En Saxe, un centre spécial sera ouvert pour y placer des personnes ayant violé plusieurs fois les règles imposées pour endiguer l’épidémie, notamment la quarantaine, relate Bild.
Il sera créé sur la base d’un centre d'accueil primaire des réfugiés construit à Dresde.
Les autorités du Land de Saxe, en Allemagne, envisagent de créer à Dresde un centre de «résidence forcée», relate Bild le 15 janvier. Selon le média, il s'agit d'une «prison» pour les contrevenants récidivistes à la quarantaine et ceux qui refusent de respecter les mesures de sécurité. Cette information a été confirmée par les autorités locales, comme l’a précisé Bild.
D’après le média, il est prévu à cette fin de réaménager un centre d'accueil primaire des réfugiés à Dresde, construit en 2017. Les conditions et le coût de l'hébergement dans l'établissement ne sont pas encore connus. La zone est déjà clôturée et sera surveillée par la police.
Le ministère allemand de la Protection sociale, cité par la source, a confirmé ces plans de réaménagement du centre de réfugiés: «Actuellement, la réhabilitation des logements est en cours».
L’établissement a précisé que les contrevenants seront envoyés au centre de détention après une décision de la justice. Tout d'abord, un avertissement sera envoyé aux citoyens qui enfreignent de nouveau les restrictions imposées, après cela, une amende sera infligée, puis les contrevenants obstinés seront envoyés dans cette «prison».
Le média indique que jusqu’à présent, en Saxe, de tels cas n’ont pas été enregistrés, mais les autorités veulent avoir un coup d’avance, afin de protéger les résidents contre le «comportement ingérable» des contrevenants aux règles imposées.
Un durcissement des mesures restrictives
Le 5 janvier, Angela Merkel a annoncé la prolongation et le durcissement, jusqu'à la fin du mois, des mesures de confinement en Allemagne pour lutter contre la propagation du Covid-19. Dans le même temps, elle a dit espérer que la vaccination permettrait à terme de revenir à la normale.
Source: Sputnik
via fawkes-news
Sur le fronton de l'entrée : "VAKCEIN MACHT FREI"
RépondreSupprimer