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vendredi 21 novembre 2025

« Sacrifice des enfants, l’impardonnable erreur du chef d’état-major de Macron ». L’édito de Charles SANNAT

 

Tribune libre du Père KALKA Ancien aumônier des parachutistes


 Aucune description de photo disponible.


Monsieur Fabien Mandon, Mon Général, Je ne vous connais pas personnellement, comme beaucoup de mes frères d’armes, d’où le vouvoiement de rigueur que j’adopte dans cette missive. Vous avez passé le plus clair de votre temps dans l’Armée de l’air. Vous avez été, je suppose, un bon pilote de chasse.
Mes connaissances de l’aviation militaire sont vagues. J’ai servi pendant trois ans, avant d’épouser le monde parachutiste, dans les bases de Saintes, Rochefort et Cognac.
J’ai aussi eu beaucoup de contacts avec les aviateurs au cours de mes nombreuses opérations extérieures (à Kandahar en Afghanistan, entre autres).
Je sais que l’Armée de l’air se compose de deux corps : le corps des mécanos avion et celui des pilotes.
Parmi ces derniers, on distingue clairement les pilotes de transport - de bons vivants, sympas et arrangeants - des pilotes de chasse, véritable aristocratie volante, elle- même peu homogène au sein de laquelle se côtoient, d’assez loin, les « confréries » ou plutôt les « sectes » établies selon les différents types d’avion. Entre les pilotes des Mystère, Alpha Jet, Mirage ou Rafale, on ne se mélange pas, Monsieur !
Et vous êtes bien placé pour savoir que je n’invente rien puisque vous-même avez longtemps été membre de la « secte Mirage » jusqu’à piloter le Mirage 2000D, véritable exploit d’un jeune et brillant pilote.
Quelle mouche vous a donc piqué pour devenir le porte-parole, ou plutôt le perroquet du Président de la République ? Votre intervention au Congrès des Maires, outrepassant votre rôle de chef militaire, est à la fois affligeante et stupidement anxiogène. Puisque la Russie, disiez-vous, va bientôt nous déclarer la guerre, il faudra s’y préparer très sérieusement.
Les Français manquent-ils à ce point de force d’âme à vos yeux ?! Il faut qu’ils se fassent mal, très mal, pour défendre la nation. Et, brevet de pilote sur le gâteau, qu’ils soient prêts à sacrifier leurs enfants et à souffrir économiquement !
Mon pauvre gars, où as-tu été piocher tout ça ? Désolé pour le tutoiement, mais de telles bêtises prononcées publiquement et à haute voix me rendent malpoli.
Mets toi bien dans ta casquette de pilote que la Russie, contrairement à notre Président, aime la France et qu’aucune guerre n’est programmée ni envisagée de son côté, sauf si... Justement, sauf si l’illuminé gourou en chef de notre pays va trop loin dans la provocation verbale et militaire.
Monsieur Mandon, mon général, retourne dans ton bureau, assieds-toi confortablement, prends un bon café (pas une bière, la binouse c’est chez les paras) et commence à réfléchir.
Père Richard KALKA

Pourriture suce bite

général criminel

 

La honte porte un nom

 

jeudi 20 novembre 2025

La marionnette mandon ne fait pas l'unanimité


La propagande du général Mandon aux maires de France : Préparez le pays à la guerre et aux sacrifices !

La propagande du général Mandon aux maires de France : Préparez le pays à la guerre et aux sacrifices !

mandon, général d'alcôve, portrait du chien à sa mémère

 

Fabien Mandon n'est général que par jeux d'antichambres.
Son grade de colonel de l'armée de l'air n'est quant à lui attribuable qu'à une carrière construite à coups de bombardements de groupes rebelles déguenillés, dans les pays les plus pauvres du monde, par Mirage et Rafale interposés.
Ces aventures coloniales sans valeur et une ambition sans rapport avec ses qualités n'en on fait, que le pleutre d'un pouvoir avarié.
Cet homme n'a, en d'autres termes, ni rapport au courage, ni à l'engagement éprouvés.
Courage et engagement auquel il nous enjoint, parlant même de sacrifice d'enfants qu'il n'a jamais portés, a fortiori protégés.
On mesure mal l'indécence et le danger pervers que ces paroles, par le Président de la République couvées, peuvent porter.
En entrant de plain-pied dans le débat public, sans en avoir la légitimité, M. Mandon, colonel de l'armée de l'air et général préoposé aux alcôves et aux intrigues de palais, s'expose à voir scrutées chacune de ses compromissions, qui en ont fait le chien de son maître, soumis au bon vouloir d'un chef d'État désavoué par les urnes, prêt à envoyer son peuple à la mort pour se sauver, à rebours du sentiment, et des engagements, de la nation et de son instrument, l'armée.
Il faut être sans pitié à l'égard de ces bas-gradés, qui font de la trahison et de la compromission leur carburant.
Leurs pieds nous mènent à des fronts qu'ils n'ont jamais foulé.
Notre détermination et notre volonté seules sont de nature à les faire cesser.
Qu'ils aient honte d'exister.
Et qu'ils reviennent à des terres qu'ils n'auraient jamais dû quitter.

