Analyse du journal autrichien Wochenblick à l'encontre du politiquement correct qui fait loi dans l'affaire du massacre qui s'est déroulé à Limburg, en Allemagne.
Au lieu d'informer la population de manière exhaustive, les autorités allemandes ont des préoccupations totalement différentes après le meurtre à coups de hache.
Le public a été menacé de plainte - personne ne doit connaître les antécédents de l'auteur de Limburg. Même dans l'influent journal Bild, la mention de "l'origine migratoire" a été supprimée.
Sous la pression du gouvernement ?
Sur Twitter, la police s'est montrée extrêmement réticente à admettre que l'agresseur de Limburg, qui a d'abord renversé sa femme avec une voiture en plein jour et qui l'a ensuite démembrée à coups de hache, "ne portait pas un nom allemand".
Ceux qui ont vu la vidéo sur Internet, dévoilant une brutalité qui n'a plus sa place en Europe occidentale depuis très longtemps - une séquence qui émeut toute personne occidentale éduquée - se doute très vite de l'origine : Encore une fois, ce n'était pas un Allemand.
Au cours de nos recherches, nous n'avons trouvé qu'un seul journal allemand qui a osé poser la question de l'origine migratoire.
Lorsque cet élément a été clarifié, le Bild, a mentionné cette information - mais il l'a retirée après un très court laps de temps.
Dans l'Allemagne de Merkel de 2019, le fil barbelé de la RDA est toujours présent dans la tête.
Une enquête récente a confirmé que 75% des Allemands pensent que la liberté d'expression est massivement menacée.
Apparemment, certains faits ne peuvent ni être exposés ni être publiés.
L'étrange réticence à mentionner le nom, le contexte et l'origine d'un criminel ne s'étend toutefois jamais aux rares cas où l'auteur est un véritable autochtone.
En très peu de temps, vous savez tout ce qu'il faut savoir sur ses amis de jeunesse, la pointure de ses chaussures et le fait qu'un jour il est passé devant un stand de l'AfD avec un sandwich au jambon dans la main.
La liberté de la presse existe-t-elle toujours en Allemagne ?
Dans une société démocratique et libre, la liberté de la presse est reconnue.
Chaque journaliste et professionnel des médias décide par lui-même ce qu'il publie et comment il le fait.
Bien entendu, des lois telles que le droit à la personnalité doivent être respectées, mais il existe des exceptions.
Dans plusieurs cas, l'intérêt public peut être plus important que la protection de l'anonymat du délinquant.
Il n'existe pas encore de loi interdisant la mention de l'origine ou des antécédents migratoires des délinquants, en particulier des criminels violents.
Mais à présent en Allemagne, les autorités menacent ouvertement tous les citoyens qui veulent publier des enregistrements de la scène du crime.
Dans le cas du meurtrier à la hache de Limbourg, on menace de porter plainte pour représentation de la violence.
C’est un peu exagéré pour des gens qui veulent informer leurs semblables sur une situation qui n’existe que depuis quelques années en Europe occidentale.
Tout citoyen qui tient un blog ou possède une chaîne YouTube a tous les droits et devoirs d'un journaliste.
Dans une société libre, il n'y a pas d'organismes d'État qui délivrent des licences aux journalistes qui leur conviennent.
Ce qui importe ici, c'est l'indépendance et la liberté de la couverture médiatique.
Dès que l'un de ces principes est violé, compromis ou même bloqué, la question se pose de savoir dans quelle mesure cet État peut encore être considéré comme démocratique et libre.
La notion de peuple
Ces dernières années en particulier, pour la gauche politique il était très important de criminaliser le terme "peuple" lorsqu'il était utilisé pour désigner un groupe homogène de personnes d'un même groupe ethnique.
D'un autre côté, on voudrait réinterpréter cette notion.
Le peuple serait défini par n'importe quel individu qui vit à l'intérieur des frontières nationales, peu importe de quel pays et de quel groupe ethnique il provient.
La résistance à cette réinterprétation, qui s'impose dans la société avec beaucoup de pression et de coercition, est, au mieux, matérialisée par la droite politique.
Les partis du centre se taisent ou approuvent ouvertement.
Le fait de ne pas nommer l'origine réelle des délinquants violents fait partie de ce jeu.
À l’heure actuelle, toutes les statistiques de l’Europe occidentale indiquent clairement que les migrants originaires de régions spécifiques du monde ont une affinité beaucoup plus grande avec les crimes violents que les individus issus de la population de souche.
Le fait d'occulter l'origine ou de qualifier les migrants délinquants d’Allemands fait partie de la stratégie visant à brouiller les frontières entre les autochtones et les populations immigrées.
Le Wochenblick ne se soumet pas à la censure ni au politiquement correct.
C'est vous, en tant que lecteurs, à travers votre soutien, qui décidez combien de temps cela restera encore possible.
