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dimanche 2 novembre 2014

Rassemblement après la mort d’un antifa : analyse du langage gauchiste.

2 novembre 2014

Un jeune  français est mort, c’est un événement malheureux et personne à la rédaction de Croah ne s’en réjouit.


Cela étant dit, on peut prendre un peu de hauteur et analyser les faits qui en ont découlé comme notamment, une manifestation de soutien typiquement gauchiste, ou le slogan ridicule et préformaté se dispute aux looks toujours plus uniques que nous offrent les militants de l’extrême-gauche.

Pas les vêtements vous dites, ça ne se fait pas ? Ok, pas les vêtements alors.
Après quelques minutes de vidéo où on constate des banderoles, des foulards sur la tronche et une poubelle qui crame avec quelques crétins qui s’en viennent shooter dedans, il est temps d’écouter l’argumentation gauchiste :

 
Ainsi, à partir de 4:14, une jeune fille est approchée par les caméras de télévisions.
Elle est à terre en train de découper la jambe gauche de son jean.
Sur les mollets, quelques éraflures sans incidence.
Pendant qu’elle manie le ciseau, elle livre à chaud sa réaction.
 
Elle commence par :
J’étais là ou y’avaient les CRS
Déjà que fait-elle au milieu des CRS un samedi après-midi alors qu’elle devrait être en train de passer l’aspirateur dans sa chambre et de laver ses draps et son pyjama ?
Habitée par l’esprit révolutionnaire, la jeune femme s’était sans doute mis en tête d’affronter le régiment de policiers avec quelques amis qui partagent avec elle la même élévation intellectuelle et philosophique.
Probablement pensait-elle que sa dialectique légendaire combinée à quelques coups de pieds sautés suffirait à triompher de la brigade fasciste.
 « NO PASARÁN » aurait-elle hurlé selon plusieurs témoins sur place, repris par la foule de 8 personnes qui l’avait suivi jusqu’en première ligne du champ de bataille.
Il en fallait du courage, ça oui, pour monter au front en jeans / basket.
D’ailleurs on peut voir sur les images les éclats d’obus qui lui ont entaillé la jambe.
 
La bougresse poursuit :
Puis y z’ont balancé la grenade d’un coup. Y z’ont reçu trois bouteilles de bière dans la gueule et y z’ont balancé la grenade comme ça en plein milieu, ça a pété entre mes pieds
De quoi t’étonnes-tu, jeune pucelle ?

Tu montes au front pour en découdre avec les forces de l’ordre et tu pleures de recevoir une grenade lacrymogène dans les jambes.
 Tu crois que la police va vous laisser lui balancer des bouteilles à la tronche tout l’après midi sans répliquer ?
 Qu’elle va chercher à savoir qui a jeté la bouteille pour lui balancer la lacrymo dessus ?
Pendant que vous hurlez vos « Police, fasciste, assassin » et que vous vous prenez pour des révolutionnaires ?
 T’es au milieu du truc qui devient violent donc ne t’étonnes pas de recevoir aussi !
 Allez, va me faire un sandwich !
 
Elle enchaîne sa narration :
Donc voilà, on voit les ????? d’armes, putain ! Vous vous rendez compte ?
On se rend surtout compte que tu as l’air d’une ado attardée qui a reçu l’autorisation de papa et maman pour sortir avec les potes boire de la bière et vous prendre pour le peuple en colère.
Tu as l’air d’être en fac de lettre en section « Art du spectacle » où tu apprends à jongler avec trois torches et à t’assoir par terre dans la cours de la faculté avec ton ami aux pantalons en coton trop large et ta copine aux tresses colorées dans les cheveux qui votent tous Jean-Luc Melenchon.
 
La caméra se tourne ensuite vers un jeune homme chaussé de Doc Marteen’s :
J’étais en train de courir pour éviter les gaz et j’ai senti un truc qui a pété juste coté de ma jambe et après, grosse douleur.
Déjà, si tu n’avais pas des chaussures orthopédiques aux pieds et 372 bracelets repartis sur les deux poignées, peut-être aurais-tu réussi à courir assez vite pour t’échapper.
 
Puis, la caméra revient sur la jeune fille à qui une journalope demande :
Mais vous êtes en colère contre qui ?
Ce à quoi la jeune révolutionnaire répond :
Mais je suis en colère contre les flics, contre l’état, contre tout ce qui se passe ! ‘Fin faut se rendre du capitalisme, s’queu c’est et quel impact ça a sur les gens hein !
Déjà quand on est une femme hein, tu dois le ressentir, une personne qui fait exactement le même boulot que toi sera payé 15 à 20% de plus.
Et tu vois, l’exclusion…
Puis ça coupe, le journaliste de l’Agence Info Libre a surement dû penser que c’était suffisant pour aujourd’hui.
 
On applaudira la rhétorique féministe noyée au milieu d’un rassemblement de soutien  un jeune gauchiste mort.
 
On est passé de la haine de la police à la haine des hommes en deux phrases.
 
Fantastique, seul un gauchiste peut réussir une telle acrobatie hors-sujet en gardant son sérieux.
Voici donc notre lecture humoristique des événements.
 
 Le dernier passage restera non commenté, le cerveau de notre rédacteur n’a pas tenu suffisamment pour analyser entièrement la vidéo, perturbé par tant de médiocrités.

source

1 commentaire:

  1. Trois trous du culs qui font la loi en France ,comme nous voyons la gonzesse qui sort de son cocon pour manifesté sans savoir comment la vie étant faites ..la moitiés d'assistés sociaux ..voila ou nous en sommes rendu à avoir du social a gogo ainsi pareils pour l'envahisseur de la France ..

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