Réflexions sur l'actualité et la
politique Française.
Avec quelques exceptions sur le reste du monde.
Immigration, invasion, colonisation, islamisation, révolution.Covid
🇺🇦💰🤑 “Zelensky & Co” : La plus grande lessiveuse du siècle
François Martin sur @SudRadio remet les pendules à l’heure : L’Ukraine, c’est 1 000 milliards de business : blanchiment d’aides, détournement d’armes, vente des terres rares… et au centre de tout ça ? Zelensky, PDG et… pic.twitter.com/IoBDMzM3Wf
— Camille Moscow 🇷🇺 🌿 ☦️ (@camille_moscow) March 25, 2025
“Zelensky & Co” : La plus grande lessiveuse du siècle
François Martin sur @SudRadio
remet les pendules à l’heure : L’Ukraine, c’est 1 000 milliards de business : blanchiment d’aides, détournement d’armes, vente des terres rares… et au centre de tout ça ?
Zelensky, PDG et VRP en chef de l’opération.
Il ne gouverne pas un pays, il gère une multinationale du racket, où chaque deal se paie en pots-de-vin.
Plus question de “défendre la démocratie”, l’Ukraine est un marché où seuls les initiés touchent leur part.
Et si demain la paix revenait ? Fin du business, fin de Zelensky.
Voilà pourquoi il est prêt à tout pour prolonger la guerre.
Et en Europe on l’appelle le nouveau Churchill…
Non, Juste un caissier qui rend des comptes à ses parrains.
Au
programme de cette édition, retour sur la guerre en Ukraine.
Alors que
les pourparlers de paix à Riyad se sont achevés lundi soir, Emmanuel
Macron recevra Volodymyr Zelensky mercredi pour préparer le sommet de la
coalition des volontaires organisé le lendemain. Une nouvelle étape de
l’obsession guerrière du président français.
Au Proche-Orient, les frappes israéliennes reprennent de plus belle
sur Gaza. A l’opération militaire s’ajoute désormais une crise politique
qui pourrait rattraper le premier ministre Netanyahou.
Et puis en France, nous reviendrons sur le scandale de la
maltraitance dans les EHPAD. Trois ans après des révélations qui
faisaient froid dans le dos, les réactions politiques pour améliorer le
sort des personnes âgées sont plus que timides.
L’immuable, c’est le changement… La peur a changé de camp dirait-on…
La fausse Brigitte Macron, propriétaire d’une maison au Touquet a vendu celle-ci mi-février à une SCI familiale dont « elle » est la gérante…
Ce qui rend donc le bien plus difficilement saisissable… Ah oui ? Besoin de le protéger ? Ou de le vendre en répartissant l’argent ?
Tiens donc…
Dans le même temps la presse annonçait la mise en vente de ladite maison. Pourquoi tant de mensonges en permanence ?? Et surtout pourquoi tant de faux en écritures ??
Brigitte est Jean-Michel comme chacun sait désormais. Et donc la création de la SCI est entachée de nullité…
Merci à l’enquêteur qui m’a transmis cette information. Je publie ci-dessus l’annonce publique du Bodac ainsi qu’un extrait Kbis qui précise qui sont les associés de cette SCI. Tout est parfaitement identifié et vérifiable.
La bonne blague pour démarrer joyeusement la semaine.
À Poitiers, les livreurs réclament leur régularisation, soutenus par la gauche qui est... leur premier client.
Dans l’époque que nous vivons, il n’est
pas rare que le « faire-savoir » prenne le pas sur le savoir-faire.
Autrement dit, la com’ est aussi importante que l’action. C’est pourquoi
un collectif de livreurs, soutenu par la CFDT, la Cimade (association
de soutien aux migrants) et diverses organisations locales, a choisi le
21 mars – Journée internationale pour l’élimination de la discrimination
raciale – pour adresser une demande de régularisation au préfet de la
Vienne.
Trois cents personnes sont venues encadrer la remise de la lettre à
la poste centrale, brandissant des pancartes où l’on pouvait lire : « Justice et dignité pour les livreurs sans papiers ».