« Vous voulez nos enfants ? Il faudra passer sur nos corps. »

 

 Aucune description de photo disponible.

ÉDITO « Vous voulez nos enfants ? Il faudra passer sur nos corps. »
Ils l’ont dit.
Non plus en coulisses, non plus à demi-mot.
Mais publiquement, devant les maires de France :
« Il faut accepter de perdre nos enfants. »
Voilà où nous en sommes.
Un État-major qui prépare déjà les cercueils avant d’expliquer la guerre.
Un pouvoir qui réclame du peuple la résignation avant même de demander son avis.
Une caste qui parle de nos enfants comme on parle d’un stock stratégique.
Eh bien écoutez-moi bien :
ceux qui pensent que nous allons regarder nos fils partir vers l’abattoir ont perdu tout contact avec la réalité.
Parce que moi, parent, citoyen, être humain, je le dis ici, et je le dis clair :
Si un jour une convocation tombe pour mon fils, il saura se protéger et moi, je traverserai montagnes, frontières, murs et menaces pour le rejoindre.
Au péril de ma vie s’il le faut.
Et je suis loin, très loin d’être le seul.
Qu’ils ne se trompent pas.
On peut pressurer le peuple.
On peut lui voler son argent, sa tranquillité, ses libertés lentement rognées.
On peut tenter de lui faire peur avec un ennemi extérieur, une échéance de guerre, une rhétorique de fin du monde.
Mais on ne prendra pas nos enfants.
Jamais.
Qu’ils regardent la France réelle, celle qui travaille, qui souffre, qui paye, qui aime : cette France-là n’acceptera pas qu’on transforme sa jeunesse en chair à canon pour sauver l’honneur d’un système déjà en lambeaux.
Qu’ils tentent de normaliser l’idée de sacrifice.
Qu’ils tentent de faire passer l’horreur pour du courage.
Qu’ils tentent de nous hypnotiser avec des mots durs, des drapeaux, des discours martiaux.
Nous voyons clair.
Et ce que nous voyons, c’est un pouvoir qui prépare le pays à la guerre sans jamais demander l’avis de ceux qui perdront tout : les familles.
Ils veulent des soldats dociles ?
Ils auront des parents debout.
Ils veulent des sacrifices ?
Ils auront des résistances.
Ils veulent le silence ?
Ils auront des millions de voix qui hurlent :
NOS ENFANTS NE SONT PAS LES VÔTRES.
PAS VOS ARMÉES.
PAS VOS GAGEURES.
PAS VOTRE MONNAIE D’ÉCHANGE.
Et si cela choque, tant mieux.
Le choc, c’est ce qui réveille.
Et la France, justement, commence à se réveiller.
Pierre-Ange Spagnolo

Si vous pensez que le salut viendra de l'armée, vous vous mettez le doigt dans l'oeil jusqu'au coude

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dimanche 5 octobre 2025

Ibrahim Traore DÉTRUIT le Plan de Paix de Trump à Gaza : « Ce n’est pas la paix ! »



4 oct. 2025 FRANCE
 
Dans un discours percutant, Ibrahim Traoré démonte le prétendu plan de paix de Donald Trump pour Gaza
 
Avec des mots forts, il révèle ce que beaucoup n’osent pas dire : il ne s’agit pas de paix, mais d’un mensonge imposé au peuple opprimé.
 
Ce soir je suis  Ibrahim Traore

vendredi 26 septembre 2025

68 ans de mensonges...... UN BIJOU UN VRAI DÉLIRE…..


Il reste à plumer :


- Les caisses de retraites privées AGIRC- ARCO.....
68 ans d'émigration fiscale et de mensonges.

