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mercredi 8 juin 2022

Un chirurgien cardio-vasculaire japonais : Arrêtez dès maintenant les rappels de vaccins en raison des risques graves qu’ils présentent


Une seringue et une fiole sur laquelle on peut lire : « Vaccin, COVID-19 ».

 8 juin 2022

Tout d’abord, le chirurgien cardiovasculaire rappelle à tous la nature décroissante de l’efficacité des vaccins. Au huitième mois, après l’administration de deux doses du vaccin COVID-19, l’immunité « était inférieure à celle des personnes non vaccinées ».


L’Agence européenne des médicaments (EMA) suggère d’éviter les rappels fréquents, car ils pourraient « avoir un effet négatif sur la réponse immunitaire et ne sont pas forcément réalisables. » Kenji Yamamoto a écrit un article de commentaire dans le Virology Journal, une revue en libre accès et évaluée par des pairs. Il est chirurgien au département de chirurgie cardiovasculaire de l’Okamura Memorial Hospital, au centre des varices de Shizouka, sur la côte centrale du Pacifique de Honshu et près du mont Fuji. Dans une lettre à la rédaction, le Dr Yamamoto déclare : « Par mesure de sécurité, il convient d’interrompre les vaccinations de rappel et de prendre plusieurs autres mesures pour les patients vulnérables. » Ce chirurgien cardiovasculaire respecté reconnaît que les médias censurent les blessures liées au vaccin COVID-19, y compris les décès.

TrialSite propose une décomposition de l’article du Dr Yamamoto pour une compréhension plus populaire.

Pourquoi la diminution de l’immunité ?

Serait-elle due à « la N1-méthylpseudouridine, la protéine de pointe, les nanoparticules lipidiques, le renforcement dépendant des anticorps et le stimulus antigénique original ? »

Quels sont les problèmes de sécurité observés au Japon ?

Le Dr Yamamoto signale des problèmes de présentation du zona en association avec le COVID-19, parfois appelé « syndrome d’immunodéficience acquise par vaccination ». Le chirurgien cardiovasculaire rapporte que depuis la fin de l’année 2021, les équipes de l’Okamura Memorial Hospital ont rencontré non seulement de nombreux cas de COVID-19 mais aussi des infections de zona « difficiles à contrôler ». Il partage que dans certains cas plus extrêmes dus à la vaccination, de graves inflammations sont survenues après une opération à cœur ouvert, par exemple, et certains décès ont même été enregistrés.

Compte tenu des risques d’infection, le Dr Yamamoto a observé que « divers algorithmes médicaux d’évaluation du pronostic postopératoire devront peut-être être révisés à l’avenir ».

La grosse surprise du Japon

En outre, le chirurgien respecté a partagé ce que beaucoup savent être la réalité : « Les médias ont jusqu’à présent dissimulé les effets indésirables de l’administration des vaccins, tels que le thrombocytopénie immuno-thrombotique induite par le vaccin (VITT), en raison d’une propagande biaisée. » Alors que la cause est souvent reconnue – souvent par vagues explique le chirurgien, ils ne réagissent pas en partie à cause de la partialité.

Il note que « quatre cas d’anticorps HIT positifs confirmés à l’institut depuis le début de la vaccination » ont été « des cas mortels dus au VITT » secondaire au vaccin.

Quelles sont les mesures de sécurité à prendre ?

Pour les patients à risque et vulnérables qui passent par le département de chirurgie cardiovasculaire, le médecin japonais explique : « Par mesure de sécurité, la vaccination de rappel doit être interrompue. »

En plus de documenter les dates de vaccination dans le dossier médical électronique, le médecin suggère « plusieurs mesures pratiques pour prévenir une baisse de l’immunité », notamment :

  • Limiter l’utilisation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (y compris l’acétaminophène) pour maintenir la température corporelle profonde.
  • Utilisation appropriée des antibiotiques.
  • L’arrêt du tabac.
  • Le contrôle du stress.
  • La limitation de l’utilisation d’émulsions lipidiques, y compris le propofol, qui pourrait déclencher une immunosuppression périopératoire.

Au moins, lorsqu’il s’agit de patients gravement malades, les vaccins COVID-19 constituent « un facteur de risque majeur », ce qui va à l’encontre des consignes de la médecine organisée aux États-Unis.

Chercheur principal/Investigateur

Kenji Yamamoto, chirurgien cardiovasculaire au département de chirurgie cardiovasculaire de l’hôpital Okamura Memorial, centre des varices.

Source : TrialSiteNews – Traduit par Anguille sous roche

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