Voici que la fonte des plaques d’égout présente un intérêt marchand que les municipalités ne pouvaient soupçonner...
Dernière performance des « gens du voyage », l’attaque de distributeurs de billets à la bombe aérosol !
Un colonel de gendarmerie a bravé la censure latente dans une interview qui met en cause l’une de ces bandes très organisées.
L’imagination de ces grappilleurs est sans limite, qui trouvent sans cesse de nouvelles mines avant que le « principe de précaution » ait alerté le ministère de l’Intérieur.
Après le cuivre de la SNCF, obligée de mettre en vol des escadrilles de drones mouchards, le bronze des cloches et autres monuments (comme une double table d’orientation sur le mont Saint-Clair à Sète), les engins de travaux publics, les volailles (mais c’est de tradition), les salades et pommes de terre en terrain ouvert, les tombes et sépultures, voici que la fonte des plaques d’égout présente un intérêt marchand que les municipalités ne pouvaient soupçonner.
Attention au viaduc de Garabit : un vrai trésor, avec ses 13 tonnes de fonte, mais aussi quelque 3.200 tonnes de fer, non surveillées la nuit !
Certes, on répliquera que ces pillages ne peuvent en aucune manière être imputés aux mêmes communautés d’individus, trop aisément stigmatisées par une population ringarde et des chroniqueurs réacs, donc xénophobes et racistes !
Pourtant, si le nombre d’actes délictueux liés aux larcins était à proportion des résidents hexagonaux sédentaires en âge d’activité, on obtiendrait à n’en pas douter une statistique monumentale et la ruine des espaces publics.
La fluidité et la flexibilité liées aux déplacements est une bonne couverture qui évite le recel et donc les preuves tangibles des méfaits. Sauf quand la prise est trop grosse ou trop lourde.
Mais chut, il ne faut pas jeter de l’huile sur le beau foyer de la cohésion nationale avec des révélations… explosives !
Un colonel de gendarmerie a bravé la censure latente dans une interview qui met en cause l’une de ces bandes très organisées.
L’imagination de ces grappilleurs est sans limite, qui trouvent sans cesse de nouvelles mines avant que le « principe de précaution » ait alerté le ministère de l’Intérieur.
Après le cuivre de la SNCF, obligée de mettre en vol des escadrilles de drones mouchards, le bronze des cloches et autres monuments (comme une double table d’orientation sur le mont Saint-Clair à Sète), les engins de travaux publics, les volailles (mais c’est de tradition), les salades et pommes de terre en terrain ouvert, les tombes et sépultures, voici que la fonte des plaques d’égout présente un intérêt marchand que les municipalités ne pouvaient soupçonner.
Attention au viaduc de Garabit : un vrai trésor, avec ses 13 tonnes de fonte, mais aussi quelque 3.200 tonnes de fer, non surveillées la nuit !
Certes, on répliquera que ces pillages ne peuvent en aucune manière être imputés aux mêmes communautés d’individus, trop aisément stigmatisées par une population ringarde et des chroniqueurs réacs, donc xénophobes et racistes !
Pourtant, si le nombre d’actes délictueux liés aux larcins était à proportion des résidents hexagonaux sédentaires en âge d’activité, on obtiendrait à n’en pas douter une statistique monumentale et la ruine des espaces publics.
La fluidité et la flexibilité liées aux déplacements est une bonne couverture qui évite le recel et donc les preuves tangibles des méfaits. Sauf quand la prise est trop grosse ou trop lourde.
Mais chut, il ne faut pas jeter de l’huile sur le beau foyer de la cohésion nationale avec des révélations… explosives !
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