 
On dit, et c'est vrai, que les français sont des râleurs, je pense surtout qu'ils sont stupides quand on lit ce qui suit.
Allez, vive la France...enfin la Bretagne...
A 94 ans cette brave dame a la tête sur les épaules et
ses comptes.

 Elle a aussi très bonne mémoire en citant tous les intervenants gouvernementaux successifs qui l'ont trahie. 

La lecture vaut son pesant d'or... !!!

Très bien résumée la situation
De 1956 à nos jours : 68 ans d'imagination fiscale... et surtout de mensonges.

Je me présente. Je m'appelle Micheline Sany. Je suis née en 1927 et je vous le dis tout net : à force de tirer sur l'élastique, la corde va péter!
En 1956, quand Guy Mollet a instauré la vignette pour «fournir un revenu minimum à toutes les personnes âgées de 65 ans et plus », bon... moi j'avais à peine 30 ans et j'étais très fière de pouvoir venir en aide aux anciens. 

 En plus, Paul Ramadier, le ministre des Affaires économiques, avait affirmé que ça serait une taxe
temporaire...

Merci à JPL 

 Bah, il a duré quarante-quatre ans le temporaire ! 

Pendant quarante-quatre ans j'ai payé cette vignette ! Alors merci !
Surtout que les anciens n'en ont presque jamais vu la couleur, vu qu'au bout de trois ans, le Premier ministre, Michel Debré, a annoncé que le produit de la vignette serait finalement « acquis au budget de l'État... », qui le reverserait au Fonds national de solidarité. 

Enfin, en partie...
Enfin, en petite partie... Que les vieux se fassent dépouiller comme ça, ça a fait du foin, pendant toutes ces années.
Mais ça n'a jamais rien changé.
Ensuite en 1991, quand ils ont créé la CSG, la contribution sociale généralisée pour financer la branche famille, en remplacement des cotisations patronales d'allocations familiales, bon... sans râler, j'ai payé !
Surtout que ça ne devait durer que cinq ans. 

« Une contribution transitoire » qu'ils disaient... et puis 1,1 %,
c'était supportable.

Seulement vingt-sept ans plus tard, elle transite toujours la CSG !
Et elle a grimpé à 9,2 % pour les salariés et 8,3 % pour les retraités. 

Par étapes, bien sûr, c'est moins voyant.
En 1993, elle est passée de 1,1 à 2,4 %. 

Pour alimenter en plus le Fonds de solidarité vieillesse. 

Y'avait pas déjà lavignette pour ça ? Chuuuuut, arrêtez d'être insolents !
En 1997, elle augmente encore pour financer, en plus, la  branche maladie : on en est à 3,4 %.
En 1998, toujours pour la branche maladie, elle passe à 7,5 %, etc., etc.
Bref, la protection sociale ne s'est pas redressée, et ce qui devait être temporaire est devenu... un impôt de plus.
Ah bah oui ! La CSG, ça rapporte plus que l'impôt sur le revenu aujourd'hui !
Si on vous demande combien vous payez d'impôts par an, vous savez le dire. 

Mais si on vous demande combien vous payez de CSG, vous savez ?
Chez moi on disait : « C'est tout un art de plumer l'oie sans la faire crier.»

 Alors qu'il y aurait de quoi hurler.
Et puis en 1996, rebelote avec la CRDS, la « contribution à la réduction de la dette sociale ».
J'ai payé. (Mais j'avoue, j'ai râlé.).
À cette époque, les déficits sociaux s'élevaient à un montant estimé entre 30 et 38 milliards d'euros.
Oui, parce que nous, si on se trompe de dix euros dans notre déclaration de revenus, on risque une amende, maiseux, un flou de 8 milliards, ils ont le droit...

 Toujours est-il qu'ils avaient tout bien calculé : en treize ans, tout serait remboursé.
La CRDS devait disparaître le 31 janvier 2009.
Mais voilà-t'y pas qu'en septembre 1997, le gouvernement Jospin annonce 13 milliards d'euros supplémentaires de dettes, qui correspondaient aux déficits sociaux non financés des années 1996 à 1998.


