ripostelaique

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