Quand les citoyens ne portent plus aucun intérêt aux politiques qui les gouvernent, la République est en danger.
Quand les citoyens ne portent plus aucun intérêt aux politiques qui les gouvernent, la République est en danger ; pourquoi iraient-ils voter ?
Pour élire un président qui ne respectera pas ses engagements dès qu’il sera élu ?
Pour élire un parlementaire qui, dès qu’il sera à l’Assemblée, appliquera les consignes de son parti et non plus celles de ses électeurs ?
Mais le candidat à l’élection sait que, pour être réélu, il lui faut surtout ne pas mettre en œuvre les réformes pour lesquelles il a obtenu leurs suffrages.
Pour élire un président qui ne respectera pas ses engagements dès qu’il sera élu ?
Pour élire un parlementaire qui, dès qu’il sera à l’Assemblée, appliquera les consignes de son parti et non plus celles de ses électeurs ?
Mais le candidat à l’élection sait que, pour être réélu, il lui faut surtout ne pas mettre en œuvre les réformes pour lesquelles il a obtenu leurs suffrages.
Les citoyens ne veulent plus voter pour un président qui gouvernera le pays avec pour objectif unique sa réélection cinq ans plus tard.
Les citoyens ne veulent plus voter pour un parlementaire qui ne s’intéressera plus à leurs opinions et votera des lois en négligeant totalement leur avis.
Et cela explique ceci :
– 72,85 % d’abstentions au second tour de l’élection partielle de l’Aube ;
– 46 % d’abstentions aux législatives ;
– 36 % d’abstentions aux municipales ;
– 19,50 % d’abstentions à la présidentielle.
Et cela ira en s’amplifiant.
Mais ce n’est pas la solution, car si je ne vote plus, je perds mes droits à critiquer.
Je perds mes droits à me plaindre ou à me révolter.
Quand les citoyens méprisent à un tel point leur président et leurs représentants, c’est la République qui est en danger !
Il est donc avant tout nécessaire de redonner confiance aux citoyens.
Par exemple, avec un quinquennat ou un septennat non renouvelable qui permettra à l’élu d’appliquer les réformes promises, même si elles sont contestées, sans avoir pour objectif premier sa propre réélection.
Réduire les dépenses de l’État, le nombre de parlementaires et de sénateurs et supprimer le cumul des mandats.
Réformer réellement les collectivités régionales et supprimer les régimes spéciaux et bien d’autres économies que l’on se refuse à faire, que l’on soit de gauche ou de droite.
Mais surtout, pour sauver la République, rendre le vote obligatoire.
Ce droit de voter a été acquis par le sang des patriotes et la vie de nombreuses suffragettes.
Ce geste citoyen doit devenir une obligation car si le citoyen ne veut pas voter pour un quelconque candidat, le « vote blanc » est à sa disposition, puisqu’il est comptabilisé.
Ne pas avoir accompli ce geste citoyen doit être sanctionné par une amende dissuasive et aller au-delà, si cela ne suffit pas.
La carte d’électeur doit être présentée, telle la carte nationale d’identité, pour toute obtention d’une aide, d’une allocation, d’une prestation, d’une inscription.
François Hollande a affirmé, lors de l’inauguration de la mpaison de l’Immigration, être pour le vote des étrangers.
Il botte en touche en mettant en avant une réforme de la Constitution pour réunir les trois cinquièmes nécessaires, mais il a un urgent besoin de ces votes et il les obtiendra d’une manière ou d’une autre. Malheureusement, pas par un référendum, à moins qu’il ne prenne une hauteur gaullienne et s’engage à démissionner si le vote lui donnait tor.
Chiche !
Demain, les étrangers voteront, les communautaires bien sûr, puis par la suite ceux de tous les horizons, même s’ils ne sont pas de nationalité française.
Comme ce sera le cas avec le mariage pour tous, demain la PMA et par la suite la GPA.
Les étrangers non communautaires, eux, iront voter en masse, peu d’abstentions, et l’on sait pour qui ils voteront.
Pour vous éviter cette souffrance et sauver la République : « Aux urnes, citoyens ! »
Les citoyens ne veulent plus voter pour un parlementaire qui ne s’intéressera plus à leurs opinions et votera des lois en négligeant totalement leur avis.
Et cela explique ceci :
– 72,85 % d’abstentions au second tour de l’élection partielle de l’Aube ;
– 46 % d’abstentions aux législatives ;
– 36 % d’abstentions aux municipales ;
– 19,50 % d’abstentions à la présidentielle.
Et cela ira en s’amplifiant.
Mais ce n’est pas la solution, car si je ne vote plus, je perds mes droits à critiquer.
Je perds mes droits à me plaindre ou à me révolter.
Quand les citoyens méprisent à un tel point leur président et leurs représentants, c’est la République qui est en danger !
Il est donc avant tout nécessaire de redonner confiance aux citoyens.
Par exemple, avec un quinquennat ou un septennat non renouvelable qui permettra à l’élu d’appliquer les réformes promises, même si elles sont contestées, sans avoir pour objectif premier sa propre réélection.
Réduire les dépenses de l’État, le nombre de parlementaires et de sénateurs et supprimer le cumul des mandats.
Réformer réellement les collectivités régionales et supprimer les régimes spéciaux et bien d’autres économies que l’on se refuse à faire, que l’on soit de gauche ou de droite.
Mais surtout, pour sauver la République, rendre le vote obligatoire.
Ce droit de voter a été acquis par le sang des patriotes et la vie de nombreuses suffragettes.
Ce geste citoyen doit devenir une obligation car si le citoyen ne veut pas voter pour un quelconque candidat, le « vote blanc » est à sa disposition, puisqu’il est comptabilisé.
Ne pas avoir accompli ce geste citoyen doit être sanctionné par une amende dissuasive et aller au-delà, si cela ne suffit pas.
La carte d’électeur doit être présentée, telle la carte nationale d’identité, pour toute obtention d’une aide, d’une allocation, d’une prestation, d’une inscription.
François Hollande a affirmé, lors de l’inauguration de la mpaison de l’Immigration, être pour le vote des étrangers.
Il botte en touche en mettant en avant une réforme de la Constitution pour réunir les trois cinquièmes nécessaires, mais il a un urgent besoin de ces votes et il les obtiendra d’une manière ou d’une autre. Malheureusement, pas par un référendum, à moins qu’il ne prenne une hauteur gaullienne et s’engage à démissionner si le vote lui donnait tor.
Chiche !
Demain, les étrangers voteront, les communautaires bien sûr, puis par la suite ceux de tous les horizons, même s’ils ne sont pas de nationalité française.
Comme ce sera le cas avec le mariage pour tous, demain la PMA et par la suite la GPA.
Les étrangers non communautaires, eux, iront voter en masse, peu d’abstentions, et l’on sait pour qui ils voteront.
Pour vous éviter cette souffrance et sauver la République : « Aux urnes, citoyens ! »
n'ayant jamais voté de ma vie ayant 60 ans, pour commencer, que le vote ait lieu en semaine et non le dimanche, jour de repos!
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