Alors, ils ont tout bien recalculé, finalement pour tout éponger il fallait prolonger... jusqu'au 31 janvier 2014.
Mais voilà-t'y pas qu'en 2004, le plan de redressement de la Sécurité sociale concocté par Philippe Douste-Blazy 

annonce 50 milliards d'euros supplémentaires de dette à rembourser.
Alors, ils ont tout bien re-recalculé... et ils ont vu que finalement, la Trinité était la meilleure date pour arrêter la CRDS. Donc, on la paye toujours...
Et puis, en 2004 , Raffarin a inventé la « journée de solidarité », vouée à « l'autonomie des personnes âgées ».
Moi, ça va, j'étais déjà à la retraite, mais vous, vous avez travaillé... sans être payés !
Et en 2013, une nouvelle taxe pour les retraités. 

CASA, ça s'appelle.

 C'est la « contribution additionnelle de solidarité à l'autonomie », 0,3 % sur les retraites, pensions d'invalidité, allocations de préretraite.
C'est-à-dire qu'ils font payer les vieux pour que les vieux soient autonomes !
C'est pas du bon foutage de gueule, ça ? Et on continue.
En 2013, toujours, M. Jean-Marc Ayrault nous gèle les retraites complémentaires...
Et comme ça ne s'arrête jamais, maintenant, parce que j'ai 1 247 euros de revenu fiscal par mois, j'ai une augmentation monstrueuse de la CSG : 25 % d'augmentation !
Ah ben oui, on nous a dit 1,7 % , mais c'est pas 1,7 % de ce
qu'on payait, c'est le taux qui augmente de 1,7 % ! passés de 6,6 % à 8,3 % de CSG , ça nous fait 25 % dans les dents....enfin celles qui nous restent.
Et maintenant, la cerise sur le pompon : on nous annonce que nos retraites vont être revalorisées de 0,3 %.

 Cinq fois moins que l'augmentation dont on aurait dû bénéficier si le code de la Sécurité sociale avait été
simplement respecté, puisqu'il prévoit que les pensions soient revalorisées du montant de l'inflation moyenne sur l'année pour éviter toute dégradation du niveau de vie.
Et l'inflation prévue d'après l'Insee est de 1,6 %.
Et Bruno Le Maire ose dire sur RTL : « Mais ils ne seront pas perdants, leur pension de retraite continuera à être revalorisée. »

 Il croit qu'on est tous gâteux ou quoi ?
Je n'ai que mon certificat d'études, mais y'a pas besoin de sortir de Polytechnique pour comprendre qu'une hausse de 0,3 % des pensions, quand les prix augmentent de 1,6 %, revient à une baisse du pouvoir d'achat.
D'après le baromètre de l'institut Elabe, publié le 6 septembre, 72 % des retraités déclarent ne pas avoir
confiance dans le chef de l'État, alors qu'ils étaient 44 % en janvier et 35 % lors de son élection.

 On se demande vraiment pourquoi?

 Un type qui pour se faire élire déclarait chez Jean-Jacques Bourdin en décembre 2016 : «
L'engagement que je prends ici devant vous, c'est que, avec moi, toutes les petites retraites auront leur pouvoir d'achat protégé. ».
Et sur RMC encore, en février 2017 : « Je ne veux pas, moi, faire d'économies sur le dos ni des retraités, ni de celles et ceux qui sont à quelques années d'aller à la retraite. ».
Et au 20 heures de France 2 en mars 2017 : « Je ne touche pas à la retraite de celles et ceux qui sont aujourd'hui retraités.

 Leur retraite sera préservée. Il n'y aura pas de perte de pouvoir d'achat, c'est essentiel ! ».
Alors je pose la question : 72 % qui n'ont pas confiance, comment est-ce possible ?

 Comment peut-il se trouver encore 28 % de retraités qui
lui fassent confiance ? ...

Et aussi , que penser des 700 mille migrants qui rentrent en France par an , les mains dans les poches et des aides leurs tombent en veux tu , en voilà.....!!!
Toute ma vie, j'ai payé pour aider les vieux et maintenant que je suis vieille, il faut que je paye pour aider les jeunes ?


Que vont-ils nous inventer encore ??