Un système d’exploitation bien rodé
Réunis dans le local de la CFDT, à Poitiers, ils étaient donc vingt,
ce vendredi, tous coursiers d’origine guinéenne, à finaliser leur
dossier avant d’aller le déposer collectivement à la préfecture. C’est
un début, si l’on en croit le secrétaire général de l’Union
départementale CFDT de la Vienne, qui le confie au Monde : « Il
y a une centaine de livreurs dans la ville, tous étrangers et
originaires de Guinée, du Pakistan ou d’Afghanistan, dont un bon tiers
est sans papiers. » Le quotidien évoque ainsi la situation de
Mamadou Sow, 26 ans, arrivé en France en 2017 et qui travaille sept
jours sur sept pour les plates-formes Deliveroo et Uber Eats.
France 3 Régions est aussi allée à leur rencontre et témoigne : la majorité de ces livreurs vivent « dans une grande précarité ». Conséquence : « à
Poitiers comme ailleurs, les coursiers en situation irrégulière sont
contraints d'utiliser un système de sous-location puisque, sans papiers,
ils ne peuvent pas créer de compte à leur nom ».
Les nombreux soutiens de ces malheureux – Amnesty International,
l'association d'aide aux mineurs et jeunes adultes isolés Min' de rien,
de l'hébergement social Welcome Poitiers, le Réseau éducation sans
frontières de la Vienne, etc. – sont curieusement peu bavards sur cette
question de la « sous-location ».
On trouve des informations sur le site StreetPress qui, en mars 2023, se penchait sur « le business des sous-locations de comptes Stuart, Uber Eats et Deliveroo ». On rappelait, dans cet article, qu’Uber Eats avait déclaré à l’AFP avoir déconnecté près de 2.500 comptes après avoir « identifié des utilisations frauduleuses » de l’application. « Il s’agit essentiellement de faux livreurs, soupçonnés de sous-louer leurs comptes à des travailleurs en situation irrégulière », déclarait le porte-parole de l’entreprise. StreetPress poursuivait : « Sur Facebook, on trouve même des groupes dédiés à ce business. Désormais, la demande a dépassé l’offre. Les prix explosent. »
« Le vendredi, plus personne ne me répond » : encore un patron en croisade contre le télétravail.
Le CEO de la banque américaine JPMorgan Jamie Dimon n’en peut plus du
travail à distance. Selon lui, une entreprise ne peut pas fonctionner
ainsi, tout simplement.
«Le vendredi, plus personne ne me répond» : encore un patron en croisade contre le télétravailhttps://t.co/IGJF2IWlVb par @Le_Figaro
“Tout pour. Ou tout contre. En matière de travail à distance, le
manichéisme semble avoir un bel avenir – tant les dirigeants peinent à
trouver le sacro-saint équilibre pour un rythme de travail «hybride» qui
conviendrait à tout le monde. Aux États-Unis, on ne parle que de cela.
Entre Amazon – qui a imposé le retour au bureau à 100% ou Spotify, qui
prend le pari inverse en estimant que ses salariés ne sont pas des
enfants, ou Donald Trump, qui se dit prêt à licencier les fonctionnaires
qui persistent et signent pour le télétravail, l’équation est complexe.
Et les tensions sont nombreuses.”
“Dernier exemple en date ? Le patron de la banque américaine
JPMorgan, Jamie Dimon, qui ne mâche pas ses mots contre le travail à
distance – malgré les nombreuses études qui ont été publiées pour vanter
ses bienfaits dans certaines conditions et pour certains métiers.
Devant des salariés de l’entreprise réunis à Columbus, dans l’Ohio, il
n’a pas été tendre avec les aficionados du «distanciel.» «Ça ne marche
tout simplement pas. Cela ne fonctionne pas pour la créativité, et cela
ralentit la prise de décision.» Il fustige notamment les profiteurs du
télétravail, dès que la semaine se termine : «Ne me dites pas que le
travail depuis la maison fonctionne le vendredi ! J’appelle beaucoup de
monde le vendredi, et il n’y a jamais personne qui me répond !»
Le problème ici n’est pas le télétravail.
Le télétravail est juste un catalyseur et pour tout vous dire je
pense que c’est un excellent catalyseur surtout pour les patrons car
cela permet justement de voir qui répond ou pas !
