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dimanche 24 mai 2020

Instrumentalisation d’un Microbe




covid-19




Nos dirigeants ne sont pas du tout pressés de sortir de l’état de peur et de sidération de la population devant les ravages sanitaires du virus chinois. 

Bien que maintenant, il semble être en phase dégressive. Ils craignent une seconde vague. Il faut bien entretenir la peur!
Et les responsables ou co-responsables de ce désastre sont à présent connus et identifiés.
En commençant par le directeur de l’ANSM, Dominique Martin, suivi  du président du Conseil de l’Ordre, Patrick Bouet, qui aurait menacé les généralistes s’ils contrevenaient à ses directives anti-Raoult.
Il faut ajouter, Frank Chauvin, président du Haut Conseil à la Santé Publique.
Mais les principaux responsables restent quand même, Macron, Véran et Buzyn, qui ont décidé,  comme par un mouvement d’humeur, que les médecins devaient obéir aux politiques.
Autrement dit, les soignants perdent leur liberté de prescrire les traitements de leur choix.
Ce qui ressemble beaucoup à une violation du serment d’Hippocrate.
La justice va t’elle passer? Rien n’est moins sur!
Comme pour le sang contaminé, les mis en cause ont su faire trainer tous les procès durant des années, afin que par des vices de procédures, cette affaire tombe dans l’oubli.
Mais pour ce qui est de la gestion désastreuse de cette pandémie, avec ses trop nombreuses victimes, ce sera certainement moins facile, compte tenu de la colère légitime de milliers de français.
Comment a-t-on pu en arriver là,  avec une telle panoplie d’Offices, ayant en charge la santé des gens ?
Car la liste est longue :
  • Ministre de la Santé,
  • Directeur Général de la Santé,
  • Direction de la Santé publique en France,
  • Directeur de la Haute Autorité de la Santé,
  • les Directions de l’Agence nationale sanitaire,
  • la Direction de l’Alliance nationale pour les Sciences et la Vie et de la Santé.
Avec un nombre remarquable d’infectiologues du microcosme médical parisien.
Et ce n’est pas terminé, puisque maintenant c’est en projet :
  • un Haut Commissariat de lutte contre les épidémies,
  • un Haut Conseil de veille sanitaire,
  • un Haut Conseil à la sécurité sanitaire et
  • une Agence Nationale de Sécurité de la logistique médicale.
De grâce, n’en ajoutez plus !
Au vu des résultats, à quoi ces technocrates ont-ils servi ?
Combien d’argent gaspillé pour un si pitoyable bilan ?
Pourquoi un nombre si élevé de fonctionnaires et de haut-fonctionnaires, payés royalement, alors que le personnel hospitalier manque sérieusement de moyens ?
Et pour en revenir au Plaquenil si décrié, qui aurait pu sauver des vies, à condition d’être pris au tout début, pourquoi un tel acharnement à nier son efficacité ?
Dans tous les cas il est préférable d’utiliser un remède qui a marché, même si les résultats ne sont, (parait-il) pas fondés.
Plutôt que rien du tout.
Mais le bon sens est-il encore à l’ordre du jour ?
Pour Buzyn, la Chloroquine (Plaquenil), serait un médicament toxique.
Alors qu’elle est utilisée avec succès bien avant sa naissance.
On sait pourtant, que si ce traitement est administré trop tard, il ne sert plus à rien !
Mais une question aussi serait à éclaircir.
Pourquoi l’Azithromycine, qui est un antibiotique efficace qui touche aussi les virus n’a-t-il pas été utilisé ?
Celui-ci était parfaitement disponible en pharmacie, avec une simple ordonnance médicale.
Est-ce parce qu’il était préconisé par le Pr. Raoult ?
Un médecin a-t-il le droit de répondre à son patient, prenez du Doliprane.
Sous entendu, soit vous guérissez par vous-même, ce qui est assez rare, soit soit vous en « crevez ».
C’est là, un véritable scandale, qui marquera durablement une histoire contemporaine déjà chargée en injustice, illogisme et stupidités de toutes sortes.
Onyx

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