Le 16 mars, pour l’acte 18 des gilets jaunes, tout le monde savait que ce serait tendu.
L’improbable freluquet que la haute fonction publique d’État a proposé à l’oligarchie pour qu’elle nous le fourgue par une présidentielle truquée, montre jour après jour qu’il est no limit.
Voilà une crise considérable qui a commencé il y a plus de quatre mois et à laquelle son pouvoir arrogant a été absolument incapable de fournir une réponse politique.
Laissant le pays s’y enfoncer et entouré d’une bande de semi-gangsters et de politiciens dévoyés, il s’accroche à son pouvoir poursuivant son entreprise de démolition nationale.
Rentrée avec les privatisations dans la phase de la goinfrerie financière pour ses amis.
Probable aussi que les copains style Benalla participeront au festin qui ne sera pas perdu pour tout le monde.
Il semble d’ailleurs que le gorille et ses copains soient là pour ça.
À la colère populaire, il n’a opposé qu’une propagande éhontée dispensée méthodiquement par une caste journalistique totalement servile.
Ainsi qu’une répression policière et judiciaire massive jamais vue depuis la fin de la guerre d’Algérie, et un grand débat bidon émaillé de systématiques bras d’honneur au peuple français.
Probablement soucieux de la réprobation internationale concernant ces incroyables violences, il a trouvé astucieux d’organiser une gigantesque provocation pour la justifier.
En laissant des provocateurs manipulés et des gilets jaunes à bout, dévaster les Champs-Élysées.
Tout le monde a compris, syndicats policiers en tête, les tenants et aboutissants de l’opération.
Et pendant que les flics harassés et envoyés au casse-pipe en prenaient plein la gueule, que la France et la planète entière voyaient défiler effarés des images de guerre civile, Monsieur est allé parader au ski avec Madame en se faisant complaisamment photographier en mode « je vous emmerde tous, moi je me les roule en picolant devant les caméras ».
Jean-Pierre Jouyet et ses copains de la caste devront rendre des comptes.
Pour nous avoir fourgué un engin pareil.
Cela risque d’être sévère.
Ainsi qu’une répression policière et judiciaire massive jamais vue depuis la fin de la guerre d’Algérie, et un grand débat bidon émaillé de systématiques bras d’honneur au peuple français.
Probablement soucieux de la réprobation internationale concernant ces incroyables violences, il a trouvé astucieux d’organiser une gigantesque provocation pour la justifier.
En laissant des provocateurs manipulés et des gilets jaunes à bout, dévaster les Champs-Élysées.
Tout le monde a compris, syndicats policiers en tête, les tenants et aboutissants de l’opération.
Et pendant que les flics harassés et envoyés au casse-pipe en prenaient plein la gueule, que la France et la planète entière voyaient défiler effarés des images de guerre civile, Monsieur est allé parader au ski avec Madame en se faisant complaisamment photographier en mode « je vous emmerde tous, moi je me les roule en picolant devant les caméras ».
Jean-Pierre Jouyet et ses copains de la caste devront rendre des comptes.
Pour nous avoir fourgué un engin pareil.
Cela risque d’être sévère.
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