Spectateurs impuissants et navrés du naufrage dont ils portent la responsabilité, ils n’envisagent ni révision ni dissolution ni démission...
Ce qui est merveilleux sous le gouvernement socialiste est que les mois se suivent et ne se ressemblent pas.
Voyez par exemple les chiffres du chômage.
Quelquefois ils sont médiocres.
Parfois ils ne sont pas bons.
Tantôt ils sont très mauvais, tantôt ils sont exécrables, et c’est le cas une fois de plus.
Jamais pareils, on vous dit.
Que le quinquennat de M. Sarkozy ait mis à mal les finances de l’État et l’économie du pays, que le prédécesseur ait laissé notre pays à son successeur dans un état pire que celui où il l’avait trouvé, c’est indéniable.
Que François Hollande et les siens aient cru qu’ils détenaient les recettes de la guérison et qu’il suffirait d’imposer les plus aisés et de créer artificiellement des emplois subventionnés par la collectivité pour relancer la machine, c’est pardonnable.
Qu’ils aient cru que le monde sortant de la crise, nous suivrions le mouvement, c’est excusable.
Que, constatant les conséquences désastreuses d’une politique d’alourdissement de la fiscalité, de rigueur budgétaire, de défense de l’euro, de soumission à des directives supranationales dictées à l’Union européenne par la Commission européenne, l’Allemagne et le FMI, ils aient persisté dans la mauvaise direction et fait souffrir les Français sans relever la France est coupable.
Qu’ils ne comptent aujourd’hui que sur le pétrole à bas prix, la dévaluation de la monnaie unique et le faible niveau des taux d’intérêt, c’est-à-dire sur trois facteurs qui ne dépendent ni d’eux ni de nous pour faire repartir le moteur qu’ils ont cassé est lamentable.
Que, tirant les conclusions de leur faillite, ils n’aient pas la franchise de reconnaître les erreurs passées et de rompre avec une politique qui a échoué ou l’honnêteté de passer le relais à plus qualifiés qu’eux, bref qu’ils comptent aller jusqu’au bout de leur mandat et nous faire gravir jusqu’en 2017 les marches de notre calvaire, que, spectateurs impuissants et navrés du naufrage dont ils portent la responsabilité, sans imagination et sans audace, ils n’envisagent ni révision ni dissolution ni démission est tout simplement criminel.
Voyez par exemple les chiffres du chômage.
Quelquefois ils sont médiocres.
Parfois ils ne sont pas bons.
Tantôt ils sont très mauvais, tantôt ils sont exécrables, et c’est le cas une fois de plus.
Jamais pareils, on vous dit.
Que le quinquennat de M. Sarkozy ait mis à mal les finances de l’État et l’économie du pays, que le prédécesseur ait laissé notre pays à son successeur dans un état pire que celui où il l’avait trouvé, c’est indéniable.
Que François Hollande et les siens aient cru qu’ils détenaient les recettes de la guérison et qu’il suffirait d’imposer les plus aisés et de créer artificiellement des emplois subventionnés par la collectivité pour relancer la machine, c’est pardonnable.
Qu’ils aient cru que le monde sortant de la crise, nous suivrions le mouvement, c’est excusable.
Que, constatant les conséquences désastreuses d’une politique d’alourdissement de la fiscalité, de rigueur budgétaire, de défense de l’euro, de soumission à des directives supranationales dictées à l’Union européenne par la Commission européenne, l’Allemagne et le FMI, ils aient persisté dans la mauvaise direction et fait souffrir les Français sans relever la France est coupable.
Qu’ils ne comptent aujourd’hui que sur le pétrole à bas prix, la dévaluation de la monnaie unique et le faible niveau des taux d’intérêt, c’est-à-dire sur trois facteurs qui ne dépendent ni d’eux ni de nous pour faire repartir le moteur qu’ils ont cassé est lamentable.
Que, tirant les conclusions de leur faillite, ils n’aient pas la franchise de reconnaître les erreurs passées et de rompre avec une politique qui a échoué ou l’honnêteté de passer le relais à plus qualifiés qu’eux, bref qu’ils comptent aller jusqu’au bout de leur mandat et nous faire gravir jusqu’en 2017 les marches de notre calvaire, que, spectateurs impuissants et navrés du naufrage dont ils portent la responsabilité, sans imagination et sans audace, ils n’envisagent ni révision ni dissolution ni démission est tout simplement criminel.
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