23 novembre 2022
Un article récent de l’Associated Press (AP) explique qu’au Zimbabwe, personne ne porte de masque, personne n’est vacciné, et la vie continue normalement. Les gens se pressent sur les marchés locaux, les uns à côté des autres, et, mine de rien, personne ne tombe malade.
« Le Covid-19 a disparu », a déclaré un homme du nom de Nyasha Ndou, qui a plaisanté avec les journalistes en disant qu’il gardait un masque dans son pantalon « pour protéger ma poche ».
« Quand avez-vous entendu parler pour la dernière fois de quelqu’un qui est mort du Covid-19 ? » a-t-il encore demandé, ajoutant que la seule raison pour laquelle il garde un masque sur lui est d’éviter les confrontations potentielles avec la police locale corrompue.
Au cours de la semaine dernière, le Zimbabwe a enregistré seulement 33 nouveaux « cas » du virus chinois. Et la plupart d’entre eux sont plus que probablement faux, étant donné que les tests PCR ne sont pas toujours fiables.
Le fait qu’il n’y ait pas eu de décès de covid, même selon les normes de déclaration corrompues du gouvernement, le confirme. À toutes fins utiles, la grippe de Fauci a disparu du Zimbabwe, même sans les injections.
L’AP admet que la quasi-totalité de l’Afrique ne connaît pas la vague de décès promise par les menteurs de la pandémie au début de toute cette affaire.
En fait, c’est exactement le contraire qui s’est produit. Si les médias et le gouvernement n’avaient pas poussé le récit du virus chinois, la présence d’un prétendu nouveau virus ne serait probablement jamais apparue du tout.
Le lavage de cerveau et l’alarmisme sont les seules raisons pour lesquelles le virus existe, semble-t-il. S’il n’y avait pas eu d’Internet, de télévision ou de gouvernement pour propager ce mensonge, la vie serait plus que probablement la même qu’avant 2020.
« L’Afrique ne dispose pas des vaccins et des ressources nécessaires pour lutter contre le Covid-19 comme c’est le cas en Europe et aux États-Unis, mais d’une manière ou d’une autre, elle semble s’en sortir mieux », a déclaré Wafaa El-Sadr, titulaire de la chaire de santé mondiale à l’université Columbia, à propos d’un autre facteur « étrange » de l’équation africaine.
Pour des personnes comme Wafaa El-Sadr, il n’est pas logique que les pays où les vaccins ne sont pas utilisés s’en sortent mieux que ceux où les vaccins sont largement utilisés. L’AP a qualifié cette évolution de « mystérieuse », mais nos lecteurs sont mieux informés.
Moins de 6 % des personnes en Afrique sont vaccinées. Et pourtant, depuis des mois, l’OMS décrit l’Afrique comme « l’une des régions les moins touchées du monde » dans ses rapports hebdomadaires sur les pandémies.
Les « experts » se démènent pour trouver une explication – et ils s’y prennent mal, d’ailleurs. Pour toute personne dotée d’un cerveau, il est évident qu’il existe une corrélation directe entre le fait de se faire injecter et le fait de tomber malade ou de mourir.
« Nous nous sommes lancés dans ce projet en pensant que nous verrions un taux plus élevé de résultats négatifs chez les personnes ayant des antécédents d’infections paludéennes, car c’est ce qui a été observé chez les patients co-infectés par le paludisme et Ebola », ajoute Jane Achan, conseillère principale en recherche au Malaria Consortium.
« Nous avons été en fait assez surpris de constater le contraire – que le paludisme pouvait avoir un effet protecteur. »
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Dans les pays où sévit le paludisme on prend de l'hydroxycloroquine!!!!
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