Avec. 900 € de retraite, Agnès est contrainte de faire la manche chaque week-end, à la sortie du marché, pour survivre. Mère de 3 enfants et grand mère 11 fois et 14 fois arrière-grand-mère, elle préfère garder le silence sur sa situation et ne souhaite pas en parler à sa… pic.twitter.com/xReIp77jmO
Et puis il y a ceux là, toujours prompts à se plaindre auprès des organisations prêtent à leur fournir toutes les aides nécessaires
🇫🇷 Voilà comment ça se passe dans le Primark de Marseille quand une certaines classe d’individu touche la caf en début de mois… pic.twitter.com/2Cql2xYEtI
600 000 retraités en Algérie avec des pensions françaises, et sur 1000 personnes, 691 n'ont pas été retrouvés et 130 sont morts ! C'est quoi cette farce ? La « générosité » de la France va trop loin! #GouvernementDeTromperiepic.twitter.com/CCbx3nmD2R
Au
programme ce soir, les nouvelles négociations autour de la guerre en
Ukraine en Arabie saoudite.
Après une rencontre entre les émissaires de
Kiev et de Washington dimanche, c’était le tour des Russes de discuter
avec l’oncle Sam de la paix future. Des discussions qui révèlent des
agendas différents.
A l’heure du triste anniversaire des bombardements en Serbie, nous
reviendrons sur cette opération menée par l’OTAN et son idéologie
néoconservatrice en 1999. Le géopolitologue spécialiste du Kosovo,
Nikola Mirkovic, nous livrera son analyse.
Nous partirons ensuite en Turquie, en proie à des manifestations
d’ampleur. L’arrestation du maire d’Istanbul, opposant au président
Erdogan, a mis le feu au poudre dans cet État devenu incontournable dans
la région.
Et puis, de retour en France, nous nous pencherons une nouvelle fois
sur le déclin du système de santé… un déclin de plus en plus mortel!
EDF est au pied du mur et doit augmenter ses prix pour financer son
développement.
Comment en est-on arrivé là, nous qui avions
l’électricité la moins chère d’Europe grâce à un parc nucléaire
enviable ?
Plusieurs raisons et la première, évidente, la sortie
progressive du nucléaire, sous la pression d’une poignée d’écologistes,
représentatifs de personne mais qui ont pourtant pignon sur rue et une
influence sans commune mesure avec leur légitimité populaire. Le
nucléaire, dans un premier temps remplacé par rien, il fallait, comme le
préconisent toujours ces écologistes, adopter un mode de vie frugal. Si
on les écoute, nous allons redevenir des australopithèques. Avec tout
ce qui va de paire, c’est à dire, perte de la branche industrielle,
perte de compétence, qui font qu’au bout du compte, nous serions tout
juste capables de construire une centrale neuve sans faire appel à des
entreprises étrangères.
Dans un second temps, au nom de la « transition écologique », un
concept inventé de toutes pièces, il a fallu installer des éoliennes et
des panneaux solaires, tout cela venant de l’étranger et dont le côté
écologique est largement discutable. Recouvrir des terres agricoles de
panneaux, ou défoncer le fond de la mer pour installer des socles en
béton peut faire gratter la tête. Concept inventé de toutes pièces, pas
pour produire de l’énergie, puisqu’elle est intermittente, rare, chère
et peu puissante, mais pour aspirer des capitaux publics, nos impôts et
les donner à des entreprises privées chargées d’installer ces moulins à
vent et autres panneaux venant de Chine. Plusieurs dizaines de
milliards, entre 120 et 150 sur quelques années.
🇵🇸 🇫🇷 Dernière minute : les forces armées israéliennes ont tué plus de 1'700 palestiniens en seulement 72 heures , marquant l'une des escalades les plus meurtrières du génocide en cours contre Gaza. pic.twitter.com/ehxaJzBb7o
🇮🇱 🇵🇸 Le bâtiment de la Croix-Rouge à Gaza brûle après les attaques israéliennes. Le cessez-le-feu n'aura pas duré longtemps... 75 ans qu'ils nous font le coup... pic.twitter.com/MblImGTRS8
🇮🇱 🇵🇸 REMETTONS UN PEU L'ÉGLISE AU MILIEU DU VILLAGE, LE MINARET DANS L'ANGLE DE LA MOSQUÉE ET LA SYNAGOGUE À CÔTÉ DU KIBBOUTZ AU SUJET DES PRATIQUES DE L'ARMÉE ISRAÉLIENNE À GAZA... pic.twitter.com/ufzjWvFaU4
J’ai toujours été opposé à la « construction » européenne initiée par le marchand de cognac agent américain Jean Monnet, et Robert Schuman le destructeur de la République au profit de Pétain le 10 juillet 1940.
