Après Éric Zemmour, qui seront les nouvelles victimes de la guillotine de la censure ?
Montesquieu disait que « la corruption de chaque gouvernement commence presque toujours par les principes ».
Les libertés d’opinion et d’expression constituent des libertés fondamentales et des principes constitutifs de l’État de droit démocratique de la nation française.
Les forces de gouvernement abattent tous les principes moraux et légaux de notre République : abandon de la souveraineté par le pouvoir exécutif, dépouillement progressif du pouvoir législatif, terrible pouvoir des juges qui truquent nos lois pour coller à une idéologie purement mondialiste et antinationale, tyrannie médiatique du quatrième pouvoir qui tente de faire et défaire l’opinion du peuple et représente un nouveau pouvoir judiciaire possédant la capacité de censurer par omission, en choisissant de mettre en lumière tel ou tel journaliste aux opinions « conformes » et « politiquement correctes ».
Peut-on juger un homme sans preuves sur une mauvaise traduction pour des propos qui n’appellent ni au meurtre, ni à la haine, et par ailleurs ne diffament personne ?
Non.
Un ministre de l’Intérieur a-t-il le droit de demander qu’on interdise d’antenne un polémiste pour un désaccord d’analyse ?
Non plus.
Il s’agit d’un cas grave d’immixtion des forces gouvernementales dans une affaire relevant du domaine privé et pour laquelle monsieur Bernard Cazeneuve n’était pas compétent.
Les pressions du ministre, et des associations affidées, telles la LICRA d’Alain Jakubowicz et l’association SOS Racisme de Dominique Sopo, à l’encontre de la chaîne i>Télé et d’Éric Zemmour constituent un précédent grave et le début d’une vague inouïe de bien-pensance par un pouvoir aux abois.
Après Éric Zemmour, qui seront les nouvelles victimes de la guillotine de la censure ?
Peut-être l’ensemble des médias alternatifs, peut-être vos comptes Facebook et Twitter scrutés au plus près par la machine du « bien universel », peut-être vos pensées les plus intimes dans une vision rappelant le roman 1984 de George Orwell.
Le nœud du problème est la popularité immense d’Éric Zemmour, zélé défenseur d’une France souveraine et enracinée dans notre histoire : le polémiste dérange les forces de l’anachronisme et ceux qui souhaitent projeter la France dans le monde d’après, post-historique et post-moderne, ce monde tel « qu’ils voudraient qu’il soit », c’est-à-dire globalisé et purement marchand. Cela est inacceptable aux tenants du pouvoir.
On n’arrête pas l’avancée des idées, et celles que développe Éric Zemmour triomphent car il verbalise nos angoisses.
L’inconscient étant structuré comme un langage, l’écrivain a donné, avec d’autres, un champ lexical aux préoccupations des Français sur le déclassement, la dépossession, la révolution culturelle (inédite dans son histoire) que subit la France.
Il est aujourd’hui un symbole éthique et un modèle de courage toujours à l’avant-garde de la bataille culturelle qui se joue pour notre avenir. Son renvoi par i>Télé ne fera donc que le renforcer !
Les libertés d’opinion et d’expression constituent des libertés fondamentales et des principes constitutifs de l’État de droit démocratique de la nation française.
Les forces de gouvernement abattent tous les principes moraux et légaux de notre République : abandon de la souveraineté par le pouvoir exécutif, dépouillement progressif du pouvoir législatif, terrible pouvoir des juges qui truquent nos lois pour coller à une idéologie purement mondialiste et antinationale, tyrannie médiatique du quatrième pouvoir qui tente de faire et défaire l’opinion du peuple et représente un nouveau pouvoir judiciaire possédant la capacité de censurer par omission, en choisissant de mettre en lumière tel ou tel journaliste aux opinions « conformes » et « politiquement correctes ».
Peut-on juger un homme sans preuves sur une mauvaise traduction pour des propos qui n’appellent ni au meurtre, ni à la haine, et par ailleurs ne diffament personne ?
Non.
Un ministre de l’Intérieur a-t-il le droit de demander qu’on interdise d’antenne un polémiste pour un désaccord d’analyse ?
Non plus.
Il s’agit d’un cas grave d’immixtion des forces gouvernementales dans une affaire relevant du domaine privé et pour laquelle monsieur Bernard Cazeneuve n’était pas compétent.
Les pressions du ministre, et des associations affidées, telles la LICRA d’Alain Jakubowicz et l’association SOS Racisme de Dominique Sopo, à l’encontre de la chaîne i>Télé et d’Éric Zemmour constituent un précédent grave et le début d’une vague inouïe de bien-pensance par un pouvoir aux abois.
Après Éric Zemmour, qui seront les nouvelles victimes de la guillotine de la censure ?
Peut-être l’ensemble des médias alternatifs, peut-être vos comptes Facebook et Twitter scrutés au plus près par la machine du « bien universel », peut-être vos pensées les plus intimes dans une vision rappelant le roman 1984 de George Orwell.
Le nœud du problème est la popularité immense d’Éric Zemmour, zélé défenseur d’une France souveraine et enracinée dans notre histoire : le polémiste dérange les forces de l’anachronisme et ceux qui souhaitent projeter la France dans le monde d’après, post-historique et post-moderne, ce monde tel « qu’ils voudraient qu’il soit », c’est-à-dire globalisé et purement marchand. Cela est inacceptable aux tenants du pouvoir.
On n’arrête pas l’avancée des idées, et celles que développe Éric Zemmour triomphent car il verbalise nos angoisses.
L’inconscient étant structuré comme un langage, l’écrivain a donné, avec d’autres, un champ lexical aux préoccupations des Français sur le déclassement, la dépossession, la révolution culturelle (inédite dans son histoire) que subit la France.
Il est aujourd’hui un symbole éthique et un modèle de courage toujours à l’avant-garde de la bataille culturelle qui se joue pour notre avenir. Son renvoi par i>Télé ne fera donc que le renforcer !
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