La grande journée du 5 décembre a encore été marquée par d’intolérables violences policières.
La plus spectaculaire apparaissant dans une vidéo où l’on voit de membres des forces de l’ordre s’acharner sur un homme à terre.
Soutenus par le pouvoir, et protégés par la magistrature, des policiers dévoyés, s’en donnent à cœur joie depuis un an.
Sous le regard des caméras et des témoins de la presse étrangère effarés, sans que cela émeuve beaucoup ceux qui sont chargés de notre protection face à ces débordements, c’est-à-dire les magistrats.
Alors bien évidemment on ne se fait aucune illusion sur les ordres donnés par le ministère de l’intérieur et le préfet de police dont Mélenchon dit à juste titre qu’il a des méthodes de psychopathe, mais on va encore et encore rappeler que ces violences excessives sont autant d’infractions pénales et qu’il appartient à la justice de les sanctionner.
La responsabilité des parquets est dans ce domaine écrasante.
Comme d’ailleurs celle des organisations syndicales de magistrats restées quasiment muettes depuis le début.
Alors on nous dit que le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire à la suite du scandale provoqué par la vidéo des deux nervis s’acharnant sur leur victime.
Compte tenu justement du scandale, il ne pouvait en aucun cas faire autrement.
On rappellera cependant que l’enquête préliminaire n’est pas contradictoire et qu’elle est secrète. Jusqu’à présent lorsque les parquets ont été contraints et forcés de prendre de telles initiatives cela a débouché sur des classements sans suite massifs et invraisemblables.
Ce n’est pas avec cette initiative que le parquet de Paris dirigé par un magistrat choisi personnellement par Macron va redorer son blason.
Par ailleurs une parlementaire LREM a été fort complaisamment invitée par Médiapart à venir y déverser sa propagande.
Laetitia Avia osé proférer la phrase suivante : « Apportez-moi une violence policière constatée et je serais la première à la condamner ».
C’était simplement une ignominie, mais cela n’a pas provoqué de la part de Moustache, patelin et énamouré la réaction que méritait ce crachat à la face des estropiés dont tout le monde a vu les photos et les vidéos.
Mais en fait il y a eu pire dans cette séquence.
L’attitude de cette dirigeante du Syndicat de la Magistrature venant benoîtement dire qu’elle avait peur d’aller à la manifestation du 5 décembre à cause des violences policières.
Mais Madame qu’a fait votre organisation syndicale pour les dénoncer depuis un an ?
Vous aviez piscine ?
Qu’on fait vos collègues pour les poursuivre ?
C’est cette défaillance totale de la Justice dans le contrôle des violences policières qui les a permises. Comment pouvez-vous accepter que le principal outil de répression dont se sert Macron contre le mouvement social soit celui du le corps auquel vous appartenez ?
Duplicité de ces gens, c’est bien le mot.
Compte tenu justement du scandale, il ne pouvait en aucun cas faire autrement.
On rappellera cependant que l’enquête préliminaire n’est pas contradictoire et qu’elle est secrète. Jusqu’à présent lorsque les parquets ont été contraints et forcés de prendre de telles initiatives cela a débouché sur des classements sans suite massifs et invraisemblables.
Ce n’est pas avec cette initiative que le parquet de Paris dirigé par un magistrat choisi personnellement par Macron va redorer son blason.
Par ailleurs une parlementaire LREM a été fort complaisamment invitée par Médiapart à venir y déverser sa propagande.
Laetitia Avia osé proférer la phrase suivante : « Apportez-moi une violence policière constatée et je serais la première à la condamner ».
C’était simplement une ignominie, mais cela n’a pas provoqué de la part de Moustache, patelin et énamouré la réaction que méritait ce crachat à la face des estropiés dont tout le monde a vu les photos et les vidéos.
Mais en fait il y a eu pire dans cette séquence.
L’attitude de cette dirigeante du Syndicat de la Magistrature venant benoîtement dire qu’elle avait peur d’aller à la manifestation du 5 décembre à cause des violences policières.
Mais Madame qu’a fait votre organisation syndicale pour les dénoncer depuis un an ?
Vous aviez piscine ?
Qu’on fait vos collègues pour les poursuivre ?
C’est cette défaillance totale de la Justice dans le contrôle des violences policières qui les a permises. Comment pouvez-vous accepter que le principal outil de répression dont se sert Macron contre le mouvement social soit celui du le corps auquel vous appartenez ?
Duplicité de ces gens, c’est bien le mot.
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