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mardi 17 décembre 2019

Macron mène une guerre à mort à son peuple pour lui imposer l’invasion

 
 
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Publié le 16 décembre 2019 - par Jacques Guillemain -

Au plus haut niveau politique, chacun est parfaitement conscient de la situation explosive des banlieues et du  risque de guerre civile qui pèse sur la nation.

Pourtant, l’inaction est de mise.

Si l’État agit contre le terrorisme, il continue d’alimenter sa source principale : l’immigration musulmane de masse.
Le combat est donc perdu d’avance.
Entre un ex-président de la République qui évoque une partition du pays et un ex-ministre de l’Intérieur qui nous annonce un face-à-face entre communautés d’ici cinq ans, le message est limpide  et la menace parfaitement  identifiée :  une immigration musulmane de masse qui refuse de s’intégrer et  fracture le pays.
Tout citoyen lucide ne peut que s’inquiéter de l’avenir de notre France millénaire.
Car c’est un choc civilisationnel qui s’annonce.

Résultat de recherche d'images pour "guerre civile faut-il craindre l'embrasement"

Malheureusement, force est de constater que, faute de courage politique au sommet de l’État, c’est la soumission qui prévaut.
Quant à la presse et les élites qui font l’opinion, elles trahissent le peuple en entretenant une omerta coupable.
Lavage de cerveau, manipulations, désinformation, mensonges, sont leur spécialité.
Souci de la vérité et éthique professionnelle sont aux abonnés absents.
Peur des émeutes, peur d’un embrasement généralisé avec  affrontements mortels, le fait est que le pouvoir joue la carte du renoncement  permanent, en espérant éviter le pire.
Comme si la politique de l’autruche était la meilleure solution pour relever un défi majeur !
Les patriotes assistent, impuissants, à leur effacement culturel, à un basculement de civilisation au profit d’un islam conquérant qui n’a jamais caché son objectif vieux de 14 siècles, qui est  d’établir un grand califat mondial.
Nombreux sont ceux qui tirent la sonnette d’alarme, en bravant la dictature du politiquement correct, comme Zemmour, Rioufol, Obertone et bien d’autres, mais qui les écoute ?
Ils sont traînés en justice pour incitation à la haine, diabolisés, insultés, alors que ce sont les islamistes qui diffusent leur discours de haine chez la jeunesse des banlieues.
La France se « salafise » à grande vitesse avec la complicité du pouvoir et des élites.
Ce qui s’est passé dans nos banlieues, où les Français de souche ont été peu à peu chassés de chez eux, va s’opérer au niveau national dans les vingt années qui viennent, avec un basculement démographique que rien n’arrêtera, si Macron maintient le cap de sa politique immigrationniste et persiste dans ses délires mondialistes.
Dans un article remarquable, Antonin Campana décortique la société française de 2019 et explique la fracture béante entre trois classes : les élites urbaines, le peuple autochtone et les populations allochtones des banlieues.
Bien au-delà de la fracture identitaire, il y a une cassure irréversible entre la France des villes qui vote Macron, et la France populaire de souche qui subit de plein fouet le choc des cultures. Une cassure qui n’augure rien de bon.

http://www.autochtonisme.com/2019/08/guerre-civile-en-france-une-analyse-des-forces-en-presence.html

Les élites mondialistes sont pour l’immigration, mais ce sont les Gilets jaunes qui en subissent les méfaits.
Avant de sauver le climat et le tiers-monde, le peuple français veut sauver son patrimoine culturel et son identité.
Pendant que les uns ne jurent que par Greta et  le multiculturalisme, les autres entendent défendre leurs racines judéo-chrétiennes.
Pour l’élite urbaine, l’immigration est toujours une chance pour la France et le véritable danger est « le suprémacisme blanc » qui menace le « vivre-ensemble ».
Pour le peuple de la périphérie, c’est  l’immigration qui est une menace existentielle.
Pour ces élites, les peuples, les cultures, les religions peuvent se mélanger, pour la simple raison que les nations sont appelées à disparaître au profit du grand village mondial.
Il n’y a plus de races, mais uniquement l’espèce humaine.
Le Blanc est un Noir qui s’ignore et réciproquement.
La culture française n’existe pas et n’est qu’un mélange d’apports extérieurs.
Pour « ceux qui savent », les adversaires du mondialisme et de la globalisation sont des attardés, d’affreux populistes, des lépreux incultes, qui ne comprennent rien à la marche du monde.
Macron les a assez  insultés !
« Fainéants, illettrés, alcooliques, moins que rien, auteurs de crimes contre l’humanité »… Aucun chef d’État n’a dénigré son peuple comme l’a fait Macron.
Et les élites applaudissent, persuadées de détenir la vérité.
Pour elles, le peuple n’a rien compris :
Patriotisme, famille traditionnelle, héritage culturel, Histoire de France, folklore et traditions ne sont que des valeurs ringardes pour xénophobes et attardés mentaux, pour ne pas dire l’expression d’un racisme des plus immondes.