N'hésitez pas à diffuser largement cette petite analyse...de
la situation......

mercredi 17 septembre 2025

Mise au point d'un "boomer" à l'attention des merdeux fragiles des dernières générations


 Courrier des lecteurs. Strasbourg des années 1960 : les stigmates


Lors d’une réunion de famille, un jeune homme demanda à ses parents, tantes, oncles et grands-parents :
« Mais comment viviez-vous avant ? »
• Sans télévision
• Sans Wi-Fi
• Sans technologie
• Sans Internet
• Sans ordinateurs
• Sans drones
• Sans bitcoins
• Sans téléphones portables
• Sans Facebook
• Sans Twitter
• Sans YouTube
• Sans WhatsApp
• Sans Messenger
• Sans Instagram

Alors, le grand-père prit la parole et répondit :
« Tu sais, mon cher petit-fils…
Exactement comme votre génération vit aujourd’hui…
• Sans prières
• Sans respect
• Sans valeurs
• Sans personnalité
• Sans sens du devoir
• Sans intériorité
• Sans caractère
• Sans saveur
• Sans idéaux
• Sans amour de soi
• Sans humanité
• Sans humilité
• Sans vertus
• Sans honneur
• Sans but
• Sans ce petit quelque chose
• Sans essence
• Sans orientation
• Sans identité – car beaucoup ne savent même plus s’ils sont homme ou femme.

Nous, qui sommes nés entre 1920 et 1975, nous sommes bénis, et notre vie en est la preuve vivante :
Après l’école, on faisait d’abord nos devoirs, puis on allait jouer dehors !

Nous jouions avec de vrais amis – pas avec des amis virtuels sur Internet.
Nous fabriquions souvent nous-mêmes nos jouets et nous en étions heureux.
Nos parents n’étaient pas riches,
mais ils nous offraient et nous enseignaient l’amour – pas des valeurs matérielles ou mondaines.
Nous n’avions ni portables, ni ordinateurs, ni DVD, ni PlayStations, ni Xbox, ni jeux vidéo, ni Internet…
mais nous avions de vrais amis.

Nos proches vivaient à proximité, ce qui permettait de profiter des moments en famille.

Peut-être que nous apparaissons seulement sur des photos en noir et blanc,
mais les souvenirs, eux, sont colorés et vivants.

Nous sommes une GÉNÉRATION UNIQUE et PLUS AVISÉE,
car nous sommes la DERNIÈRE à avoir écouté nos parents…
et la PREMIÈRE à avoir dû écouter nos enfants.

Nous sommes une ÉDITION LIMITÉE !

Profite, apprécie et apprends d’hier.

Partage ce message.
« LES ANCIENS »
• « Nous sommes nés dans les années 40, 50 et 60. »
• « Nous avons grandi dans les années 50, 60 et 70. »
• « Nous avons été à l’école dans les années 60, 70 et 80. »
• « Nous sommes tombés amoureux dans les années 70, 80 et 90. »
• « Nous nous sommes mariés et avons découvert le monde dans les années 70, 80 et 90. »
• « Nous nous sommes lancés dans la vie dans les années 80 et 90. »
• « Nous avons trouvé notre stabilité dans les années 2000. »
• « Nous sommes devenus plus sages dans les années 2010. »
• « Et nous sommes toujours là en 2025. »

Nous avons traversé HUIT décennies…
DEUX siècles…
DEUX millénaires…

Du téléphone avec opératrice pour les appels longue distance aux appels vidéo dans le monde entier.
Du disque vinyle au streaming.
Des lettres manuscrites aux e-mails et à WhatsApp.
Des commentaires radio du football à la télévision noir et blanc, puis à la HD.
Avant, nous allions au vidéoclub – aujourd’hui, nous regardons Netflix.
Nous avons connu les premiers ordinateurs, les cartes perforées, les disquettes –
et aujourd’hui, nous transportons des gigaoctets et mégaoctets dans nos poches – sur un portable ou une tablette.

Nous avons porté, enfants, des culottes courtes, puis des pantalons longs, des Oxfords, des bermudas, et tant d’autres choses.
Nous avons survécu à la polio, à la méningite, à la grippe H1N1 et maintenant au COVID-19.

Oui, nous avons traversé beaucoup d’épreuves,
mais quelle vie extraordinaire nous avons eue !

On peut nous appeler des « survivants ».
Des gens nés dans le monde des années 1950,
qui ont connu une enfance analogique et une vie adulte numérique.

Nous sommes un peu du genre « J’ai-tout-vu ».

Notre génération a vécu et vu plus que n’importe quelle autre –
dans toutes les dimensions de la vie.

Nous sommes la génération qui s’est vraiment adaptée au Monde.

Un grand applaudissement à tous les membres d’une génération si particulière,
qui restera pour toujours UNIQUE.



Un beau message, très vrai, que j’ai reçu d’un ami.
J’espère que tu prendras le temps de le lire puis de le partager…
 ou bien tu le repousseras, le remettra à plus tard
et tu verras que tu ne le partageras jamais !!!

