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lundi 16 mai 2016

Ministres et culture nauséabonds


N’est, hélas, pas Malraux ou Bigeard qui veut …
 
Audrey Azoulay (d’ânesse), devenue ministre de la cul-ture socialiste, par la volonté de la concubine de sa majesté « Moi président », pur produit de l’ENA, de Sciences Po (de chambre) est à la culture ce que le vinaigre est au cornichon.

 Elle se permet de traiter « d’ordre moral nauséabond » le fait que les internautes, force à laquelle les socialistes vont désormais devoir compter et affronter, aient obtenu l’annulation de « la prestation artistique » d’un rappeur de banlieue à la commémoration on ne peut plus respectueuse de la bataille de Verdun au cours de laquelle des milliers de Français sont morts pour que nous vivions libres.
Il n’était donc pas concevable qu’un énergumène qui crache sur la soupe que lui a généreusement servie la France vienne salir la mémoire de nos poilus.
La commémoration d’un acte sanglant de la première guerre mondiale n’est pas un spectacle de variétés auquel est convié à se commettre « cet illustre artiste ».
Je vous laisse juges des propos ci-dessous, aussi nauséabonds que la morale socialiste, tenus par Audrey Azoulay (de coco) cette « mini-ministre » de la cul-ture dont la compétence « énarchique » dans le domaine de la culture a autant de valeur que celle de ses nombreux amis sortis de cette prestigieuse école (ENA), avant, pendant et après elle, pour notre plus grand malheur.
École qui fournit des dirigeants d’entreprises publiques ou semi-privées capables en quelques années de les amener à la faillite.
 C’est peu de le dire et ça leur donne le droit de donner des leçons de morale, socialiste, cela va de soi.
« Des voix déchaînées ont obtenu l’annulation d’un concert au nom d’un ordre moral nauséabond et décomplexé. N’acceptons jamais cela. Ce n’est pas la première fois que l’autocensure succède à ces coups de forces inacceptables … les démocraties en Europe sont confrontées à la violence, à la montée de l’extrême droite, à la radicalisation d’une partie de leurs enfants, à la radicalisation aussi du débat public », estimant « qu’il est important, ici à Cannes, de réaffirmer nos valeurs et de défendre la liberté d’expression ».

« Les voix déchaînées » sont celles des nombreux Français qui ont perdu un aïeul dans cette guerre et plus spécialement à la bataille de Verdun (C’est mon cas).
Ce sont des milliers d’internautes qui ont perçu comme une offense à leurs morts cette mascarade digne d’une émission de variétés de troisième zone et non d’affreux personnages de droite et d’extrême droite.
S’agissant de la violence de SES propos qu’elle ose retourner à la droite et l’extrême droite, il suffit de voir les images des évènements actuels qui se produisent sur le territoire depuis plusieurs semaines pour s’apercevoir que la violence est à mettre au comptes déjà lourds des extrémistes de gauche qui cassent du flic en toutes occasions.

Flics (*) qui se laissent tabasser parce qu’ils ont reçu l’ordre de rester l’arme au pied, de peur de casser du gauchiste bon teint et probable électeur en 2017.

Et ça voyez-vous, pour madame Azoulay (de vachette), casser, bruler, violenter sont les trois mamelles, non pas de la ministre de la cul-ture, mais bien les « valeurs et la liberté d’expression de la gôche plus que plurielle.
Pour ce qui est de « la radicalisation d’une partie des enfants », elle existe en effet mais pas du côté de la droite et de l’extrême droite, comme voudrait nous faire accroire madame Azoulay (de chèvre dont on fait des fromages) mais bien du côté gauche façon banlieues qui se radicalisent à l’islam barbare grâce au laxisme de ses copains de gouvernement.

Quant-aux propos du secrétaire d’état aux anciens combattants cités ci-après, ils ne valent guère mieux car ce sont lui et ses amis du gouvernement qui sont responsables de cette odieuse affaire qui n’aurait jamais dû avoir lieu si, en hommes d’honneur, ils n’avaient eu à engager une telle engeance pour commémorer les poilus morts pour nous mais aussi … pour eux : Honte à ces politiques de caniveaux qui ne respectent rien si ce n’est leur nombril qui leur sert de centre du monde.

« Je veux dire ma colère de voir qu’un déferlement de haine, d’injures et de menaces force un élu à annuler le concert d’un artiste dans un pays où la liberté d’expression et de création sont des valeurs et des droits fondamentaux » .

Et moi, je veux dire à ce secrétaire d’état aux anciens combattants (et de la mémoire bafouée) qui n’a jamais connu ni le combat ni l’armée (il est né en 1952) que la décence voudrait qu’il se foute dans un trou de souris pour ne plus en sortir pour les raisons expliquées plus haut.
 Le déferlement de haine est à rechercher dans son camp.
Depuis plus de quatre ans que ces « moralistes de bas étages » nous servent leurs conneries et leurs incompétences dans tous les domaines.

 Et si, comme ils le disent, la France va mieux, pour eux certainement, pour l’immense majorité des concitoyens celle-ci va de plus en plus mal.
Ils seraient grand temps qu’ils foutent le camp pour ne plus revenir au pouvoir pendant les siècles à venir.

Fermer le ban … Si le ministre sait de quoi il s’agit bien entendu.

(*)  – Flics : Sous ma plume ce surnom donné aux forces de police n’est ni péjoratif ni insultant. Bien au contraire, c’est pour moi un superlatif affectueux.

source
 

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