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mardi 20 avril 2021

Une étude de Stanford confirme l’inutilité médicale du port du masque…mais les gouvernements ne sont pas prêts de l’abandonner


Le masque est nuisible pour la santé et ne sert à rien contre le COVID 19. C'est un professeur de Stanford qui le confirme en passant en revue toutes les études scientifiques sur le sujet. 


Mais alors pourquoi les gouvernements en maintiennent-ils l'usage obligatoire sous peine d'amende? Effet placebo? Influence chinoise? Outil de contrôle social? 
 
 

Rappelons-nous, c’était il y a plus d’un an, le ministre en charge de la Santé, Olivier Véran, proclamait l’inutilité du masque pour se protéger du COVID 19. Puis il expliqua qu’il serait réservé au soignants; puis il fut recommandé, avant de devenir  obligatoire sous peine d’amende.  Plus significatif encore, l’Organisation Mondiale de la Santé, avait d’abord encouragé le port du masque puis s’était rétractée, avant de rétracter sa rétractation. 


Une étude de Stanford juge le masque nuisible et inutile

Face aux palinodies des politiques, il est utile de relire la remarquable synthèse effectuée par un chercheur de Stanford, Baruch Vainshelboim, dans une revue en ligne éditée par le grand éditeur scientifique Elsevier. Cet article est bref, présente en notes l’état de la question – des dizaines d’études ont été menées sur le port du masque en général et dans le contexte du COVID en particulier. Le lecteur pourra donc se documenter avec le degré de détail qu’il souhaite. 

Après avoir souligné le paradoxe consistant à recommander un accessoire qui crée des difficultés respiratoires pour lutter contre une maladie qui s’attaque au système respiratoire, Baruch Vanshelboim synthétise l’état des connaissances: 

  • même quand il est à usage médical, le masque a des pores mille fois plus larges que la taille du virus et ne l’empêche pas de passer. 
  • l’auteur constate le caractère peu concluant des études tendant à prouver que le port du masque a empêché des contaminations en milieu clos. Avec le recul d’un an de pandémie, il estime plutôt que l’on a constaté dans ce genre d’études la non-transmission du virus par les personnes infectées asymptomatiques.   
  • en revanche, rappelle l’auteur, les problèmes de respiration, les maux de tête, les insuffisances cardiaques, les infections, les troubles psychologiques et les dérèglements des relations sociales induits par le port du masque sont documentés par une solide littérature scientifique.

Pourquoi les gouvernements et les bureaucraties s'obstinent-ils à recommander un accessoire dangereux pour la santé?

Mais alors, pourquoi les gouvernements et les grandes technocraties nationales et internationales s’obstinent-ils à imposer le port du masque? Trois motifs sautent aux yeux: 

  1. Désireux de masquer le mélange d’incompétence et de certitudes a priori qui guide leur action, les gouvernements s’accrochent à une recommandation qui relève plus de l’effet placebo que de la médecine et apaise les populations, au moins provisoirement, en laissant croire qu’il y a une politique sanitaire. 
  2. Devenus incapables de penser par eux-mêmes, les gouvernants occidentaux copient superficiellement un modèle démocratique asiatique dont ils constatent mais sans en comprendre la raison  qu’il a été plus efficace dans la lutte contre l’épidémie. Surtout, ils cèdent aux pressions de la Chine, qui a vu dans le port du masque une aubaine pour exporter 200 milliards de masques dans le monde entier.
  3. Le masque est un outil de contrôle social efficace. Direct: il permet de maintenir l’ordre sanitaire; et indirect, puisque le gouvernement peut être sûr qu’il se trouvera toujours des personnes apeurées ou sadiques pour rappeler à l’ordre ceux qui voudraient se dérober à l’injonction gouvernementale.  

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