De 1973 à 2005 j’ai évidemment voté non à tous les référendums, et communiste en 1979 aux premières législatives européennes, pour le mot d’ordre prémonitoire : « non à l’Europe allemande ».
Dès le départ on savait que l’Europe voulue par le Capital et mise en place par leurs domestiques socialistes, n’était que le moyen de priver le peuple français de sa souveraineté pour l’enfermer dans un carcan, devenu férocement néolibéral à partir de 1983 (encore merci les socialistes).
J’ai eu à supporter toutes les incantations, sur la venue d’une « autre Europe », d’une « Europe sociale », sur « l’Europe c’est la prospérité économique », jusqu’aux économistes du faux PCF revendiquant la mise en place « d’un bon € » oubliant l’évidence que le seul « bon € » serait un « € mort ».
Aussi c’est avec un peu de joie mauvaise que j’assiste au processus de dislocation de l’entité bureaucratique.
Les valets des USA (démocrates) désormais sans maître, devenus poulets sans tête, qui la dirigent, sont incapables de prendre la mesure de la défaite de l’Occident, de réaliser l’accélération de l’Histoire, et de comprendre réellement la situation dans laquelle ils se trouvent. Alors ils partent dans tous les sens, changent le mot d’ordre « l’Europe c’est la paix » pour celui dont ils pensent qu’il pourra les sauver « l’Europe c’est la guerre ! »
Ils vous annoncent une « Europe puissance », et mélangeant les choux et les carottes, l’existence illusoire d’un « peuple européen » qui serait déterminé à aller casser du moujik.
Gestion du Covid-19, limitation de vitesse à 80 km/h, voile islamique : Édouard Philippe accumule les tares.
L’ancien Premier ministre vient de
déclarer ne pas être opposé au voile islamique dans le cadre du sport.
Avec la gestion de la crise du Covid-19 et l’instauration du 80 km/h sur
les routes, Édouard Philippe, présenté comme une sorte d'homme
providentiel du camp de la raison pour 2027, collectionne cependant
quelques sujets qui fâchent.
Un petit voile, de temps en temps
Édouard Philippe n’est pas contre. C’est ce que l’ancien Premier ministre a fait comprendre, sur Europe 1, le 18 mars en déclarant que l’« interdiction générale et absolue » du tissu islamique serait « contraire à ce qu’est la laïcité en France » en définissant, tel un équilibriste, son concept comme suit : la « neutralité absolue de tous ceux qui sont détenteurs de l’autorité publique » et « la liberté pour les citoyens de pratiquer et de manifester leurs cultes ». Ainsi, il souhaite réserver l’interdiction du voile aux « compétitions organisées dans le cadre de ce que les fédérations sont responsables ». Des propos qui n’ont pas manqué de faire réagir le président du Rassemblement national, qui a dénoncé des « propos ambigus » sur RMC. « Horizons rime avec soumission », s’est offusqué Jordan Bardella.
Il faut dire qu’à la mairie du Havre, qu’il occupe depuis 2010 (avec
un intermède de 2017 à 2020 lorsqu'il était à Matignon), Édouard
Philippe a toujours soigné ses relations avec la communauté musulmane.
En 2017, par exemple, il soutenait l’installation d’une école musulmane dans un ancien presbytère. Dans leur ouvrage Qatar Papers
(Michel Lafon, 2019), les journalistes Christian Chesnot et Georges
Malbrunot, rapportent les propos du docteur Hatem Chérif, fondateur de
l’Association des musulmans du Havre, fondée en 1994. « Nous avions des relations exécrables avec l’ancien maire, […] mais depuis dix ans, […] avec Édouard Philippe […] les relations sont excellentes. »
Comment oublier qu'Édouard Philippe fut le Premier ministre de la
grande crise sanitaire du coronavirus, l’homme responsable politiquement
du confinement, du port du masque dans les écoles, de l’isolement des
anciens dans les EHPAD où beaucoup sont morts dans la solitude. Une
période où l’administration a souvent rivalisé d’absurdités kafkaïennes.
Des plaintes avaient été déposées contre Édouard Philippe et ses
ministres de la Santé Agnès Buzyn et Olivier Véran.
Je vous disais il y a quelques semaines que l’effondrement avait commencé.
Non seulement il a commencé. Mais désormais il rentre dans une phase d’accélération.
Nous pouvons éventuellement le ralentir.
