Une femme voilée a-t-elle le droit d’accompagner un groupe d’enfants lors de sortie scolaire?
Dans le privé, peut être, mais quand il s’agit de s’occuper de plusieurs enfants, on entre là dans un cadre administratif, comme (j’ai cru le comprendre) pour la séance plénière, du Conseil général de Bourgogne.
Si l’on en croit toutefois une jurisprudence du Conseil d’Etat du 31 mai 20O4.
Julien Odoul, qui est incriminé à l’heure actuelle, ne s’adressait pas directement à la femme voilée, mais à la présidente de cette assemblée.
Laquelle pintade, au lieu de donner raison (ou de rester neutre) à son interlocuteur, s’ est ’empressée de consoler la pauvre mère, soi-disant humiliée et de la conforter dans son rôle de victime.
Donnant ainsi au camp du « bien » l’occasion de brocarder le vilain représentant du RN.
Les français vont devoir bientôt s’excuser d’être chez eux.
Ce n’était plus le piège vicieux du petit Aylan mort sur une plage, pour émouvoir la sensiblerie populaire, mais un autre piège, celui d’un enfant en pleurs, traumatisé pour le reste de sa vie, dans les bras de sa tendre maman exportatrice du djihad vestimentaire, avant d’être celui du combat contre les méchants kouffars.
Une mère au grand courage, pour avoir résisté aux injonctions « haineuses », racistes et islamophobes du représentant d’une France du camp du mal qui refuse le merveilleux « vivre ensemble ».
« Ils ont détruit ma vie » se plaignait-elle au CCIF (proche des Frères Musulmans) qui en ont profité pour l’inciter à porter plainte contre son ignoble persécuteur.
Sinon contre la République que cette mère courage ne reconnait plus, dit-elle.
Avec l’assentiment garanti de la bien-pensance de gauche, qui s’achète une bonne conscience à peu de frais.
Et bien sur, on a pu lire et entendre, la litanie habituelle médiatique des petites phrases injustifiées, vachardes ou stupides, comme celle de la Ferrari (pas la célèbre marque de voitures italienne) mais une journalope du prénom de Laurence, qui demande à JuLien Odoul :
« Vous êtes fier de vous? » comme si celui-ci s’était livré à des attouchements ou pire encore.
Avec la tactique habituelle qui consiste à poser des questions en rafales, pour ne pas laisser à l’invité le temps de répondre et lui coupant la parole à tout moment.
Technique bien rodée des médias de gauche, façon Fouquer Tinville.
Ou un Karim Zéribi (des Grandes Gueules) garanti de pure importation sarrasine qui le traite de raclure.
Et le plus beau, qui demande à Nadine Morano, qui se fait l’avocate de l’accusé voué aux feux de l’enfer d’Allah, de « changer de pays ».
L’Algérie vous tend les bras monsieur Zéribi, retournez-y, on peut très bien se passer de vous !
Ces gens qui nous imposent leurs moeurs, leurs mosquées, le hallal, les piscines séparées…, sont solidaires entre eux, au point de ne pas vouloir reconnaître qu’il y a des limites à ne pas dépasser, et crient à la victimisation dès qu’il y a un refus.
Comme si tout leur était dû.
Il est bon aussi de rappeler en passant, que sous l’autorité de Laurent Fabius (PS), un prêtre et une religieuse, avaient du retirer croix et voile pour s’asseoir dans l’Hémicycle.
Alors pourquoi et en quel honneur un musulmane n’enlèverait pas un voile qui est un symbole politique, avant d’être religieux.
De quel coté est l’agression madame la présidente Dufay?
Qui prétendrait que sa vénérable Institution a été insultée par les paroles de Julien Odoul.
BRAVO à lui ! Et bravo pour ne pas avoir reculé et ne pas s’être excusé.
Onyx
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