Toujours ensemble
Toujours unis
Toujours frères
Toujours amis

Merci à JPL 

dimanche 20 juillet 2025

Les personnes de ma génération disparaissent les uns après les autres, les uns avec faste et un décorum frisant l'indécence, et la majorité dans un silence discret.

 


Devant la diléquescence  de cette France que j'aime au delà de tout je préfère me taire et retrouver les souvenirs d'une époque bénie! 

Prenez soin de vous, tout n'est peut être pas perdu.

mardi 17 juin 2025

Blog en pause

Guerre Israël - Iran : Trump humilie encore Macron - JT du mardi 17 juin 2025



 Publiée le 17/06/2025

Au programme de cette édition, la guerre se poursuit entre Israël et l’Iran, le rapport de force semble plus que jamais reposé sur les Etats-Unis tandis qu’Emmanuel Macron a subi une nouvelle humiliation de la part de Donald Trump. 

Nous reviendrons aussi sur l’autre conflit qui secoue la planète, la guerre en Ukraine. Volodymyr Zelensky pourrait bien faire les frais des initiatives belliqueuses de Benyamin Netanyahou. 

Et nous reviendrons en France avec les discussions syndicales sur les retraites qui s’enlisent pendant que François Bayrou cherche à conserver son poste à Matignon. 

[ÉDITO] Hervé Morin souhaite la démission d’Emmanuel Macron. Et il n’est pas le seul…

HERVÉ MORIN

 

 

 Est-ce qu'on doit attendre 2027 ? La réponse est dans la question.

Hier, invité au Grand Rendez-vous dominical de CNews, Hervé Morin, président des centristes et de la région Normandie, a jeté un pavé dans la mare : il a appelé de ses vœux la démission d’Emmanuel Macron : « Est-ce qu’on doit attendre 2027 ? On est en train de perdre un temps précieux dans un pays en grande difficulté. » Il fait son roi Salomon, sommant Emmanuel Macron de choisir : s’accrocher à une France exsangue sur le point de trépasser ou accepter de la céder à un autre pour lui donner une chance de survivre. Si Emmanuel Macron « a le sens du pays », « au nom de l’intérêt de la France », « la situation du pays [étant] trop grave », sachant le niveau « d’opinions défavorables du couple exécutif », et puisque « rien ne bouge », il doit partir. « Ce serait rendre service au pays et aux Français », conclut-il. « Est-ce qu’on peut se dire que l’intérêt supérieur de la nation, c’est d’avoir un exécutif capable de faire des réformes avec un Parlement qui le suit ? »

De fait, François Bayrou a pu donner l’impression, un temps, qu’il avait sauvé le Président. Mais la France est à l’arrêt. Le Premier ministre ressemble à un cow-boy brinquebalé de tous côtés, s’accrochant comme il peut à la selle de son cheval bronco comme on appelle les canassons de rodéo au Texas : il ne prétend pas avancer, ce serait trop prétentieux ; il veut gagner du temps avant d’être éjecté.


Petite musique

Cette petite musique, Hervé Morin n’est pas seul à la faire (à nouveau) monter. Le 9 juin dernier, l'eurodéputé Christophe Gomart avait aussi demandé la démission d’Emmanuel Macron : « Il faut que Narcisse quitte le pouvoir ! ». Le général avait enfoncé le clou : « [s’il était] à sa place, c’est ce qu’il ferait », pour « redonner un souffle à la France ».

Cette pensée ne traverse pas que le milieu politique, elle habite aussi l’opinion publique.

Dans les sondages, la popularité est en berne. Ce n’est pas de la haine… c’est pire : de l’indifférence. Les Français s’en détournent.

Franck Pengam, fondateur de Géopolitique Profonde, et Alain Soral reviennent du Donbass.

 

Israël : Des Bombardements très lourds ont lieu sur Israël, qui se transforme en Gaza

 

lundi 16 juin 2025

Tintin au Groenland… pardon Macron !

 

 

 par | 16 Juin 2025 |

 

Macron au Groenland … C’est un peu comme les aventures de Tintin…

Bon évidemment notre Tintin au Groenland nous a parlé du réchauffement climatique, de la fonte des glaciers et de la fin du monde environnementale qui nous tuera certainement bien moins vite que la guerre en Ukraine ou la guerre qui embrase le Moyen-Orient.