L’action publique pourrait même encore l’éviter, mais pour cela il
faudrait prendre des mesures dont les conséquences seraient relativement
similaires à celles de la faillite elle-même, de l’effondrement
lui-même.
Il est donc fort probable que nous ne fassions rien.
Enfin pas nous.
Eux, ceux qui nous dirigent.
La prochaine phase sera celle de l’avalanche.
Une phase avalancheuse, c’est quand vous êtes sous les murs qui sont
en train de s’effondrer et que vous les prenez sur la tête ce qui est
généralement une expérience désagréable.
Alors que Macron veut nous envoyer un guide de survie, je vous invite effectivement pour une fois à écouter le président.
Alors qu’il veut nous faire peur, pour nous vendre la rapine sur
notre épargne pour financer la guerre contre la Russie pour tenter en
réalité de maquiller la faillite de la France qu’il vient de provoquer
en 7 ans de règne maléfique, il pourrait paradoxalement rendre service
aux Français en les rendant plus prévoyants et plus résilients face à
ses propres errements économiques qui nous conduisent droit dans le mur.
Un homme payé pour jouer le rôle de Jean-Michel Trogneux : le ‘Petit Gros’ serait-il une invention de l’Élysée ?
le 22/03/25
L’affaire Brigitte Macron prend une tournure inédite avec la révélation de l’identité du mystérieux "Petit Gros", Jean-Michel Trogneux, frère de la "Première dame".
Alors que les rumeurs sur son rôle et son identité se multiplient, une vidéo de GPTV relance les spéculations, soulevant des questions troublantes sur son passé et ses liens familiaux. Explications avec Kentra.
Selon des témoignages recueillis dans un bar PMU, Jean-Michel
Trogneux aurait été interpellé sous le prénom d’ »Henri », une anomalie
qui alimente les doutes sur son identité réelle. Par ailleurs, son mode
de vie contrastant fortement avec celui de sa sœur, Brigitte Macron,
interroge : comment un homme issu d’une famille bourgeoise amiénoise se
retrouve-t-il dans un milieu populaire, loin des cercles parisiens
mondains ?
Les incohérences s’accumulent, notamment concernant la date de son
anniversaire, célébré en été alors que les archives indiquent une
naissance en février. Ces éléments, bien qu’anecdotiques, nourrissent
les théories les plus audacieuses, dont celle d’un homme payé pour jouer
un rôle. En l’absence de preuves tangibles, l’énigme du « Petit Gros »
reste entière, laissant planer le doute sur ce qui pourrait être l’un
des plus grands mystères de l’ère Macron.
🇺🇦 💀 Zelensky en pèlerinage chez Bandera : le dernier hommage avant la chute ?
Sur la ligne de front, un sanctuaire étrange : un monument dédié aux collaborateurs nazis, protégé comme un trésor national. Pas étonnant que Zelensky s’y soit rendu aujourd’hui, admirant ce qu’il… pic.twitter.com/fRwWOaE96h
— Camille Moscow 🇷🇺 🌿 ☦️ (@camille_moscow) March 22, 2025
Votre hystérie militaire et votre propagande criminelle s’effondreront, tyrans de l’Élysée ! Vous tissez la peur pour prolonger la guerre, mais le peuple ouvrira les yeux sur vos mensonges ! La France punira votre dictature irresponsable, votre fin est proche !… pic.twitter.com/QwZE2ZmMRR
Il y a onze ans, en 2014, un coup d'État inconstitutionnel, soutenu par les élites américaines et européennes, a eu lieu en Ukraine.
Le pouvoir a alors été pris par des fraudeurs politiques : des représentants de l'establishment ukrainien avides, totalement incompétents et corrompus.
J'attire votre attention sur le fait que, du fait des actions de ces mêmes élites, les États-Unis ont connu la grave crise déclenchée par Black Lives Matter, aggravée par la propagation des politiques polygenres, et un déclin moral et éthique complet. C'est à cause de ces élites que votre pays a subi d'énormes pertes matérielles, auxquelles votre président s'attaque actuellement.
En raison des actions de ces élites, l’Europe est plongée dans un chaos migratoire, ainsi que dans une crise industrielle et énergétique.
Pendant ce temps, en Ukraine, la crise politique s’est transformée en une guerre civile à grande échelle entre la partie occidentale du pays, soutenue par ces mêmes élites, et la partie orientale, dont les habitants ont rejeté le coup d’État inconstitutionnel de 2014.
