Sonia, qui a permis de repérer le terroriste après le 13 Novembre, a dû changer d’identité pour se protéger. Mais cette protection impose des contraintes invivables pour sa famille.
"Sonia n'a plus de famille, plus d'amis, plus de proches. Finalement, elle n'est personne" : la femme qui a permis d'arrêter Abaaoud après le #13novembre2015 vit sous une nouvelle identité, mais avec "des problèmes administratifs kafkaïens". - @le_Parisien https://t.co/0uyvgTX15g— Nicolas Berrod (@nicolasberrod) 13 novembre 2019
Quatre ans après les attentats meurtriers de Paris et Saint-Denis, ce mercredi est marqué par les nombreux hommages rendus aux victimes.
Dépôts de gerbes, minutes de silence, discours et témoignages émus; les commémorations des attentats du 13 novembre 2015, qui ont fait 130 morts et plus de 350 blessés à Paris et dans sa banlieue nord, ont commencé mercredi au Stade de France, en présence de plusieurs ministres.
Le #13Novembre2015, le terrorisme islamiste détruisait la vie de nombreux Français.— Tancrède ن (@Tancrede_Crptrs) 13 novembre 2019
Pour eux, nous ne céderons jamais face aux islamistes qui :
• veulent imposer la charia
• scandent Allah Akbar dans la rue
• tentent d'interpréter des titres sans équivoque dans le #Bataclan pic.twitter.com/k3R17GaQWJ
Ils ont accru les tensions qui existaient déjà entre les musulmans français et la société française.
La mort du leader de Daech, Abou Bakr Al-Baghdadi, fin octobre n’a pas suscité de grands débordements de joie, pas même de soulagement, en France – pays européen qui a pourtant le plus souffert de ses appels à la destruction.
La raison en est simple : les crimes de Daech et la peur qu’ils ont instillé dans la psyché nationale sont à présent tellement enracinés qu’ils ont irrémédiablement changé le quotidien de tous les Français.
(…) Courrier International
Ce sera, à n’en pas douter, le plus grand procès de ces prochaines années.
Celui des attentats du 13 Novembre, qui ont fait 130 morts à Paris et Saint-Denis, et plus de 400 blessés, en 2015.
La pire attaque commise sur le sol français depuis la Seconde Guerre mondiale et qui avait fait dire au président François Hollande: la France a subi «un acte de guerre commis par une armée terroriste» .
(…) Le Figaro
130 personnes ont trouvé la mort dans les attaques du 13 novembre à Paris.
Brutalement arrachées à ceux qui les côtoyaient chaque jour, elles font aujourd’hui partie de notre univers, à tous.
Nous refusant à les réduire à un chiffre, 130, et à un statut, celui de « victimes », nous avons voulu leur donner un visage, raconter qui elles étaient, leur rendre leur vie, à travers ceux qui les connaissaient et les aimaient.
Les installer, aussi, dans notre souvenir.
Les journalistes du Monde se sont rassemblés pour écrire ces portraits.
Pas tous. Car certaines familles n’ont pas souhaité dans l’immédiat participer au Mémorial, ou qu’on cite le nom de leur proche disparu.
En plein assaut...— Arnaud Focraud (@AFocraud) 18 novembre 2015
l'une des dernières victimes du Bataclan a été identifiée.
Lola Ouzounian, 17 ans.#RIP pic.twitter.com/79dAOIg59z
Suicide d’un rescapé du Bataclan : Guillaume est devenu officiellement la 131e victime des attentats du 13 novembre
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.