(Traduction libre Christian Hofer pour lesobservateurs.ch )
Wochenblick.at
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Au lieu d'informer la population de manière exhaustive, les autorités allemandes ont des préoccupations totalement différentes après le meurtre à coups de hache.
Le public a été menacé de plainte - personne ne doit connaître les antécédents de l'auteur de Limburg. Même dans l'influent journal Bild, la mention de "l'origine migratoire" a été supprimée.
Sous la pression du gouvernement ?
Sur Twitter, la police s'est montrée extrêmement réticente à admettre que l'agresseur de Limburg, qui a d'abord renversé sa femme avec une voiture en plein jour et qui l'a ensuite démembrée à coups de hache, "ne portait pas un nom allemand".
Ceux qui ont vu la vidéo sur Internet, dévoilant une brutalité qui n'a plus sa place en Europe occidentale depuis très longtemps - une séquence qui émeut toute personne occidentale éduquée - se doute très vite de l'origine : Encore une fois, ce n'était pas un Allemand.
Au cours de nos recherches, nous n'avons trouvé qu'un seul journal allemand qui a osé poser la question de l'origine migratoire.
Lorsque cet élément a été clarifié, le Bild, a mentionné cette information - mais il l'a retirée après un très court laps de temps.
Dans l'Allemagne de Merkel de 2019, le fil barbelé de la RDA est toujours présent dans la tête.
Une enquête récente a confirmé que 75% des Allemands pensent que la liberté d'expression est massivement menacée.
Apparemment, certains faits ne peuvent ni être exposés ni être publiés.
L'étrange réticence à mentionner le nom, le contexte et l'origine d'un criminel ne s'étend toutefois jamais aux rares cas où l'auteur est un véritable autochtone.
En très peu de temps, vous savez tout ce qu'il faut savoir sur ses amis de jeunesse, la pointure de ses chaussures et le fait qu'un jour il est passé devant un stand de l'AfD avec un sandwich au jambon dans la main.
La liberté de la presse existe-t-elle toujours en Allemagne ?
Dans une société démocratique et libre, la liberté de la presse est reconnue.
Chaque journaliste et professionnel des médias décide par lui-même ce qu'il publie et comment il le fait.
Bien entendu, des lois telles que le droit à la personnalité doivent être respectées, mais il existe des exceptions.
Dans plusieurs cas, l'intérêt public peut être plus important que la protection de l'anonymat du délinquant.
Il n'existe pas encore de loi interdisant la mention de l'origine ou des antécédents migratoires des délinquants, en particulier des criminels violents.
Mais à présent en Allemagne, les autorités menacent ouvertement tous les citoyens qui veulent publier des enregistrements de la scène du crime.
Dans le cas du meurtrier à la hache de Limbourg, on menace de porter plainte pour représentation de la violence.
C’est un peu exagéré pour des gens qui veulent informer leurs semblables sur une situation qui n’existe que depuis quelques années en Europe occidentale.
Tout citoyen qui tient un blog ou possède une chaîne YouTube a tous les droits et devoirs d'un journaliste.
Dans une société libre, il n'y a pas d'organismes d'État qui délivrent des licences aux journalistes qui leur conviennent.
Ce qui importe ici, c'est l'indépendance et la liberté de la couverture médiatique.
Dès que l'un de ces principes est violé, compromis ou même bloqué, la question se pose de savoir dans quelle mesure cet État peut encore être considéré comme démocratique et libre.
La notion de peuple
Ces dernières années en particulier, pour la gauche politique il était très important de criminaliser le terme "peuple" lorsqu'il était utilisé pour désigner un groupe homogène de personnes d'un même groupe ethnique.
D'un autre côté, on voudrait réinterpréter cette notion.
Le peuple serait défini par n'importe quel individu qui vit à l'intérieur des frontières nationales, peu importe de quel pays et de quel groupe ethnique il provient.
La résistance à cette réinterprétation, qui s'impose dans la société avec beaucoup de pression et de coercition, est, au mieux, matérialisée par la droite politique.
Les partis du centre se taisent ou approuvent ouvertement.
Le fait de ne pas nommer l'origine réelle des délinquants violents fait partie de ce jeu.
À l’heure actuelle, toutes les statistiques de l’Europe occidentale indiquent clairement que les migrants originaires de régions spécifiques du monde ont une affinité beaucoup plus grande avec les crimes violents que les individus issus de la population de souche.
Le fait d'occulter l'origine ou de qualifier les migrants délinquants d’Allemands fait partie de la stratégie visant à brouiller les frontières entre les autochtones et les populations immigrées.
Le Wochenblick ne se soumet pas à la censure ni au politiquement correct.
C'est vous, en tant que lecteurs, à travers votre soutien, qui décidez combien de temps cela restera encore possible.
(Traduction libre Christian Hofer pour lesobservateurs.ch )
Wochenblick.at
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