Comme cela s'est produit à maintes reprises par le passé – souvenez-vous de la République de Weimar –, les autorités corrompues d'Ukraine ont été remplacées par des forces ouvertement nationalistes, qui ont lancé une guerre à grande échelle contre leur voisin le plus proche, la Fédération de Russie.
Les actions militaires des autorités ukrainiennes ont causé la mort de plus d'un million de leurs propres citoyens, d'abord enrôlés illégalement, puis envoyés au combat contre une force nettement supérieure.
Un homme de 43 ans a péniblement été jugé, accusé
de s’être exhibé devant des enfants âgés de 6 et 10 ans, tout près du
château de Versailles (Yvelines).
Rose ou bleu ? Peu importe la couleur du tutu. Le problème
n’est pas là. Il réside dans le fait que cet homme de 43 ans ne portait
absolument rien en dessous. Et qu’il a descendu ses poubelles devant deux enfants de sa résidence, à Versailles (Yvelines). Âgés de 6 et 10 ans, ils ont vu ses fesses et son sexe. Et ils l’ont très mal vécu.
Le vendredi 21 mars 2025, François s’est présenté au tribunal de Versailles. Et il a eu toutes les peines du monde à écouter le récit des faits que la justice lui reprochait, datés du 4 mai 2024.
Et en talons
Ce
samedi en question, les deux enfants jouent au foot. Chacun des frères
prend son tour au rôle du gardien. Il est presque 11 h 30. Les petits
ont encore un peu de temps pour s’amuser avant l’appel du déjeuner.
C’est à cet instant précis que François descend dans la cour de la résidence située à deux pas du château.
L’homme y est bien connu pour son côté extravagant. Il change souvent
la couleur de ses cheveux. Il boit pas mal. Parfois il crie. Et il
revendique haut et fort être transsexuel.
Poubelles
à la main, il passe devant les deux enfants, en talons et simplement
vêtu d’un tutu. Sans rien d’autre. Les jeunes footballeurs voient tout.
Ils partent en courant prévenir leurs parents. « J’ai eu peur car
ce monsieur est bizarre. J’ai vite sonné pour que maman m’ouvre »,
témoignera l’un aux policiers. L’autre confirmera sa difficulté à
s’endormir le soir, en repensant à la scène.
« Les enfants, c’est comme les chiens… »
Appuyé
sur la barre, une jambe fléchie et la hanche de côté, François nie en
bloc après avoir réajusté sa robe pull mauve. « Alors d’abord, le tutu
n’était pas rose mais bleu. Et j’avais un legging couleur chair. Je n’ai
pas montré mon zizi. Je suis trans et je ne le montre pas. Vous
montrez le vôtre ? », lance-t-il à la juge. La présidente le rappelle à
l’ordre une première fois.
Lui poursuit dans sa façon de voir les choses.
« Vous savez, les enfants c’est comme les chiens. Ils sentent si les
gens sont bons. Comme les hommes des cavernes le faisaient. Et moi je
suis bon. En plus, je suis intégralement épilé au laser et
définitivement (sic). Et je connais plein de personnalités politiques ou
leurs enfants. Et mon psy a dit que je ne suis pas un pervers. »
Le psy
justement. L’expert judiciaire qui l’a vu parle de troubles hyperactifs,
d’un déficit de contrôle pulsionnel. « Pour autant, il n’est pas
dangereux et il n’avait pas de troubles au moment où les faits ont été
commis. » Bref, il peut être jugé.
À
grand renfort de moulinets des bras, le quadragénaire crie au complot.
« Maintenant, je ne mets plus de collants chair. Que des noirs. Et
j’étais en tutu parce que je danse. Et on peut faire dire ce que l’on
veut aux enfants. Il y a une démarche de manipulation des parents. »
« On veut juste vivre tranquillement »
Présente, la maman brise immédiatement cette idée.
La mairie de Grenoble conseille à ses administrés de confectionner un sac à dos pour survivre en situation de crise.
On sait que la panique face à l’Est a le
vent en poupe, ces temps-ci, au sein de la classe politique française.
