Comme ils l'avaient fait pour le bijoutier de Nice en septembre, quelques milliers d'internautes ont lancé une page de soutien au commerçant de la Marne qui a abattu jeudi un braqueur.
Il n'a fallu qu'une heure pour qu'un anonyme créé sur Facebook une «page de soutien au bijoutier de Sézanne».
La formulation n'est pas innocente, et rappelle à dessein la fameuse «Page de soutien au bijoutier de Nice», qui avait dépassé, à la surprise générale, le million de «like» en trois jours.
Cette page de soutien au bijoutier ayant abattu un braqueur dans sa boutique connaîtra-t-elle le même succès?
Difficile à dire pour le moment, même si les premières tendances sont positives. Créée vers 20 heures jeudi soir, la page recueillait vendredi en fin de matinée plus de 20.000 soutiens.
«Si la France ne veut pas nous défendre, nous nous défendrons nous-même», indique le créateur de la page dans la section «à propos».
«Soutenir ce bijoutier, ce n'est pas que soutenir son geste mais c'est soutenir toutes les petites bourgades de notre pays qui sont aussi vulnérables qu'un ballon au milieu du feu!», a écrit le créateur de la page jeudi vers 23 heures.
«Nous soutenons ce bijoutier qui a réagi en concordance avec son instinct humain en voulant défendre ses intérêts ainsi que son fond de commerce et sa famille! Il n'y aurait pas eu de mort si il n'y avait pas eu de braquage!».
Ce message a pour l'heure été partagé plus de 500 fois par des membres de Facebook et «liké» 2500 fois.
Comme pour la «Page de soutien au bijoutier de Nice», il est impossible de retracer qui est à l'origine de cette action.
L'auteur a en effet pris soin de cacher son identité grâce aux paramètres de confidentialité de Facebook.
L'illustration principale de sa page Facebook indique en effet le mot-clé «#LesFrançaisEnOntMarre».
Mais cette tentative ne semble pas prendre: on compte à cette heure seulement une dizaine de tweets reprenant ce mot-clé, et tous ne concernent pas forcément l'affaire du bijoutier.
Difficile à dire pour le moment, même si les premières tendances sont positives. Créée vers 20 heures jeudi soir, la page recueillait vendredi en fin de matinée plus de 20.000 soutiens.
«Si la France ne veut pas nous défendre, nous nous défendrons nous-même», indique le créateur de la page dans la section «à propos».
«Soutenir ce bijoutier, ce n'est pas que soutenir son geste mais c'est soutenir toutes les petites bourgades de notre pays qui sont aussi vulnérables qu'un ballon au milieu du feu!», a écrit le créateur de la page jeudi vers 23 heures.
«Nous soutenons ce bijoutier qui a réagi en concordance avec son instinct humain en voulant défendre ses intérêts ainsi que son fond de commerce et sa famille! Il n'y aurait pas eu de mort si il n'y avait pas eu de braquage!».
Ce message a pour l'heure été partagé plus de 500 fois par des membres de Facebook et «liké» 2500 fois.
Comme pour la «Page de soutien au bijoutier de Nice», il est impossible de retracer qui est à l'origine de cette action.
L'auteur a en effet pris soin de cacher son identité grâce aux paramètres de confidentialité de Facebook.
Une page «contre» qui a du mal à émerger
Le créateur de la page semble en tout cas vouloir étendre son action au réseau social Twitter.L'illustration principale de sa page Facebook indique en effet le mot-clé «#LesFrançaisEnOntMarre».
Mais cette tentative ne semble pas prendre: on compte à cette heure seulement une dizaine de tweets reprenant ce mot-clé, et tous ne concernent pas forcément l'affaire du bijoutier.
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