Il a surtout été là-bas pour faire de la politique anti-Trump puisque le Donald veut mettre la main sur le Groenland qui veut dire terre verte… comme quoi avant d’être glacé c’était vert mais c’est un sujet que nous allons éviter pour faire plaisir à Greta, à ses couettes, et à tous les benêts des fresques du climat.

 

 

« Il est le premier chef d’État étranger à mettre un pied là-bas depuis les menaces d’annexion de Donald Trump. Ce dimanche, Emmanuel Macron est arrivé au Groenland. Un territoire grand comme quatre fois la France et couvert à 80 % de glace mais qui intéresse au plus haut point les Etats-Unis. Un espace autonome mais qui est sous la houlette du Danemark. Pourquoi le président français était-il présent ?

Il est arrivé ce dimanche à Nuuk peu avant 11h30. Il s’y rend à l’invitation de la Première ministre danoise Mette Frederiksen et du chef du gouvernement groenlandais, Jens-Frederik Nielsen. Un « témoignage concret de l’unité européenne » a souligné Mette Frederiksen. Le président français a prévu trois séquences pour porter trois messages : le soutien européen à « la souveraineté et l’intégrité territoriale » du Groenland, à son développement économique et la mobilisation contre la « fonte alarmante des glaciers », indique l’Elysée. Un territoire « qui n’est pas à vendre », avait déclaré le président français lors du sommet des océans.

"L’Iran est une véritable nation d’ingénieurs et de scientifiques. Ils en ont même plus qu’en France !"

 

 

Un petit tour sur les médias internationaux hors Occident-compulsif.


 Image

 L’ensemble du monde est effaré par l’aventure folle et suicidaire dans laquelle Netanyahou a lancé Israël. 
 
 Analyse du Colonel Douglas Mac Gregor : « Au cours des dernières 72 heures, Israël a lancé une frappe préventive contre l'Iran alors que les négociations entre Washington et Téhéran étaient toujours en cours. 
 
 L'Iran a été pris au dépourvu. Mais il s'est remis plus vite de son coup de Pearl Harbor qu'Israël ne l'avait prévu. Moins de 18 heures après l'attaque surprise d'Israël, l'Iran a riposté en tirant des centaines de missiles balistiques, dont des missiles hypersoniques, sur le centre de Tel-Aviv et à travers Israël. Pendant ce temps, le Dôme de Fer israélien a échoué. Les services de renseignement israéliens ont échoué. 
Netanyahou supplie désormais Washington d'intervenir avec la puissance militaire américaine pour sauver Israël d'une défaite certaine ; une défaite que Netanyahou a préparée avec les encouragements de Washington. Au même moment, la Russie, la Chine, le Pakistan et la majeure partie du monde musulman se rallient à la défense de l'Iran. Les fournitures, l'équipement et l'assistance technique affluent en Iran. 
 Il est temps de faire un bilan : Washington a dépensé 12 000 milliards de dollars au Moyen-Orient depuis 2003. Résultat ? 7 000 morts américains.

Iran - Israël : Qui a déclenché la guerre ? - JT du lundi 16 juin 2025



 Publiée le 16/06/2025

A la une de cette édition, la guerre entre Israël et l’Iran devient une réalité depuis l’attaque menée par Tel-Aviv le 13 juin.

 Nous ferons un point détaillé dans cette édition. 

Nous reviendrons ensuite sur les réactions contre l’immigration en Irlande du Nord après l’agression sexuelle d’une adolescente par deux Roms. 

Et puis nous reviendrons en France pour revivre la manifestation parisienne contre l’euthanasie organisée samedi par Florian Philippot.

 

Et pour Israël des sanctions ?, par Jacques Frantz



par 15 juin 2025


Lire aussi : Trump joue-t-il double jeu ?, par Jacques Frantz

 

« Je m’étonne de la mansuétude des États et de leurs médias à la suite des frappes d’Israël contre l’Iran. »

Souvenez-vous ! C’était le 24 février 2022. La Russie débutait ce qu’elle appelait son « opération militaire spéciale ».

Les pays occidentaux n’ont pas hésité à surenchérir tant dans le verbe que dans le geste. Dans le verbe, on a immédiatement parlé d’agression.


Dans le geste, des sanctions sans précédent ont été prises contre la Russie.

Enfin, quand je dis « sanctions », il faut tout de même nuancer. Parce qu’aucune instance judiciaire ou d’arbitrage international seuls habilités à prononcer des « sanctions » n’ont statué. Pour le cas où d’aucuns l’auraient oublié, rappelons que la Russie est intervenue pour mettre fin aux exactions perpétrées contre des populations aux seuls motifs qu’elles étaient russophones et qu’elles étaient attachées à l’Église orthodoxe liée à Moscou, ce qui est leur droit et, partant, ne justifie pas une telle répression.