Le gouvernement va nous envoyer un guide de survie,
dans les prochains mois. Il ne serait pas surprenant que la mode des
abris antiatomiques revienne. Et maintenant, clou du spectacle : le sac
de survie. La mairie de Grenoble, ordinairement peu suspecte de liens
avec la mouvance survivaliste (plutôt marquée à droite), conseille à ses
administrés de confectionner un sac à dos permettant de survivre en
situation de crise. Le Dauphiné libéré
du 21 mars 2025 consacre une page entière à l’interview d’un certain
Antoine Back, adjoint au maire chargé des risques et de la résilience
territoriale. Il a déjà tout prévu. Il a beaucoup d’idées. Écoutons-le !
Après plusieurs précautions oratoires qui semblent destinées à
chasser tout sentiment de peur (c’est un comble !), l’adjoint au maire
de Grenoble entre dans le vif du sujet : un sac par personne (au cas où
les familles seraient séparées), de quoi avoir chaud en cas de nuit dans
un gymnase, de quoi écrire, une gourde filtrante, des bouchons
d’oreille, une radio à piles, des photocopies de vos papiers d’identité
ou encore des doubles de vos clefs… La liste est longue. On peut même
prendre des jeux de cartes, parce que « c’est important, la bienveillance », dans ce genre de situations.
"Brusquement, le 38 tonnes chargé de gravats tourne à gauche vers un pré où l'accès est un petit pont ne supportant que 5 tonnes...les gravats provenaient de la gendarmerie de Grasse."
"Coluche n'est par terre que depuis 5 mn que les barrières de la gendarmerie sont déjà là." pic.twitter.com/s5gMVoDbpO
Refus d’obtempérer à Paris : treize blessés, dont dix policiers, après une collision en chaîne
Dix policiers et trois suspects ont été blessés lors
d'une course-poursuite à Paris, dans la nuit de vendredi à samedi, après
qu'un chauffard au volant d'une voiture a refusé d'obtempérer.
L'accident s'est produit dans le XVe arrondissement en fin de nuit. Un
carambolage a eu lieu lorsque le chauffard a percuté un feu tricolore
dans sa fuite.
Dix policiers ont été blessés lors d'une intervention pour un
refus d'obtempérer à Paris, dans la nuit de vendredi à samedi. Un
carambolage s'est produit entre le véhicule du suspect en fuite et
les deux voitures de police qui le poursuivaient.
L'accident s'est produit vers 05h45, à l'angle de l'avenue du
Maine et du boulevard du Montparnasse, dans le XVe arrondissement.
Selon nos informations, des policiers des VIIe et XVe
arrondissements étaient à la poursuite d'un chauffard refusant
d'obtempérer, lorsque ce dernier a fait une sortie de route,
percutant très violemment un feu tricolore. Le véhicule de police
qui le suivait l'a percuté par l'arrière, avant qu'une seconde
voiture de police ne vienne s'encastrer dans le véhicule de leurs
collègues. Un troisième véhicule de police du VIIe arrondissement a
percuté le second peu après, moins violemment.
Les trois suspects interpellés
Dans le choc, la première voiture de police a terminé sa course
sur le dessus du véhicule du chauffard. Les trois suspects, le
chauffard alcoolisé et ses deux passagers âgés de 30, 22 et 19 ans,
ont été interpellés. Ils ont également été légèrement blessés et
ont été placés en garde à vue. Deux d'entre eux étaient déjà connus
des services de police.
Les blessures sont sans gravité pour l'ensemble des personnes
impliquées, selon plusieurs sources proches de l'affaire. Certains
des blessés ont été conduits à l'hôpital par les secours en urgence
relative. Une enquête a été ouverte des chefs de "refus
d’obtempérer aggravé par la mise en danger de la vie d’autrui" et
"blessures involontaires avec incapacité n’excédant pas trois mois
par conducteur de véhicule terrestre à moteur sous l’empire d’un
état alcoolique", indique le parquet de Paris. Les investigations
ont été confiées au Service de traitement judiciaire des accidents
Une méfiance totale envers l’État et sa gestion financière
La colère gronde contre un État jugé irresponsable, incapable de réduire ses propres dépenses et préférant ponctionner les citoyens. Beaucoup y voient une tentative de compenser une faillite économique imminente, provoquée par des décisions malavisées et un endettement massif. Les Français ne veulent pas payer pour des erreurs qu’ils n’ont pas commises.
Une politique dictée par des intérêts extérieurs
La méfiance envers le gouvernement est omniprésente. Les décisions économiques et militaires semblent imposées sans consultation, sous influence de l’OTAN et des États-Unis. L’aide massive à Kiev, les restrictions budgétaires et les nouvelles taxes sont perçues comme une soumission aux intérêts étrangers. Les Français veulent une politique souveraine, pas une gestion sous tutelle américaine.