Face à ces deux classes qui ne se parlent plus et se méprisent réciproquement, il y a les immigrés.
Une immigration encouragée par les élites mondialisées, qui est protégée par la dictature du politiquement correct et  défendue par une justice à deux vitesses, sévère à l’encontre des patriotes identitaires et clémente à l’égard des délinquants issus de la diversité.
Le problème est que cette immigration toujours plus nombreuse et coûteuse a ruiné le pays et se finance aujourd’hui sur le dos des Gilets jaunes, en désossant notre modèle social.
Le « label diversité » et  la discrimination positive font que les natifs sont les derniers servis au guichet social et au bureau emploi.
Le Grand Remplacement, on le constate dans la rue, mais aussi dans les administrations et les services publics.
En 2010, selon l’Ined, 20 % des policiers étaient  issus de l’immigration.
La proportion de musulmans dans l’armée tourne autour de 15 %.
Beaucoup de ces soldats ont servi loyalement en Afghanistan et au Sahel, mais certains d’entre eux ont refusé d’aller combattre d’autres musulmans en Afghanistan.
Par ailleurs, des rébellions de jeunes musulmans ont eu lieu à bord de navires de la Marine nationale.
Ce prétexte du musulman qui ne combat pas d’autres musulmans est d’autant plus hypocrite que les sunnites et les chiites se combattent depuis 14 siècles !
Mais plus c’est gros, plus ça passe…

Pour Antonin Campana, la classe dominante urbaine mène une guerre contre la France périphérique autochtone pour imposer sa vision du monde et la société multiculturelle de demain.
Les élites s’appuient sur les minorités allochtones pour combattre le peuple autochtone, qu’elles sacrifient sur l’autel du mondialisme.
Ce n’est pas faux.
On notera que le combat contre le racisme est toujours à sens unique.
On dénonce l’islamophobie à longueur de temps, mais on se tait sur les multiples actes de christianophobie et sur les profanations quotidiennes de lieux de culte chrétiens.
Trois églises ou cimetières chrétiens sont saccagés chaque jour dans le silence le plus total.
Mais un simple graffiti sur une mosquée et c’est la mobilisation générale contre l’islamophobie. Difficile de trouver élites et journalistes plus serviles, hypocrites et grotesques.
Bref, pour nos élites, l’homme blanc est coupable de tous les maux et doit payer.
Elles encouragent le racisme anti-Blancs en pleine expansion.
Les enfants de ces élites vivront dans la haine, mais elles n’en sont même pas conscientes !
C’est dire le niveau  intellectuel  de ces gens « qui savent » !!
Dès lors que les élites mondialisées pensent que l’islam est une religion de paix et d’amour et que le mâle blanc est un oppresseur sexiste, raciste et esclavagiste, le peuple de la France profonde se retrouve bien seul pour défendre son identité et son héritage culturel.
Mais cette classe dirigeante qui méprise tant le peuple de France ne réalise toujours pas qu’elle se trompe et que son erreur de jugement lui sera fatale.
Son refus d’admettre que l’intégration est un échec et que l’islam conquérant n’acceptera jamais la soumission à un pouvoir autre que celui de la loi coranique va se traduire par un désastre.
Perchée sur son nuage, à des années lumière du quotidien vécu par les Gilets jaunes, la classe dominante se croit protégée éternellement dans les beaux quartiers, comme la noblesse de l’Ancien Régime.
Mais le réveil sera brutal.
« La guerre civile sera sanglante » dit Zemmour.
Quelle forme prendra le retour au réel ? s’interroge Antonin Campana.
Tôt ou tard, le discours bien-pensant volera en éclats et la violence venue des banlieues révoltées s’imposera.
Les élites paieront au prix fort leur aveuglement.
« Ce retour au réel sentira le sang et les larmes ».
C’est l’ensemble du peuple français qui paiera l’addition  pour les trahisons de ses élites, qui ont fait le choix ahurissant de persécuter les patriotes au lieu de combattre l’islam politique conquérant. Gérard Collomb l’a annoncé :
Le vivre-ensemble paradisiaque va vite se transformer en enfer.
Et les élites devront payer, elles aussi, le juste prix de leurs choix politiques hallucinants.
Comme le dit  Campana : « Enjoy » !

Jacques Guillemain

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