À cela, il convient d’ajouter que la Russie avait fixé des conditions claires et raisonnables qui auraient évité son intervention. Pour faire bonne mesure, on rappellera également que tout a été fait pour faire capoter un accord de paix pratiquement conclu.


C’est pourquoi, je m’étonne de la mansuétude des États et de leurs médias à la suite des frappes d’Israël contre l’Iran.

Tout ce beau monde serait-il devenu raisonnable ? Serait-on tout d’un coup devenu nuancé ? En effet, pourquoi lorsque la Russie envoie des soldats en Ukraine c’est une agression, alors que quand Netanyahou envoie des bombes sur un pays qui ne lui a strictement rien fait on parle de « frappes préventives ». Qu’en termes choisis ces choses-là sont dites. Les bombes des Hébreux seraient-elles plus douces que celles de Poutine ?

Certains m’objecteront que, quand même, l’Iran était sur le point d’avoir l’arme nucléaire (dixit entre autres les Israéliens et les Américains qui ont l’arme nucléaire). J’ai envie de dire « et alors » ? L’Iran est un État souverain qui a le droit de s’armer comme il l’entend et de se procurer les outils de dissuasion qui bons lui semblent. Y aurait-il des États moins souverains que d’autres ? C’est que… l’Iran est une république islamique (des deux vocables je ne sais d’ailleurs pas lequel est le pire). Par conséquent, il serait dangereux que l’Iran possède une bombinette atomique.


J’entends bien que les mollahs à la tête de l’Iran ne sont pas des saints.

Je n’ai pas oublié non plus les tentatives odieuses de déstabilisation au Liban et en Europe. On peut citer de mémoire les attentats à Paris en 1986, l’assassinat de Chapour Bakhtiar, les méfaits d’Anis Naccache, j’en passe et des meilleures. À cela il faut répondre que d’une part c’était il y a 40 ans et qu’à l’époque les Français ont été très mesurés dans les sanctions pénales au nom de la raison d’État.

Rappelons aussi que sans la CIA et sans la France (c’est peu ou prou la même chose), il n’y aurait pas de république islamique.

[POINT DE VUE] Macron célèbre les 40 ans de Schengen : plus que lui à y croire !

 

Capture d'écran présidence de la République
Capture d'écran présidence de la République

 

 

 Utopie de l'abolition des frontières, Schengen est détricoté sous la pression du réel, mais Macron y croit encore !

C'était le 14 juin 1985 : ce qui était réalisable au niveau du territoire du Benelux et à une époque où la submersion migratoire n'avait pas désintégré l'Europe était élargi à la France et à la RFA. Puis, au gré des élargissements et de la fuite en avant sans-frontiériste, Schengen, cette Europe passoire dénoncée dès l'origine par Philippe de Villiers, devint le cauchemar d'une Europe livrée aux trafics, aux terroristes et à l'immigration, massivement islamique.


Un message euro-béat lunaire du Président français

C'est dans ce contexte cauchemardesque qu'Emmanuel Macron et tout son staff européiste ont choisi de célébrer ce traité mortifère. Lisez plutôt le tweet : « Il y a 40 ans à Schengen, la France, l’Allemagne, la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas choisissaient la libre circulation pour leurs citoyens à l’intérieur de l’Union européenne et le renforcement commun de leurs frontières extérieures. Depuis, 450 millions de destins européens bénéficient de l’espace de libre circulation intérieure. L’espace Schengen est une force de l’Union européenne, une garantie de liberté et de sécurité. »
Aucune nuance, aucune concession au réel : le rêve à l'état pur !

 

dimanche 15 juin 2025

Le général Delawarde n’est plus, mais son avertissement résonne plus fort que jamais.

 

L’Iran appelle les Israéliens à quitter le pays immédiatement.

 

 

 British Telegraph : Les défenses aériennes israéliennes s'effondrent sous le poids d'un nouveau barrage de missiles iraniens.

 

 

 

 

 Israël a officiellement demandé l'aide internationale pour l'aider à intercepter les drones et les missiles balistiques iraniens entrants dans le contexte de l'escalade en cours - Kan Channel Le seul pays qui était d’accord était le Royaume-Uni. La défense aérienne israélienne est morte.