L’Union européenne, le Canada, les États-Unis et le Japon ont déjà gelé 300 milliards de dollars d’actifs russes après le début de l’opération militaire spéciale
Si l’Union européenne choisit de
confisquer les 210 milliards de dollars qu’elle détient en actifs russes
immobilisés, cela constituerait un « acte de guerre » aux conséquences
graves, a déclaré le Premier ministre belge Bart De Wever.
« Nous ne vivons pas dans un monde
imaginaire. Nous sommes dans le monde réel, où si vous prenez 200
milliards d’euros à quelqu’un, il y aura des conséquences », a déclaré
De Wever.
De Wever a mis en garde ses collègues
dirigeants contre le fait de « représenter publiquement les actifs gelés
et immobilisés comme (…) une petite tirelire que l’on peut simplement
casser avec un marteau et ensuite retirer l’argent et le dépenser comme
on veut (…) parce que ce n’est tout simplement pas si simple. »
L’Union européenne, le Canada, les
États-Unis et le Japon ont gelé 300 milliards de dollars d’actifs russes
depuis le début de l’opération militaire spéciale. Parmi ces actifs,
environ 5 à 6 milliards sont détenus aux États-Unis, tandis que la
majeure partie se trouve en Europe, notamment chez Euroclear en
Belgique, où 210 milliards de dollars sont stockés.
La Russie a prévenu qu’elle prendrait des mesures immédiates si ses actifs étaient confisqués.
Après avoir fait le procès de CNews, les auteurs finissent par trouver des excuses aux jeunes de la Monnaie...
« Anatomie d’un fait divers qui a déchiré le pays ». Sorti ce 19 mars, Une nuit en France
(éditions Grasset), le livre-enquête qui revient sur le drame de
Crépol, suscite déjà la polémique. Avec cet ouvrage, les trois auteurs,
dont Jean-Michel Decugis, le journaliste qui avait en 2019 affirmé que Xavier Dupont de Ligonnès avait été arrêté en Écosse, tentent de faire de la mort de Thomas un simple « fait divers » monté en épingle par l’extrême droite.
Deux France face à face
Tout commence le soir du 18 novembre 2023. Thomas et ses amis ont prévu de se rendre au bal organisé à Crépol (Drôme). « Les
garçons portent des jeans roulés au chevilles, des pantalons cargo
beiges, des baskets blanches, polo Eden Park et doudounes sans manches », rappellent les auteurs. Ces jeunes, dont les « prénoms fleurent bon la IIIe République
», se retrouvent régulièrement sur les terrains de rugby ou lors de
chasses organisées dans la région. Ils viennent pour danser, se
retrouver et s’amuser. Vers minuit, un autre groupe arrive devant la
salle des fêtes. Pour eux, pas de polo, ni de jean, mais « des survêtements Lacoste ou aux couleurs d’équipes de foot », « des sacoches en bandoulières » et une « capuche ou casquette vissée sur la tête
». La plupart viennent du quartier de la Monnaie, à Romans-sur-Isère,
ou y ont habité par le passé. Pour les auteurs, il ne fait aucun doute
que les jeunes de la Monnaie sont, eux aussi, venus pour s’amuser.
Pourtant, certains étaient armés de couteaux… « Mais qui va à une fête armé de couteaux ? » s’interroge Marie-Hélèe Thoraval, maire divers droite de Romans-sur-Isère, contactée par BV.
Déni du racisme anti-Blanc
Dès les premières pages, les auteurs laissent entendre que les jeunes
de Crépol ont eu un comportement méfiant, voire menaçant. «
Quelques villageois regardent entrer [les jeunes de la Monnaie]. Deux ou
trois se placent à petite distance, mains dans les poches, air
menaçant, pour leur faire sentir qu’ils ne sont pas les bienvenus. Il y
en a même qui les filment », écrivent-ils. Alors que la soirée
s’achève, la tension monte, les coups commencent, des couteaux sont
sortis des poches des jeunes de la Monnaie, Thomas s’effondre, blessé au
cœur. Il décèdera quelques instants plus tard, dans l’hélicoptère qui
le conduit à l’hôpital. Les jeunes de Romans prennent la fuite.