Les chiffres de mortalité publiés par 27 pays à travers l'Europe montrent que le continent a subi près de 300 000 décès supplémentaires jusqu'à présent cette année. Cela signifie que 2022 est officiellement une année record en termes de nombre de décès.
Chaque groupe d'âge, y compris les enfants, compte plus de décès au cours de la semaine 44 de 2022 qu'au cours de la semaine 44 de 2020, une année avec des vagues extrêmes de décès présumés de Covid-19.
Cependant, si nous retirons la première vague de décès de Covid-19 en 2020 de l'équation et ne regardons que les décès excédentaires après la semaine 20, nous constatons que la véritable ampleur des décès en 2022 est encore pire.
En effet, l'Europe a enregistré 74 684 décès supplémentaires entre les semaines 20 et 44 de 2020, mais 161 403 décès supplémentaires entre les semaines 20 et 44 de 2022. Cela représente une augmentation de 116 % des décès en excès en 2022 par rapport à 2020.
Les données ont été publiées par le projet européen de surveillance de la mortalité (EuroMOMO) et n'incluent pas les décès en Ukraine, ce qui signifie que l'augmentation des décès ne peut être attribuée à la guerre en cours.
Selon les données publiées , le nombre de décès chez les enfants âgés de 0 à 14 ans est encore plus faible que prévu en 2020, l'Europe atteignant 44.
Mais 2020 était une histoire très différente : à la semaine 44 de 2022, l'Europe a enregistré 929 décès de plus que prévu chez les enfants âgés de 0 à 14 ans.
Les décès excédentaires chez les 15-44 ans ont totalisé 3 090 jusqu'à la semaine 44 de 2020. Mais en 2022, il y a eu 1 717 décès excédentaires supplémentaires, avec 4 807 décès excédentaires dans le groupe d'âge jusqu'à la semaine 44.
Cependant, pour les personnes âgées de 45 à 64 ans, le nombre de décès excédentaires était presque identique, avec 326 décès excédentaires réels enregistrés à la semaine 44 en 2020.
Cependant, si nous retirons la première vague de décès présumés de Covid-19, nous constatons que cette année raconte en fait une histoire très différente. En effet, entre la semaine 20 et la semaine 44 de 2022, il y a eu 6 854 surmortalités chez les 45-64 ans, mais 9 836 surmortalités dans cette tranche d'âge à la même période en 2022. Cela représente une augmentation de 44 %.
En 2022, il y aura près de 3 000 décès de plus chez les 65-74 ans qu'à la 44e semaine de 2020.
Mais regardez à quel point la différence de décès excessifs était drastique si nous ne tenons pas compte à nouveau de la première vague de décès présumés de Covid-19.
Entre les semaines 20 et 44 de 2022, l'Europe a enregistré 18 798 décès supplémentaires parmi les personnes âgées de 65 à 74 ans. Au cours de la même période en 2020, l'Europe a enregistré 9 623 décès en excès. Cela correspond à une augmentation de 95% en 2022.
La situation est similaire pour les 75 à 84 ans.
Il y a eu près de 2 000 décès excédentaires de plus dans ce groupe d'âge en 2022 qu'au 44e
Cependant, en ignorant la première vague de décès présumés de Covid-19, cet écart s'élargit à plus de 24 000.
Entre les semaines 20 et 44 de 2020, il y a eu 22 151 décès supplémentaires parmi les personnes âgées de 75 à 84 ans. Cependant, ce nombre est passé à un niveau choquant de 46 181 en 2022. C'est une augmentation de 109 %.
Enfin, la même tendance se dégage parmi les personnes âgées de 85 ans et plus.
À la semaine 44 de 2022, il y avait plus de 6 000 décès supplémentaires parmi les personnes âgées de 85 ans et plus par rapport à 2020. Cependant, cette différence s'élargit à 45 833 si nous n'incluons pas la première vague de décès présumés de Covid-19.
Entre les semaines 20 et 44 de 2020, il y a eu 33 749 décès supplémentaires chez les personnes âgées de 85 ans et plus à travers l'Europe. Cependant, ce nombre est passé à 79 582 au cours de la même période en 2022. Cela correspond à une augmentation de 136 %.
Il est particulièrement préoccupant qu'en 2022, le nombre de décès en excès à travers l'Europe augmentait à un rythme assez constant d'une semaine sur l'autre. La flambée en 2020 est due à la prétendue vague de décès de Covid-19.
Cela soulève la question de savoir pourquoi tant de personnes meurent cette année.
Nous pouvons trouver des indices de réponse en analysant les décès d'enfants.
Selon les chiffres fournis par 27 pays d'Europe, il y avait 270 décès d'enfants de moins que prévu à la 21e semaine de 2021. Mais ensuite, les décès dans ce groupe d'âge ont soudainement commencé à augmenter de semaine en semaine.
Et par coïncidence, cela coïncide exactement avec l'extension par l'Agence européenne des médicaments de l'autorisation d'utilisation d'urgence de Pfizer pour l'injection de Covid-19 aux enfants âgés de 12 à 15 ans.
Après avoir étendu l'utilisation d'urgence aux enfants, le nombre de décès chez les 0-14 ans est passé à 848 fin 2021.
Si vous regardez le graphique ci-dessus, vous verrez que l'excès de décès se stabilise légèrement à la semaine 48 avant de reprendre une semaine ou deux plus tard.
Par coïncidence, ce moment coïncide avec l'extension de l'autorisation d'utilisation d'urgence de l'injection Covid-19 de Pfizer aux enfants âgés de 5 à 11 ans par l'Agence européenne des médicaments (EMA).
Est-ce juste une coïncidence ? Si c'est le cas, cela semble trop beau pour être vrai.
La seule différence majeure entre 2022 et 2020 est que des millions de personnes ont reçu de nombreuses injections de thérapie génique expérimentale. Cela fait des injections de Covid-19 un dénominateur commun.
Il est donc juste de conclure que la raison pour laquelle 2022 a été une année record de décès à travers l'Europe jusqu'à présent est que les injections de Covid-19 tuent des gens.
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