Le 17/01/2015
Entré dans l’alimentation et les lieux publics, le halal émasculait également les programmes d’histoire d’où était soigneusement évincé tout ce qui pouvait entrer en résonance avec notre immémoriale tradition judéo-chrétienne...
Aujourd’hui, l’ennemi recrute dans les quartiers des cités de nos riantes banlieues.
Bien mieux : il se sert de l’institution scolaire comme d’une pouponnière à djihadistes.
Alors que les polices françaises et européennes sont à pied d’œuvre pour tenter de débusquer les éventuels complices des auteurs des attentats de la semaine dernière, les caméras de surveillance de l’aéroport d’Istanbul ont clairement identifié Mehdi Belhoucine, un ancien étudiant de Paris VI aux côtés de la veuve de Coulibaly, Hayat Boumediene.
Ce dernier est décrit par la presse mainstream comme un étudiant en mécanique électronique à l’université Pierre-et-Marie-Curie.
Ainsi présentée (bien qu’il ait quitté l’université en 2011 avant d’avoir empoché sa licence), l’information revêt une puissance subliminale insoupçonnée et bigrement efficace.
Ce mahométan aurait quasiment un profil d’ingénieur !
Son frère, Mohammed, avait même intégré l’école des mines d’Albi, avant de la quitter en 2009.
Et certains de nos confrères de s’étonner : comment ces purs produits de la méritocratie républicaine ont-ils pu succomber aux sirènes de l’islamisme radical ?
À y regarder de plus près, ces « étudiants » sont de plus en plus nombreux au sein des universités françaises, une grande majorité d’entre eux ne parvenant pas à décoller de la première année d’étude. Devenus de vrais dépotoirs éducatifs, ces dernières sont la bonne conscience d’une Éducation nationale sclérosée en plaques par des syndicats sectaires et rendue impotente par une idéologie déconstructiviste.
Distribué à tout va chaque année, le baccalauréat est vite devenu le bakchich de générations d’étudiants moralement corrompus par l’hyper-consumérisme de masse qui, de l’argent aux études, prône un « facilisme » de lieux d’aisances, contribuant ainsi, de génération en génération, à la chute continuelle du niveau d’exigence.
En rupture de ban avec une société occidentale dont ils se sont départis, sous-culturellement (par le rap, le foot de rue et les invasives technologies de la communication) dès le collège ou le lycée, ces jeunes beurs, subitement précipités dans l’université, s’avèrent proprement incapables d’en acquérir les codes et d’en assimiler les enseignements.
Ceux-ci constituent un abîme infranchissable, car même si le niveau a franchement baissé depuis une vingtaine d’année, il continue, nolens volens, à s’adresser à une élite.
Dupés par la scandaleuse « discrimination positive », ils sont, par surcroît, décérébrés par le républicanisme militant de leur scolarité juvénile.
Gavés d’antiracisme, de tolérance et de laïcité, ils se sont mis à défier l’autorité du maître, soit parce qu’elle faisait défaut chez leurs parents, soit par haine remâchée du pays d’accueil se complaisant – jusqu’à la soumission mentale – dans l’autoflagellation « mea-culpante » systématique.
Entré dans l’alimentation et les lieux publics, le halal émasculait également les programmes d’histoire d’où était soigneusement évincé tout ce qui pouvait entrer en résonance avec notre immémoriale tradition judéo-chrétienne.
Allah devint de plus en plus grand et la machine à assimiler définitivement hors service.
Musulmans de basse intensité, ils se découvrent alors une vocation pour le djihad devant une République féminisée et mécréante qu’ils abhorrent.
Bien mieux : il se sert de l’institution scolaire comme d’une pouponnière à djihadistes.
Alors que les polices françaises et européennes sont à pied d’œuvre pour tenter de débusquer les éventuels complices des auteurs des attentats de la semaine dernière, les caméras de surveillance de l’aéroport d’Istanbul ont clairement identifié Mehdi Belhoucine, un ancien étudiant de Paris VI aux côtés de la veuve de Coulibaly, Hayat Boumediene.
Ce dernier est décrit par la presse mainstream comme un étudiant en mécanique électronique à l’université Pierre-et-Marie-Curie.
Ainsi présentée (bien qu’il ait quitté l’université en 2011 avant d’avoir empoché sa licence), l’information revêt une puissance subliminale insoupçonnée et bigrement efficace.
Ce mahométan aurait quasiment un profil d’ingénieur !
Son frère, Mohammed, avait même intégré l’école des mines d’Albi, avant de la quitter en 2009.
Et certains de nos confrères de s’étonner : comment ces purs produits de la méritocratie républicaine ont-ils pu succomber aux sirènes de l’islamisme radical ?
À y regarder de plus près, ces « étudiants » sont de plus en plus nombreux au sein des universités françaises, une grande majorité d’entre eux ne parvenant pas à décoller de la première année d’étude. Devenus de vrais dépotoirs éducatifs, ces dernières sont la bonne conscience d’une Éducation nationale sclérosée en plaques par des syndicats sectaires et rendue impotente par une idéologie déconstructiviste.
Distribué à tout va chaque année, le baccalauréat est vite devenu le bakchich de générations d’étudiants moralement corrompus par l’hyper-consumérisme de masse qui, de l’argent aux études, prône un « facilisme » de lieux d’aisances, contribuant ainsi, de génération en génération, à la chute continuelle du niveau d’exigence.
En rupture de ban avec une société occidentale dont ils se sont départis, sous-culturellement (par le rap, le foot de rue et les invasives technologies de la communication) dès le collège ou le lycée, ces jeunes beurs, subitement précipités dans l’université, s’avèrent proprement incapables d’en acquérir les codes et d’en assimiler les enseignements.
Ceux-ci constituent un abîme infranchissable, car même si le niveau a franchement baissé depuis une vingtaine d’année, il continue, nolens volens, à s’adresser à une élite.
Dupés par la scandaleuse « discrimination positive », ils sont, par surcroît, décérébrés par le républicanisme militant de leur scolarité juvénile.
Gavés d’antiracisme, de tolérance et de laïcité, ils se sont mis à défier l’autorité du maître, soit parce qu’elle faisait défaut chez leurs parents, soit par haine remâchée du pays d’accueil se complaisant – jusqu’à la soumission mentale – dans l’autoflagellation « mea-culpante » systématique.
Entré dans l’alimentation et les lieux publics, le halal émasculait également les programmes d’histoire d’où était soigneusement évincé tout ce qui pouvait entrer en résonance avec notre immémoriale tradition judéo-chrétienne.
Allah devint de plus en plus grand et la machine à assimiler définitivement hors service.
Musulmans de basse intensité, ils se découvrent alors une vocation pour le djihad devant une République féminisée et mécréante qu’ils abhorrent.
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